Croisée d'ogives

présente des tribunes sur les collatéraux. La hauteur de la voûte en plein cintre est de 21 mètres. Elle couvre la nef et le transept grâce à des contrebutées latérales constituées de voûtes en quart-de-cercle disposées au-dessus des tribunes. La croisée du transept est surmontée d'une coupole sur trompes juste en dessous du clocher. Les piliers centraux ont été de nombreuses fois renforcés pour soutenir le clocher qui a pris de l'élévation au cours des siècles. Ce renforcement casse légèrement les

lourdes ; elles nécessitent des murs d'appui épais, le plus souvent renforcés par des contreforts accolés de place en place. Le gothique amène une solution aux problèmes de forces que connaît le roman. En effet, l'arc brisé et surtout la croisée d'ogive permettent, contrairement à l'arc en plein cintre, de diriger le poids (Le poids d'un corps nu ou force de pesanteur est la force exercée sur un corps (de masse m) immobile dans le référentiel terrestre (c’est-à-dire, lié à l'objet solide Terre

voute d'ogive gothique en France à l'église de Morienval dans l'OiseCHRONOLOGIE SOMMAIRE DE L’ART GOTHIQUE Alors qu’en Occident l’art religieux est dominé depuis le début du XIe siècle par l’Art Roman, et dans la sphère byzantine par l’Art orthodoxe, le siècle suivant devait voir apparaître, dans des églises de l’île-de-France et en Haute-Picardie, une nouvelle conception de l’architecture qui était appelée à s’imposer dans l’ensemble de l’Europe occidentale. 1122 Apparition de la voûte d'ogive gothique

6m : portée exceptionnelle 2,5m : portée importante 1Mm : portée courante 3. L’arc Blocs de pierre assemblés de manière a former un arc les blocs s’appellent des claveaux. * Arc plein cintre * Arc bombé * Arc brisé ou d’ogive (arc tiers-point) D. Les voûtes 1. Les voûtes en berceau La voûte en berceau : voûte formée par la translation d’un arc. * Voûte en berceau plein cintre * Voûte en berceau brisé Arcs doubleaux : doublent la voûte en berceau

il faut y ajouter le grand nombre de vitraux, les grandes rosaces et le nombre de sculpture qui donne à la cathédrale toute sa puissance et sa domination spatiale. 2° Les innovations ayant permis cette révolution architecturale sont les croisés d'ogives et surtout les arc boutants et les contreforts qui permettent une meilleure gestion et répartition des forces, du poids ; donc d'augmenter les hauteurs, diminuer le poids sur les piliers centraux, sur les murs ; donc pouvoir réaliser de large ouverture

techniques romaines se développe : de nouvelles églises, en forme de croix latine et aux voûtes en arc de cercle apparaissent. C. L’art gothique Au milieu du XIIe siècle, l’architecture évolue vers le style gothique : l’utilisation de la croisée d’ogives et des arcs-boutants permet d’élever les églises et de pratiquer de grandes ouvertures dans les murs. La lumière peut ainsi pénétrer à l’intérieur des vitraux. D’immense cathédrales, richement décorées sont construites dans le centre des villes

techniques romaines se développe : de nouvelles églises, en forme de croix latine et aux voûtes en arc de cercle apparaissent. L’art gothique Au milieu du XIIe siècle, l’architecture évolue vers le style gothique : l’utilisation de la croisée d’ogives et des arcs-boutants permet d’élever les églises et de pratiquer de grandes ouvertures dans les murs. La lumière peut ainsi pénétrer à l’intérieur des vitraux. D’immenses cathédrales, richement décorées sont construites dans le centre des villes

pour ce qu’il crée et l’amour des êtres se portant vers leur créateur. - Pour permettre à la lumière d’entrer dans l’édifice religieux, il faut réduire la place des murs et les rendre translucides. On tire alors parti de l’invention de la croisée d’ogives en Angleterre fin XIè S. : la voûte devient plus légère, pèse moins sur les murs qui peuvent être alors percés à tous les niveaux, se met en place la gloire du vitrail. Et pour permettre la vénération des reliques, il faut de la place à l’intérieur

du bâtiment ». Au Moyen-âge, naissent l’art roman et l’art gothique. A cette époque sont construites de nombreuses cathédrales et églises où l’on retrouve la « divine proportion », notamment dans les arcs brisés ou boutant et les voûtes sur croisées d’ogives. De plus, l’arrivée des nombres arabes donne une autre vision du monde mathématique. On s’intéresse désormais au nombre d’or non seulement pour ses propriétés géométriques mais aussi pour le fait qu’ils soient une solution d’une équation du second

& l'inté (par ex le portail néo g a sur son trumeau le couronnemt de la vierge, à l'inté de l'autre côté du vitrail = mm icono). L'originalité ds l'ég St pierre = contraste entre doubleau très épais & ogive très fine tores à listel avec la croisée d'ogive qui retombe en réalité devant le doubleau = vocabulaire papal qui confirme que les architectes viennent d'avignon. Croisement de l'architecture. au palais des papes à avignon on ne retrouve pas ce sytème ms on retrouve le listel et les tores