Critiques Sur Good Bye Lenin

est le miroir cinématographique de la RDA, la mémoire visuelle d'un pays disparu, elle imprègne toujours l'imaginaire des allemands, et même de l'Europe, comme l'ont montrés les films Good bye Lenin en 2003 et La vie des autres en 2006. On constate le retour d'actrice est-allemande comme Katrin Sass, dans Good bye Lenin, ou Ulrich Mühe, l'agent de la Stasi dans La vie des autres, qui a lui-même souffert de la surveillance de la police politique. Il convient de réhabilité, notamment en France

vérité qui dérange (2006, Davis Guggenheim) (contre la pollution) L’Amérique est capable de s'auto-critiquer Le cinéma de la géopolitique : Un baromètre des relations internationales : Rocky IV : Période Reagan L'arme fatale 2 (contre Apartheid) La Reine Margot (film parlant du massacre de la St Barth, sortie pendant les massacres au Rwanda) Godzilla 1998 (essai nucléaire français) Good Bye Lenin Spider Man (2002) Master and Commander (2003, Peter Weir) = réalité inversée pour coller à la réalité

été un événement phare dans la continuité de cette guerre froide, tant au niveau national qu'international. Wolfgang Becker, un réalisateur et scénariste allemand, retrace ainsi la chute du mur puis la disparition de la RDA dans son œuvre« Good Bye Lenin ! » (Sorti le 10 septembre 2003). Ainsi nous vous proposons d'étudier ce fait historique à partir de l'œuvre cinématographique allemande. Dans ledit film, le personnage principal, Daniel, a 21 ans et vit dans la partie Est de Berlin. Ce Berlin

cinéma est ici une allégorie de l'histoire. Si le cinéma est une allégorie de l'histoire, c'est que ces deux représentations – le cinéma et l'histoire – ont la capacité exemplaire de donner forme au monde » nous dit Antoine De Baecque, historien et critique de cinéma, le selon les théories de Siegfried Kracauer, penseur du cinéma et de l'histoire, dans le livre Histoire et Cinéma d'Antoine de Baecque. L'étude des films permet à la fois de visionner plus clairement la période concernée, mais aussi, de

Literatenfamilie Mann bei dem fiktionale Szene mit Dokumentarelementen gemischt werden. / Un film télévisé en trois parties, associant des scènes de fiction et des extraits documentaires raconte la vie de la famille Mann et ses nombreux écrivains. Good Bye, Lenin (2003) Am 7. Oktober 1989 bekommt Christiane Kerner in der DDR einen Herzinfarkt. Im Juni 1990 wacht sie aus dem Koma auf. Um sie zu schonen, versucht ihr Sohn alles, damit sie nichts von dem Mauerfall erfährt. Eine Tragikomödie. / Le 7 octobre

économiques nettement moins bons et du chômage plus important que la partie Ouest. Le Mur reste présent dans les mentalités : incompréhension Ossies / Wessies ; difficulté d’adaptation ; chômage massif ; montée d’extrême droite ; Ostalgie (Cf Good Bye Lénine). B) L'Est en reconversion rejoint l'Ouest Les ex-démocraties populaires voulant rejoindre l’UE doivent s'atteler à 2 réformes essentielles et remplir des critères d'adhésion fixé à Copenhague en 1993 (DK) · Politiquement : devenir

d’individus soient concernés. C’est le cas par exemple des baby-boomers qui ont fait Mai 68 : l’article de Jean-François Sirinelli, publié dans le magazine L’Histoire, évalue les 16-24 ans à plus de 8 millions à ce moment-là. Ce phénomène est vu de façon critique par l’essayiste Gabriel Matzneff dans Le Taureau de Phalaris : il parle de « troupeau » pour qualifier l’effet de masse qui sous-tend la notion de générations. [B. ... et des événements fondateurs...] Mais être nombreux ne suffit pas. Les individus

communiste sur les pays frontaliers le président des state unis d'Amérique , Harry Truman décide d'aider financièrement tout les pays menacé par le communisme grâce au plan Marshall. Pour répondre a cette unité ouest allemande qu'ils considèrent comme une critique et une menace et à cause des dégradations des relations entre les parties occidentales et orientales , les soviétiques réalisent le blocus total de Berlin qui consiste à empêcher la population berlinoise d'avoir tout contact avec le peuple extérieur

2) peut sembler en opposition avec le reste du corpus. Il ne faut pas cependant lui faire dire ce qu’il ne dit pas : il ne nie pas, notamment, l’effet de génération décrit par F. Gaussen (document 1). Il en a seulement une autre perception, plus critique, et il apporte des nuances dans la synthèse. Il faut donc lui donner toute sa place et ne pas l’écarter, voire — ce qui serait une erreur méthodologique ! — lui consacrer des sous-parties entières sans le confronter aux autres documents. La problématique

identitaires qui n'appartiennent qu'à elle ?   Qui définit une génération ? Les biologistes, les historiens, les sociologues, voire les publicitaires pour en faire un argument de vente ? Ou la génération qui précède pour parler de celle qui suit, pour la critiquer souvent parce qu'elle ne lui ressemble pas dans ses goûts, dans ses valeurs, dans ses engagements ? Ou la génération concernée pour se démarquer de celle qui la précède, et se définir dans l'immédiateté comme une génération particulière ? Ou les