Crucifixion

"Meurtre d’Abel par Caïn", "Procession des prophètes du Christ"), il comprend 942 vers et comporte des didascalieslatines riches et précises. Les premiers "mystères" et "miracles" De nombreux récits bibliques sont représentés, de la Création à la Crucifixion. Ces pièces sont appelées "mystères de la Passion", "miracles" ou encore "pièces saintes". Des mansions spécifiques sont dressées autour de la nef, le paradis étant généralement situé au pied de l’autel, une gargouille (tête monstrueuse avec une

pour le Vatican. Son succès est retentissant.Raphaël réussit à atteindre la perfection dans le dessin et est reconnu de son vivant comme le plus grand des peintres. Son œuvre : Des tableaux d'autels = def -Le couronnement de la vierge (1503) -Crucifixion avec les vierge et les saints (1503) -Le mariage de la vierge (1504) -La belle jardinière (1507) -La dispute du saint sacrement (1509) -La transfiguration (1520)Des portraits : De femmes -Son autoportrait (1506) -Maddalena Strozzi Doni (1507) -La

d’orchestre étouffé sert de fond sonore. Cette performance dure six jours. L’œuvre de Nitsch a aussi pour but de c/ommencer « une aurore nouvelle », dit-il,/ après la boucherie des nazis. Le sang va symboliser pour lui un matériau libérateur. /La crucifixion, passage obligé de la prise de conscience de l'existence humaine./ * * • *Otto Muehl.* « dépasser la peinture picturale par la représentation du procès de sa destruction ». Transgresser, les règles de l'esthétisme de l'art

noir, orangé, espace boîte, résultat de la guerre : mort. Le retable d’Issenheim de Mathias Grünwald Dans le retable d'Issenheim il est aussi question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion. Sens : Otto Dix dénonce la guerre à travers ce tableau : violence, mort, soldats considérés comme de la chair à canon. La guerre à la mort n’est jamais la bonne solution, le tableau est représentatif de la violence de masse. Déshumanisation

attitude devant la mort que ce dernier, il porte une chemise blanche et un pantalon jaune, ces couleurs sont celles de la sainteté. Il a aussi la même posture: il a les bras en croix, il a des stigmates sur ses mains qui sont un des symboles de la crucifixion de Jésus. A ses genoux, le prêtre prie, cela montre que l’Eglise jouait un rôle important pour soutenir les résistants espagnols contre les français. Il est le symbole du martyr pour la liberté de la nation espagnole, face à la brutalité des oppresseurs

face au roi. Ce dernier, Guillaume II (successeur de Guillaume le Conquérant) le contraint à s'exiler en Italie en 1097. Anselme continue à lutter contre les pouvoirs séculiers tout en poursuivant sa réflexion théologique sur l'incarnation et la crucifixion du Christ (Cur Deus homo). Lors de l'avènement de Henri Ier (1100), Anselme revient à Cantorbéry mais ses prises de position dans la querelle des investitures (conflit entre le pape et l'empereur d'Occident au sujet des bénéfices ecclésiastiques)

au passé simple : "j'eus bien froid..."; "j'usai" - La douleur est exprimée de manière biaisée (détournée) : il substitue la mort du père à un sentiment anodin. Hiver : morts des plantes- croix : amplification de la douleur. Référence à la crucifixion ? Épisode de la passion (souffrance) - "mes belles mains blanches" opposé à "raboter mes propres planches" antithèse, main de celui qui écrit opposé au travail de sa propre mort. - Négation (sans toi, ni) II) Un espoir de renouveau

peuple. -Le guerrier morcelé au 1er plan évoque toute la violence et la brutalité de la guerre. -Le cheval blessé placé au centre de la composition il symbolise le peuple dont la liberté est mourante. La lance qui lui perce le flanc rappelle la crucifixion archétype de la souffrance et de l’agonie. -Le taureau : il symbolise la bête, la force brute et la cruauté. C’est l’agresseur impassible devant les horreurs qu’il provoque lui-même. -La mère portant son enfant mort : la douleur et les hurlements

indifférence à la souffrance et absence de solidarité ( ex : haine envers les juifs). La guerre de Dix ressemble au retable d’Issenheim car les 2 sont des polyptiques et parlent de mort de souffrance et de résurrection : le panneau central est une crucifixion (le Christ sur la croix). La présence du tombeau est la même que dans celle d’Otto Dix. Matthias Grünewald (peintre de cette œuvre) et Dix peignent de la même façon (triptyque, prédelle, absence de profondeur).

prouver que la crucifixion de Jésus n’était pas une erreur judiciaire, une condamnation reçue pour une violation de la loi ni un épisode burlesque, mais bien un évènement productif, créateur de vie et d’avenir. Les chrétiens parmi lesquels Paul a été formé et vécut sa foi ont développé tout un langage pour décrire le sens de l’exécution de Jésus. Le résultat de cette interprétation de la croix est riche et varié. Nous y trouvons cinq champs sémantiques qui sont employés : la crucifixion du Christ est