Croisée d'ogives

plusieurs reprises : ces symboles sont la marque des maçons pour indiquer qu'ils avaient fini leur travail. Au premier étage il y a une baie ouverte, appelée aussi salle haute d'au moins 4 mètres et dont le plafond est formé par une voûte sur croisée d'ogives. En continuant de monter, on arrive en face de la splendide voûte de la grande vis, à savoir le plafond. Le pilier central qui forme l'escalier se termine par un décor particulier : le tronc d'un chêne sculpté dans la pierre et qui s'étend

avec la diffusion de la croisée d’ogive qui permettent de diriger les poussés vers quatre piliers. Pour éviter qu’ils ne s’écartent, on invente l’arc-boutant. On peut retrouver ces inventions à Strasbourg. La nef de Strasbourg mesure 40 mètres de long sur 16 mètres de large pour une hauteur de 30 mètres. On peut y voir très facilement la croisée d’ogive et l’arc brisé dont le dessin est formé de deux portions de cercle qui se coupent. Croisée d’ogive Image.google.fr Nef

supplémentaire entre les grandes arcades et les fenêtres hautes . ( Notre-dame de Bernay) Il peut avoir uniquement un rôle esthétique/ plastique, soit un rôle structurel avec des tribunes voûtées qui sert à contrebutes . 3. Autre innovation : croisée régulière : Espace où la nef vient rencontrer le transept , elle va être limitée par 4 piliers cruciformes et qui est voûté d’une coupole sur trompes. Dans la 1ere moitié du XIe s : rare sont les églises entièrement voûtée , quand elles le sont

vaisseaux est saillant, détient une croisée de transept et ses bras sont flanquées de chapelles orientées. Le chœur présente trois travées à double bas-côtés ainsi qu’une abside accolée au déambulatoire. Le chevet est flanqué de cinq chapelles rayonnantes ouvertes sur le déambulatoire. La chapelle axiale est prolongée de trois travées. L’édifice est recouvert de voûtes d’ogives quadripartites. L’abside est les chapelles rayonnantes sont couvertes de voûtes d’ogives octopartites. 1.2 – L’élévation

mètres de large. La structure de l'édifice est reportée vers l'extérieur, grâce à des arcs-boutants, des contreforts et des pinacles, afin de créer, à l'intérieur, une sorte de plan libre, soutenu par des piliers, qui lie les espaces. La voûte en croisée d'ogive permet une grande hauteur. Les façades sont percées de grandes fenêtres à vitraux, qui illuminent l'intérieur. La hauteur intérieure atteint plus de 108 mètres, c'est une des cathédrale les plus haute du monde. L'ensemble à un remarquable élancement

Le niveaux inférieur encadre 3 fenêtres décoré de billettes reposant sur des colonnes à chapiteau. Le 2ème niveau situé sous la corniche est une frise d'arceaux régulier retombant alternativement sur des console ou des colonnettes. 4- Tour de croisée C'est une tour clocher. Est surmontée d'une pierre galbée culiminant à 43m du sol . C'est une tour octogonal. Elle reproduit les mêmes divisions et décorations que les tours de la façade. La tour est du XII° mais en ce qui concerne la flèche des

particulier, il faut des meubles pour enfermer des provisions, les vêtements plus variés et la vaisselle toujours plus nombreuses et plus belle. 3) Quelle sont les caractéristiques de l’architecture Gothique ? Il employait l’arc brisé ou d’ogives, la voute sur croisée d’ogives et l’arc boutant. L’arc boutant neutralisant la poussée des voutes, est épaulée par une culée surmontée d’un ou plusieurs pinacle. 4) Cite 6 cathédrales de France ? Cathédrale Notre Dame de Chartres Cathédrale Notre Dame de Paris

L’art Gothique Situer la période sur la frise : XII , XIII, XIV , XV essentiellement Procéder comme pour l’art roman : Construction : Progrès techniques -voûte à croisées d’ogives -murs moins épais -grandes ouvertures ornées de vitraux -arc-boutants Décoration plus riche Forme de l’église toujours en croix mais différente. Montrer diverses

pour laisser place à une fenêtre géminée. Enfin au dernier niveau on retrouve ce double mur ou a été taillé un arc formeret et dans le fond on retrouve une fenêtre géminée. Au dessus il y les arcs d'ogives en forme d'arc diagonal au plafond de l'édifice. La pénétration des nervures des voûtes d'ogives à liernes et tiercerons viennent s'appuyer sur de grosse demi colonne arrondies qui repose elle même sur ce qui reste des piles du XII eme siècle. On retrouve ça entre les travées I et II , II et III

la France. I/ L'art Roman (XI-XII' siècle) A. architecture religieuse et éléments de vocabulaire type Chevet, transept, nef : organisation d'une église, plan de type basilical. Nef simple ou nef centrale + collatéraux. Transept débordant, la croisée du transept supporte un clocher. Chevet simple, plan en hémicycle, plat, ou complexe (en absides échelonnées). Plan centré à Saint Front de Périgueux, issu du martyrium de saint sépulture de Jérusalem. Plan d'une église à reliques (restes de saints)