Croix de fer

LE SEMINAIRE Il vit de loin la croix de fer doré sur la porte ; il approcha lentement ; ses jambes semblaient se dérober sous lui. Voilà donc cet enfer sur la terre, dont je ne pourrai sortir! Enfin il se décida à sonner. Le bruit de la cloche retentit comme dans un lieu solitaire. Au bout de dix minutes, un homme pâle, vêtu de noir, vint lui ouvrir. Julien le regarda et aussitôt baissa les yeux. Ce portier avait une physionomie singulière. La pupille saillante et verte

leurs blessures comme autant de preuves de leur bravoure guerrière. 1) Plans Au premier plan, on voit un invalide de guerre qui a perdu ses deux jambes, monté sur une planche à roulette et qui s’aide de deux bâtons pour avancer. Il porte une croix de fer à sa veste. Il roule sur un journal antisémite où est écrit « Juden raus ! » (Dehors les juifs !). Au deuxième plan, un invalide mendie. Le pauvre homme a été mutilé par la guerre. Il est comme « désarticulé », et a perdu ses deux jambes et son

l’unité de l’Allemagne , mais aussi la marche difficile du pays vers la démocratie. Construit à Berlin entre 1884 et 1894, sous le règne de l’Empereur Guillaume II par l'architecte Paul WALLOT. Il comportait déjà une coupole moderne en verre et en fer. La solennité du bâtiment était accentuée par une entrée imposante à colonnes corinthiennes supportant un pignon triangulaire et un grand escalier devant être franchi pour accéder au portail d’entrée principal. Le résultat fut une construction comportant

contenu, tout ce qui a passé devant lui, tout ce qui s'est contemplé, miré dans son affection, dans son amour ! Comme je souffre ! Je sortis et, malgré moi, sans savoir, sans le vouloir, j'allai vers le cimetière. Je trouvai sa tombe toute simple, une croix de marbre, avec ces quelques mots: "Elle aima, fut aimée, et mourut." Elle était là, là-dessous, pourrie ! Quelle horreur ! Je sanglotais, le front sur le sol. J'y restai longtemps, longtemps. Puis je m'aperçus que le soir venait. Alors un désir

Otto Dix en 1920. Otto Dix (né à Untermhaus près de Gera le 2 décembre 1891, mort près de Constance, à Singen, en 1969) est un peintre allemand de l'Expressionnisme. Il est issu d'un milieu ouvrier (son père Franz travaillait dans une mine de fer), mais reçoit une éducation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Otto Dix traverse la première partie du XXéme siècle avec des oeuvres où sourd une violente critique sociale, reflet de cette période de turbulences

articulée. Au dessus de son col, on remarque une prothèse de métal qui remplace sa mâchoire, il porte la croix de fer (médaille). L’extrémité mutilée de son nez est couverte par un bandeau noir sans doute en cuir attaché derrière la tête. Le personnage du centre semble avoir des prothèses faciales métalliques, un œil de verre et il a deux moignons à la place des jambes. Il semble posé sur un socle de fer. Contrairement aux deux autres, il possède par contre ses deux mains mais l’une d’elle est articulée

l’affiche Premier plan : Hitler, au centre, en chemise brune, avec un brassard à gauche et un drapeau rouges dans la main droite frappés de la croix gammée. Ce sont les symboles du parti nazi, un parti politique antisémite et raciste. La couleur rouge est censée signifier que les Nazis se préoccupent des difficultés sociales. Hitler porte la Croix de fer, distinction reçue pendant la Première Guerre mondiale. Deuxième plan, en bas : Un slogan nationaliste « Vive l’Allemagne » pour faire vibrer

qu'offrent les combats dans les tranchées. En 1916, plusieurs centaines de ses dessins de guerre sont exposés à Dresde. Ils constituent aujourd’hui une importante source de documentation sur la Grande Guerre. Son courage lui vaut d’être décoré de la Croix de Fer (deuxième classe) et promu au rang de vice‐adjudant. À la fin de l’été 1918, il s’inscrit à une formation de pilote et passe les dernières semaines de la guerre en Silésie En 1920 Dix participe à la Première Foire Internationale Dada à Berlin

de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage n’a pas de jambe. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot et l'autre est aussi une prothèse. Sur son veston il porte une croix germanique: signe de ralliement des Allemands. Les couleurs tournent autour du verdâtre, noir, et bleu foncé. On voit aussi que les lignes du tableau forme en quelque sorte des figures géométrique. L’utilisation du clair/obscur nous révèle les corps

pierres, de fer forgés, de verre et de céramiques, la rend unique . La couleur dominante de cette maison que l’on retrouve beaucoup dans les roches utilisées et dans la céramique. Sa toiture colorée et pleine de piques rappelle le dos arqué d’un dragon, dans les combles a été fait une petite fenêtre triangulaire que Gaudi avait conçue pour pouvoir observer la Sagrada depuis celle-ci. L'un des éléments les plus remarquables de la façade est la tour couronnée d'une flèche en céramique et d'une croix gardienne