Criton Justice

protagoras : scientifique comme pytagore. a bcp voyagé et a fondé des ecoles et a bcp de disciples. il arrive avc une position et prend parti en faveur de la democratie (sage qui enseigne la sagesse). Protagoras : science qui permet d'enseigner a tous la justice, la vertue et la rethorique afin de faire de vous des gens compétents. Protagoras : radical et Platon : aristocratique. platon n'aime pas la demo athenienne et Protagoras étranger aime la démo athénienne. Aristote est macédonien et est contre Platon

soumission et d'égards que pour un père, et, dans ce cas, ou la ramener par la persuasion ou faire ce qu'elle ordonne et souffrir en silence ce qu'elle vous ordonne de souffrir. » Platon, Criton, ive s. av. J.-C. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 547 Citation 561 Calliclès : « La justice consiste en ce que le meilleur ait plus que le moins bon et le plus fort plus que le moins fort. Partout il en est ainsi, c'est ce que la nature enseigne, chez toutes les espèces animales

désobéissance? La loi, au contraire, est une règle universelle, supposée s'appliquer à tous et ne connaître aucune exception. L'intérêt n'est-il pas en effet que tous la respectent pour pouvoir vivre ensemble? Ne sert-elle pas justement à proposer une justice commune et publique que nous n'arrivons pas à établir autrement? Dès lors, désobéir, cela ne revient-il pas à mettre en danger le bon fonctionnement de la société? Peut-on justifier le fait de faire courir un tel risque à mes concitoyens, et à moi-même

auront tous les droits possibles; il est dit seulement que tous auront les mêmes droits; et c'est cette égalité des droits qui est sans doute la forme de la justice; car les circonstances ne permettent jamais d'établir un droit tout à fait sans restriction; par exemple il n'est pas dit qu'on ne barrera pas une rue dans l'intérêt commun; la justice exige seulement que la rue soit barrée aux mêmes conditions pour tout le monde. Donc je conçois bien que l'on revendique comme citoyen, et avec toute l'énergie

TRAGIQUES Livre Premier Misères AGRIPPA D’AUBIGNÉ v. 1271-1300 Théodore Agrippa d’Aubigné est né en 8 février 1552, près de Pons en Saintonge. Sa mère meurt en lui donnant le jour. À l’âge de sept ans et demi, Agrippa avait traduit le Criton de Platon. En 1560, à huit ans, Agrippa voyait une scène terrible à Amboise sur le chemin de Paris : les têtes des Protestants qui étaient suppliciés après l’échec de la Conjuration, sur les pieux. Son père, Jean d’Aubigné lui faisait prêter serment

à l’âge de 20 ans, sa rencontre avec Socrate est décisive et l'amène à renoncer aux arts pour s'adonner à la philosophie. Il devint le disciple le plus fidèle de Socrate qui se présente à lui comme l’incarnation de l’adhésion à la vérité et à la justice. Toute sa vie, il conservera pour son premier maître une grande admiration. Il resta avec Socrate jusqu'à ce que celui-ci fut condamné à mort et exécuté par la démocratie athénienne en 399. Une blessure qui jamais ne se cicatrisa et qui renforcera

fondamentale. Un débat dont peut réfléchir ensemble. Le bien public est notre bien ( res publica : la chose publique/ commune) son but est défendre se bien. La parole du peuple est essentielle parce que chacun peut faire entendre sa voix II) politique et justice *La politique d’Aristote Aristote : élevé de Platon et le précepteur du roi de la masaidoine. ‟La 1ere des sciences la science des fins les plus hautes de l’humanité.” * c’est une science a visé pratique (et non théorique) * des fins : but

conscience comme lieu fondateur de la moralité. On perçoit ainsi que les thèmes de la conscience morale et du Jugement des morts sont intimement liés. Il n’est pas de justice humaine qui ne soit assurée contre l’erreur judiciaire, ni de verdict contre lequel il ne soit pas possible de faire appel. C’est pourquoi la justice des hommes est fondée sur le Droit, qui est relatif à la coutume ainsi qu’à l’Histoire, et non sur la Moralité, dont la loi est « inconditionnée » (Kant). Pourtant, nous pourrions

l'existence politique est un fait naturel pour l'homme, doué de « logos». ~ Grâce à la parole, l'individu peut échanger avec ses semblables, et s'entendre avec eux sur les valeurs communes qui vont organiser la vie dans la cité (notamment les valeurs de justice). Pour Aristote, la communauté politique qu'est la Cité va donc bien au-delà de la simple gestion des besoins (pour cela, la famille et/ou le village suffisent largement). Il écrit ainsi dans le livre III des Politiques: « L'Etat, c'est la communauté

possible que si nous avons l'idée de l'égalité. L'égalité ne se confond pas avec les objets égaux; elle est une autre chose à laquelle les objets égaux me font penser; cette idée de l'égalité (et il en est ainsi de l'idée du Beau en soi, du Bien, de la Justice, de la Sainteté) est donc antérieure au premier exercice de nos sens ; or, si nous avons fait usage de nos sens dès le commencement de cette vie, il faut donc que l'idée d'égalité soit antérieure à la naissance même, et que, par conséquent, l'âme