Critique Sur Mme Bovary

de l'ordre de l'extérieur. Son intérieur est donc vide, elle n'a aucune personnalité : elle croit que ses goûts sont à elle, mais elle n'est que le produit de la littérature de son époque. ==> Mme Bovary a les rêves de sa classe sociale (Pierre Bourdieu, La distinction) : Flaubert fait ici une critique de la société & est en même temps hyper cynique. → Il y a des choses incohérentes (palmiers & sapins, tigres & lions, minarets tartares & ruine romaines, une forêt vierge bien nettoyée) ==> Elle

Le bal à Vaubyessard. -Auteur : Gustave Flaubert -Mouvement littéraire : naturalisme et réalisme -Forme de discours : descriptif -Genre roman -Système énonciatif : Le narrateur raconte -Point de vue : Interne de Mme Bovary -Figures de style : énumérations, antithèses, ironie de Flaubert analepse -Chiasme ligne 9 : manque de personnalités des personnages -« Colisée au clair de lune » → cliché romantique - « On » → uniformisation + indéfinis « l'un » « l'autre » -« bleu/blanc » → imagerie romantique

Gustave FlaubertEmma Bovary | X | François MauriacThérèse Desqueyroux | * femmes destructrices ou victimes? Biographie et context Gustave Flaubert, né en 1821 se prennait au début de sa carrière pour un romantique, influencé par Victor Hugo. Ensuite il faisait suite aux romans de moeurs de Balzak ou Stendhal en cherchant perfectionner la technique romanesque. Dès les années 1830, le roman avait tendance à se démarquer du romantisme et à prétendre ne s’intéresser qu’à la vérité objective

permettront d’abord de savoir quel est la nature du rire puis pourquoi il a une fonction sociale et intellectuelle. Tout d’abord, le rire a plusieurs natures, en effet il peut être spontané, individuel ou collectif. Dans le texte de Flaubert « Madame Bovary », c’est ici un rire collectif du au comique de gestes, le nouveau ne sait pas s’il doit s’assoir ou se mettre debout ce qui le rend ridicule aux yeux de sa classe, il y a également un comique de mots, l’élève bredouille, sa voix devient aigue et

Madame Bovary, 1ère partie, Chapitre II, 1857.. 4 : Émile ZOLA, Thérèse Raquin, chap. V, 1867. 5 : Marguerite DURAS, Moderato Cantabile, chapitre II, 1958 EXERCICES TYPE BAC QUESTIONS SUR CORPUS 1. Pour chaque texte, déterminez par quel(s) regard(s) est vue la scène. 2. Par quels principaux procédés chaque texte fait-il comprendre l’importance de cette rencontre pour les personnages ? TRAVAUX D’ECRITURE  PREPARATION AUX COMMENTAIRES LITTERAIRES DES TEXTES Selon Jean Rousset, critique qui

Madame Bovary est un roman de Gustave Flaubert. Madame Bovary fut publié pour la première fois en 1857. A cette époque, le titre original était Madame Bovary, mœurs de province. Pour l’anecdote, il semble qu’à l’origine, Flaubert avait refusé qu’on illustre la couverture de Madame Bovary avec un portait de femme afin que le lecteur puisse laisser entièrement libre cours à son imagination. Flaubert commença la rédaction de « Madame Bovary » en 1851 et y travailla ensuite pendant 5 ans, jusqu’en 1856

romanesques, et s’attachent à une réalité plus humaine. Dans ce genre s’illustre Mme de Lafayette, avec son récit, La Princesse de Clèves (1678), dont la passion malheureuse est évoquée avec une sobriété émouvante. Le mouvement se prolonge au siècle suivant, notamment avec les romans de Marivaux, La Vie de Marianne (1731-1742) et Le Paysan parvenu (1734), et dans une large mesure, avec le roman libertin. Critique du roman pastoral et roman d'analyse Cependant, ce type de romans, malgré son succès

négative de l’être humain et de sa condition mortelle (« Une charogne » de Baudelaire) d. Le réalisme dans ces romans a une dimension psychologique : ironie des auteurs à l’égard de leurs héros, cf Flaubert dans Mme Bovary ou L’éducation sentimentale; il a aussi une dimension de critique sociale (Bel-Ami se comparant lors d’une promenade à une « courtisane » mondaine). e. On peut trouver des limites à cette représentation, d’une part du fait de la nécessité d’un choix dans les événements (Maupassant

fonction dans l’œuvre de Flaubert, à savoir que ces portraits sont médiateurs d'une critique acerbe qui transparaît à travers le filtre de la subjectivité et de l'ironie. Le portrait sous différentes formesDe la prosopographie simple...Le premier portrait : Frédéric, à travers le regard du narrateurp. 41-42 / prosopographiePuis premier portrait : M. Arnoux → prosopographie à travers le regard de F. p.44Puis MME ARNOUX p.46, portrait introduit par « ce fut une apparition » et qui se dvp tout

dans laquelle publient, se font connaître et polémiquent les auteurs. 2. Il est souvent hardi, et toujours réducteur, de proposer des « périodes » en littérature – la chose littéraire ne se réduisant jamais aux cadres imposés a posteriori par la critique, qu’ils soient idéologiques (le mouvement, souvent confus, des idées ne prenant, la plupart du temps, conscience de lui que dans l’après-coup, la pensée d’une époque ne se détachant clairement sur un fond mouvementé que pour la ou les générations