Croyances Raisonnables

parallélisme (même construction) : volonté didactique certaine Connecteurs logiques argumentatifs " toutefois " " aussi " = ils amènent l’exemple après 2 arguments dans le quatrain - " nous " : volonté d’être cru du lecteur, entraîne le lecteur dans la croyance de celui qui s’exprime Répétitions anaphoriques régulières : valeur persuasive B. Une vérité troublante : la vie est un passage Tout le système didactique est mis en place pour affirmer une thèse, une idée générale qui est une sorte d’illusion

contexte d'ensemble - culturel et spirituel - qui donne sens aux souffrances rencontrées par les uns et les autres. Mieux, le malheur qui accable les uns et les autres est l'occasion de resserrer les liens sociaux et de rappeler les fondements de nos croyances et de nos espérances communes. Cela n'est pas vrai seulement dans des sociétés primitives ou traditionnelles, mais aussi dans nos sociétés développés. La mort qui frappe durement telle ou telle famille est l'occasion de renouer pour chacun avec la

Chez Descartes le doute est dit "méthodique", c'est-à-dire qu'il ne prend son sens que par rapport à la méthode qui l'accompagne : le doute est radical (on doute de tout, non seulement des apparences mais aussi de tous les préjugés, de toutes les croyances, de toutes les opinions) mais cet état n'est que provisoire , on recherche les choses qui résisteront au doute (des choses indubitables). Le doute cartésien est donc un moyen en vue d'une fin : ce qui lui résistera sera assurément considéré comme

choses et des êtres a mesure qu'elle croit s'approcher d'une vérité. La tentative d'abstraction de la science peut ainsi se voir comme une tentative de falsification du réel. Ainsi, s’agit-il de connaissances dont l’essence réside dans le degré de croyance que l’on doit leur créditer ? Peut-on attendre de l’activité scientifique un savoir stable et assuré sur les objets du monde qui nous entoure ? Autrement dit, la science est elle pour nous une connaissance qui ne comporte pas de doute? Tout ce savoir

Libellé :  traitez la question philosophique suivante : «Au niveau des jugements de valeur et d'interprétation, est-il raisonnable de croire qu’une vérité est possible au-delà des opinions personnelles?»(concepts-clés : «opinion» et «vérité»)Titre : L’enjeu de faire pareil comme tout le monde en se disantdifférent (ou l’inverse?)IntroductionSujet amené, incluant une référence à un philosophe à l'étude (5 pts.) :Au Ve  siècle avant Jésus-Christ, Socrate et les sophistes s’interrogeaient sur la valeur

les saignées). Platon oppose ainsi la vérité à la croyance, l'opinion (la doxa). Il explique que les hommes croient posséder la vérité et ne la recherchent pas, alors qu'ils sont dans l'illusion de la connaissance, dans l'ignorance, dans l'« opinion ». Il est nécessaire de rechercher la vérité et donc de commencer par détruire la doxa. B :La vérité, une délivrance La vérité serait donc une délivrance : elle délivre de l'ignorance, de la croyance, de l'opinion. C'est pour cette raison, selon Platon

qu’il y a des « sous-hommes » ou des hommes destinés à être esclaves par nature. Le critère qui permet de reconnaître que quelqu’un est barbare n’est autre que sa croyance à l’existence de barbares. En effet, celui qui croit à la barbarie déclare qu’une partie de l’humanité n’appartient pas à l’humanité, à l’ensemble des êtres raisonnables sensiblement affectés qui se respectent, qui se reconnaissent comme des personnes, sujet moral et sujet de droits, c’est donc une inaptitude à repérer l’unité de

montrer à quel point l’objectivité n’est pas une donnée immédiate de la science mais une conquête de l’esprit sur l’humain. Le plus souvent, quand nous disons qu'un comportement ou une croyance sont irrationnels, nous entendons par là qu'ils sont injustifiés, erronés, contrairement à ce qui est rationnel (=raisonnable). L'irrationnel désigne par définition ce qui ne relève pas de la raison, ce dont la raison humaine ne peut rendre compte. Il semble donc aller de soi que la raison n'ait pas à s'occuper

les saignées). Platon oppose ainsi la vérité à la croyance, l'opinion (la doxa). Il explique que les hommes croient posséder la vérité et ne la recherchent pas, alors qu'ils sont dans l'illusion de la connaissance, dans l'ignorance, dans l'« opinion ». Il est nécessaire de rechercher la vérité et donc de commencer par détruire la doxa. B. La vérité, une délivrance La vérité serait donc une délivrance : elle délivre de l'ignorance, de la croyance, de l'opinion. C'est pour cette raison, selon Platon

territoriale d'un arrondissement. -» Obscurantisme : Opinion, doctrine des ennemis des «lumières », de ceux qui s'opposent a la diffusion, a la vulgarisation de 1'instruction et de la culture dans les masses populaires. -> Dogmatisme : Caractère des croyances (religieuses, philosophiques) qui s'appuient sur des dogmes (= articles de foi, vérités fondamentales, opinions indiscutables, lois, doctrines). -» Affaire La Barre (1765-1766) : Affaire judiciaire dont la victime fut le chevalier de La Barre, gentilhomme