Crucifix

désespérée d’obtenir de l’aide dans un univers d’où l’humanité a disparu, son appel à l’aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette embroché sur un résidu d’architecture (citation indirecte du christ crucifié) et qui désigne de son doigt la mort et la barbarie qui s’entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l’image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard

noms vont s’inscrire dans l’avenir. - Un couple insouciant accolé à un snack-bar, tourne le dos aux spectateurs, un distributeur de CocaCola près d’une table et d’un mur commémoratif blanc. Rien d’inquiétant dans ce présent ?…sauf une forme humaine crucifié avec les mains brûlées : Kienholz suggère l’horreur du nucléaire. L’œuvre est à la fois réaliste (son et visuel) puisque l’on peut reconnaître les scènes et en même temps elle suggère discrètement le message pacifiste. L’auteur interroge le spectateur

mais l'on devine aussi que sa propre vie doit être d'une banalité affligeante. Nous pouvons également constater que Félicité à effectivement de grandes lacunes dans son éducation religieuse. Elle se demande par exemple, pourquoi des gens avaient crucifié le Christ, ce qui montre qu'elle ignore une grande partie de l'histoire biblique. Enfin, dans l'avant-dernier paragraphe, nous remarquons qu’elle avoue qu'elle "ne comprenait rien" aux dogmes, ce qui permet de nous montrer qu’elle ne comprend absolument

moi je vous bénis» ou le parallélisme « vivant par son amour, mourant par sa pitié » et « vous me maudissez et moi je vous bénis ». Le dramaturge a donc ici recours au champ lexical de la douleur et de l’amour fou entre les deux amants « mon cœur crucifié », « son amour », « je t’aime ! », « je meurs », c’est un amour sublime, symbolisé par la souffrance et qui restera à jamais inaccompli. 3. Une mort sublime et symbolique Au XIXème siècle, chez les auteurs romantique (tel qu’Hugo), le sublime

niveau international, la Cour européenne des droits de l’homme dans un arrêt du 3 novembre 2009 avait jugé contraire à la laïcité l’exposition d’un crucifix dans une salle de classe. Mais un arrêt de la Grande Chambre de cette même Cour a produit un arrêt de revirement le 18 mars 2011, la Grande chambre affirme au contraire que la présence d’un crucifix dans les salles de classe des écoles publiques (en Italie) ne constitue pas un affront au principe de laïcité. En général, les textes internationaux

document, on peux se rendre compte que les chrétiens sont victimes de discriminations, notamment des interdictions de fréquenter certains lieux (doc3 «  on nous a interdit de paraître en quelque lieu se fut») Ils sont également livrés aux fauves, crucifiés, torturés en public. On appellera généralement ses gens des martyrs, car ils préfèreront mourir que renoncer à leur religion. De plus, les chrétiens refusent le culte impérial, ce qui est une autre cause qui engendrera ces discriminations massives

Le christianisme est apparu à Rome à peu près dix ans après que le Christ soit crucifié. Les premiers chrétiens furent persécutés par les romains mais leur persévérance fut récompensée car le catholicisme devint la religion officielle.   En 1870, quand Rome devint la capitale de l'Italie, le pape ne voulu pas céder le Vatican, c'est comme ça qu'il devint un état indépendant où vit le pape la plus grande partie de l'année. En parcourant la péninsule, l'on peux constater qu'outre les magnifiques

: ligne2 " l'Espagne" ; ligne3 " à Séville". Il décrit concretement ce qu'il voit et il ne donne aucun détail inutile. Comme lorsqu'il décrit le cachot ou il est emprisonné : ligne330-31 "Un cachot tres frai, meublé d'un lit de natte et d'un beau crucifix" , il en dit le principal et ne s'étale pas sur celui-ci. Il décrit également d'une façon tres réaliste, ce qu'il voit. Lorsqu'il assiste a la procéssion par exemple, il donne plein d'adjectifs et d'indications sur l'apparence des personnages. Quant

roulant, pâlissaient comme deux globes de lampe qui s’éteignent, à la croire déjà morte, sans l’effrayante accélération de ses côtes, secouées par un souffle furieux, comme si l’âme eût fait des bonds pour se détacher. Félicité s’agenouilla devant le crucifix, et le pharmacien lui-même fléchit un peu les jarrets, tandis que M. Canivet regardait vaguement sur la place. Bournisien s’était remis en prière, la figure inclinée contre le bord de la couche, avec sa longue soutane noire qui traînait derrière

gagne de nouveau. L’inquietude du Senat monte, et en 71 avant J-C, decide donc d’envoyer 50 000 soldats, mene par Crassus, pour le combattre. Durant le combat, Spartacus est blesse a la jambe puis tue. Cette fois-ci, Crassus gagne et decide de crucifier pres de 6000 esclaves revoltes sur la route qui mene de Capoue a Rome pour servir d’exemple aux autres esclaves. La condition des esclaves a Rome sous l’Empire et la Republique. o L’esclavage regne d’un bout a l’autre de l’histoire romaine