Criton

lièvre et la tortue”, “Le pouvoir des Fables” − Melville, Moby Dick − Modiano, Rue des boutiques obscures − Montaigne, Essais, par exemple I, 23 ; I, 26 ; I, 50 − Montesquieu, Lettres persanes − Platon, un dialogue philosophique (par exemple, Criton, République livre II) − Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, par exemple deuxième et sixième promenades − Contes proposant un parcours initiatique, en particulier Ch. Perrault, Contes, “Le Petit Chaperon Rouge”, “Griselidis” − Paraboles

sein de la Cité, un homme isolé ne pouvant être qu'un dieu ou un être dégradé) 2) La communauté politique est essentielle pour l'individu car c'est grâce à elle qu'il va pouvoir construire son identité, et se constituer en tant qu'homme. Cf. Criton: l'une des raisons que donne Socrate pour expliquer son refus de s'évader et de désobéir aux lois de la Cité, est justement que c'est grâce à ces lois athéniennes qu'il est devenu l'homme qu'il est; sans la constitution qui est au fondement de la

ethikos par moralis (latin). La question morale par excellence = Vaut-il mieux commettre l’injustice ou la subir ( Gorgias , Platon. Cf. aussi le Criton ). Le daïmon (la voix intérieure) de Socrate lui enjoint de préférer la subir. Le terme corrélatif du devoir = le droit. Droit (moral) et devoir sont étroitement liés. Le droit suppose le

Introduction Socrate décida de subir son procès sans demander d'aide, sans avoir préparé une défense respectable, préférant faire confiance au peuple. Même une proposition d'évasion lui fut proposée par son ami Criton qui aurait pu le sauver en offrant des pots de vins. Il aurait même pu avoir une sentence moindre et plus respectable en faisant ce que les jurés lui demandaient de faire préférant alors leur raconter sa vie. Est-ce qu'il a fait le bon choix de décider de mourir courageusement

n’accepte pas non plus le relativisme des sophistes. Socrate croit que l’homme peut avoir acces a la verite grace a une methode vigoureuse. Témoignages sur la vie et la mort de Socrate Platon: Apologie de Socrate – Platon raconte son procès Criton – Platon nous offre le récit de sa vie à Athènes Phédon – nous assistons à ses derniers moments et à sa mort À l’issue du procès, Socrate est condamné à mort, à boire un poison toxique, la cigüe Un délai d’un mois sépare sa condamnation de son

s’est intimement identifié à son maître Socrate au point d'en faire son propre porte-parole. On distingue trois groupes d’ouvrages qui correspondent aux étapes de l’élaboration de Platon : - Les dialogues de jeunesse (Apologie de Socrate, Criton, Gorgias). - Les dialogues de maturité (Phédon, Le Banquet, La République). - Les dialogues de vieillesse (Le Sophiste, Parménide, Le Politique, Philèbe, Timée, Les Lois). Les écrits de Platon on eu une influence décisive sur toute la philosophie

sublime entretien; aussi est-il plein d'espérance et de calme et forte confiance; sa sérénité ne se dément point un instant. Il prend le poison, il se couche, il sent le froid qui le gagne peu à peu des extrémités au cœur, et il meurt en recommandant à Criton d'immoler un coq à Esculape, dieu de la médecine, qui vient de le guérir de la vie. III. — Appréciation du Dialogue Les preuves les plus importantes du Phédon ne sont guère que des applications de la théorie platonicienne sur l'origine des idées

Victime des démocrates 2. Victime d’un règlement de compte personnel d’Anytos => Victime de son anticonformisme Sagesse : pensée = parole = action Mort Dialogue de Phédon : écrit dans la prison ou Socrate a été condamné « Oublie pas Criton, nous devons un cas à Asclépios » derniers mots de Socrate 4.2 Le dialogue socratique Chéréphon dit a Socrate que c’est lui le plus sage de tous les hommes de la Grèce (selon les Dieux de Delphes) Apollon parle à travers des rêves et prédit l’avenir

d’un Autre un « tu dois », sous la forme d’une injonction, d’une admonestation ou d’une supplique qui n’impliquerait pas nécessairement la parole articulée. I. La mère, le père, les lois (le « tu dois obéir ») Dans cette première je partirais du Criton (« prosopopée des lois ») pour évoquer l’autorité des lois, pour la rapprocher de celle de la mère, tout en l’en distinguant ; puis je m’appuierais sur Freud pour distinguer l’autorité du Père de celle de la mère. II. Ma conscience morale (le «

retrouvent sans lois il n’y aura plus d’autorité pour protéger leurs droits qui est fondamental. La justice est indispensable au maintien de la paix. Nul ne peut se faire justice soi-même afin de garantir le respect de chacun. Socrate demandait à Criton s’il fallait obéir à une loi même si elle nous parait injuste. Il est mort pour ses principes car pour lui commettre l’injustice serait pire que la subir. Il a accepté la mort au nom de la loi, à qui il était soumis parce qu’elle est le fondement