Critiques De La Loi De Say Par Marx Et Keynes

carcan de la religion et de la morale. Au Moyen Âge, l'Eglise enseigne qu'aucun chrétien ne doit se faire marchand et les marchands sont mal vus. Cette interdiction se fonde sur des versets bibliques qui dénoncent le prêt à intérêt, ainsi que sur la critique aristotélicienne de la chrématistique. C’est Thomas d'AQUIN qui va faire évoluer cette position en posant la distinction entre l'intérêt (acceptable sous certaines conditions, voir plus loin) et l'usure, c’et-àdire le prêt à intérêt à un taux abusif

carcan de la religion et de la morale. Au Moyen Âge, l'Eglise enseigne qu'aucun chrétien ne doit se faire marchand et les marchands sont mal vus. Cette interdiction se fonde sur des versets bibliques qui dénoncent le prêt à intérêt, ainsi que sur la critique aristotélicienne de la chrématistique. C’est Thomas d'AQUIN qui va faire évoluer cette position en posant la distinction entre l'intérêt (acceptable sous certaines conditions, voir plus loin) et l'usure, c’et-àdire le prêt à intérêt à un taux abusif

KEYNESIENNE ET LA CRISE DE 1929 Pour Keynes, il peut exister un équilibre de sous emploi, c'est à dire un équilibre dans lequel toutes les forces productives ne sont pas employées. On se trouve alors face au chômage. Cela se produit quand l’incitation à investir n’est pas suffisamment forte. Pas assez de consommation et trop d'épargne. L’équilibre ne sera rétabli que grâce à l'intervention de l’Etat. La parution de la Théorie Générale de Keynes date de 1936. Même si Keynes n’essaie pas vraiment de donner

L'équilibre du marché du travail • Les caractéristiques de l'équilibre : -> C'est un équilibre de CPP : rationalité absolue des acteurs, décentralisation des décisions, flexibilité totale du taux de salaire. -> C'est un équilibre de plein-emploi (loi des débouchés de Say) : si chômage il y a, il ne peut être que volontaire. • L'étude de l'équilibre : -> L'équilibre en analyse statique. -> L'équilibre en analyse dynamique : modèle de la toile d'araignée. B) L'analyse en concurrence imparfaite (les causes de

vie économique fonctionne comme un organisme vivant, avec des organes qui ont des fonctions d'où l'idée qu'il y a un ordre économique et social naturel qu'il ne faut pas perturber. L'État doit assurer la liberté totale du commerce et du travail. La loi Le Chapelier va supprimer les corporations pour qu'il y ai plus de libertés de métier. Précurseurs du libéralisme. B- Le courant classique (fin 18ème, début 19ème siècle) Les points communs au courant classique, c'est un raisonnement macro-économique

  4.   Paradoxe  quant  à  l’existence  d’un  marché  monétaire ......................................................... 6   Les  propriétés  spécifiques  de  la  monnaie  selon  J.  M.  KEYNES  (1936).................................................. 7   Le  taux  d’intérêt  :  une  convention ....................................................................................................... 8   IV.  

invisible (A. SMITH). L’offre crée sa propre demande (JB. SAY), il n’y a pas de crise de surproduction, il y a un équilibre dans tous les secteurs. Théorie des échanges internationaux : Théorie des avantages absolue, un pays se spécialise dans la production ou il est le meilleur (A. SMITH) et théorie de l’avantage relatif, un pays doit se spécialiser dans le domaine où il est le moins mauvais (RICARDO) II. La pensée socialiste (K. MARX) Marx avait sous les yeux la misère mais aussi les crises, il

permettant ainsi une hausse de la natalité et une baisse de la mortalité. Cependant cet essor économique butte sur la diminution du revenu/tête moyen (à cause de la hausse de la population) et sur l’insuffisance inévitable des terres pour se nourrir. Cette loi immuable déclarée par Malthus a brisée l’essor des sociétés en croissance. Ainsi les revenus ont stagnés jusqu’au 17ème siècle. L’espérance ainsi que les conditions de vie n’ont d’ailleurs que très peu évoluées entre les sociétés aborigènes et le début

année à l’autre pour définir le taux de croissance. Avant 1976 , les services non-marchands n’étaient pas comptabilisé dans le PIB. On essaie d’évaluer la richesse produite par les services publics. La pluparts des auteurs libéraux du 19e ( smith , marx) ne reconnaissaient que l’industrie et l’agriculture pour comptabiliser le PIB. * PNB : il est sensiblement différent. Il prend compte les valeurs ajoutées produites sur le territoire national et à l’étranger par les entreprise d’un même pays

évidence "la meilleur allocution possible des ressources disponibles". En d'autre terme, elle étudie la rareté des ressources. L'expression économique de cette rareté se retrouve dans le principe de l'offre et la demande ce qui est convenu d'appelle la loi du marché. Ainsi, un bien rare, l'offre moins fort que la demande, suggère un prix élevé. Longtemps l'économie fut considérée comme la science de l'accumulation des richesses. La recherche d'une croissance continue illustre parfaitement cette