Critique Sur Mme Bovary

sert d’arme : Ils utilisent différents moyens rhétoriques : 1) l’ironie et la distance critique (Cf Voltaire dans Candide, par exemple) 2) la poésie, comme moyen de toucher les gens et de faire passer des idées par le biais de l’émotion (cf le poème « Liberté » d’Eluard, distribué par avion) 3) Problème : ces moyens subtils ne sont pas toujours perçus. Exemple : on a pas vu l’ironie de Flaubert dans Mme Bovary et on a cru qu’il défendait l’adultère III. Les écrivains possèdent une sorte de «

identifier au personnage, de sorte que le lecteur se libère de lui-même. Il devient un autre. Par conséquent, on vit par procuration. Ensuite, le livre peut être une source de savoir (ex : l’Encyclopédie). Il peut en outre développer notre esprit critique (ex : Candide, de Voltaire). En effet, grâce à la multiplicité des œuvres, il nous permet d’acquérir une ouverture d’esprit, d’avoir des opinions et des choix possibles. Par ailleurs, le livre nous offre la liberté d’imaginer, par opposition aux

Gustave FLAUBERT Madame Bovary Emma, épouse du médecin Charles Bovary, a pris un amant, Rodolphe ; elle espérait partir avec lui. Rodolphe se dérobe : elle vient de recevoir une lettre de rupture. " Tout épouvantée, (...) haletante, éperdue, ivre ", elle fuit jusqu'à la mansarde située au second étage de sa maison. En face, par-dessus les toits, la pleine campagne s'étalait à perte de vue. En bas, sous elle, la place du village était vide, les cailloux du trottoir scintillaient

celle qui deviendra par la suite sa maîtresse, se nomme, se nomme Clothilde de Marelle. Duroy est tout de suite attiré par cette femme « piquante », il se sent proche d’elle et de son caractère dès le départ. Cette femme est beaucoup plus simple que Mme Forestier, et se donne à Duroy, rapidement, juste après leur dîner au restaurant. Elle tombe par la suite très amoureuse de Duroy, qui ne se gênera pas pour la manipuler pour son argent. Car, Lorsqu’il est dans la misère elle n’hésite pas à dépenser

présent dans les romans ( c'est un genre mineur à l'époque ) : à retenir tout de même : La princesse de clèves de Mme de Lafayette . Les Lumières --> XVIII° siècle "Guerre" Philosphie/Religion. Les philosophes font l'éloge du savoir, de la réflexion --> La religion ne permet pas à l'homme de s'épanouir comme il le devrait, c'est pour cela qu'il doit philosopher ( avir un esprit critique etc ) + connaissance des sciences, de la culture etc . Le Romantisme --> XIX° siècle Le poète exalte ses sentîments

------------------------------------------------- SUPPORTS : Madame De Lafayette , La princesse de Clèves (1678) Stendhal , Le Rouge et le Noir (1830) Flaubert , Madame Bovary (1857) Camus , L’Etranger (1942) Boris Vian , l’Ecume des Jours (1947) Alain Robbe-Grillet , la Jalousie (1957) Un personnage de roman a un nom , une identité , et un statut social. Le personnage principal d’un roman , aussi appelé héros

monde : de la naissance à la mort, parcours critique d’un être de papier. INTRODUCTION A. Notions clés : Personnage, Roman et Réalité B. Le roman : naissance d’un genre (Fiche 12) C. Repères méthodologiques (Fiches 13 – 16) 1. Le personnage, reflet du monde ? A. En quoi les personnages de roman peuvent-ils aider à comprendre le monde ? B. Lecture analytique n°1 : Les Choses (1965) de G. Perec, p. 34 du manuel Lecture cursive : Madame Bovary (1857) de G. Flaubert, p. 30 du manuel

Dissertation : Mme de Staël Madame de Staël, de son vrai nom Anne-Louise Germaine Necker est une romancière et essayiste d’origine suisse née en 1766 et décédée en 1817 à Paris. Elle créa un salon littéraire qui eut une grande notoriété à Paris où elle y côtoyait l’encyclopédiste Diderot, et d’autres auteurs célèbres. Dans son Essai sur les fictions, Madame de Staël écrit : « L’on a prétendu que les romans donnaient une fausse idée de l’homme(…). Lorsqu’ils sont bons, rien ne donne une connaissance

libre pour l’élève pas de moments seul pas de relations sociales => Idéal pédagogique et élitiste car l’enseignement coute cher. On peut reconnaitre un texte de Rabelais grâce à: -sa verve rablaisienne et son accumulation de mots. Ses textes critiques souvent le dogme de la religion et il est contre le principe de la guerre. 2.Montaigne Il a eu une éducation moderne/innovante. Ensuite il va au collège et est très déçu par cet enseignement unilatéral. Il a une amitié fusionelle avec Etienne

Conclusion Sujet rappelé : Une Vie suggère que les filles de la noblesse ne sont pas préparées à affronter les réalités de la vie et de leur époque. Synthèse : (Voir plan du développement) Ouverture : Ressemblance chez Jeanne et Mme Bovary de leurs vies qui sont parsemées de tristesses et de monotonies et différence dans leur sort final (espoir pour Jeanne et mort pour Emma). Au XIXe siècle, suite à la Révolution française, on assiste à une reconfiguration des classes