Culpabilité

Phèdre adressée à Hippolyte durant la scène 5 de l'Acte 2. Au travers de cette longue tirade, nous étudierons la violence des sentiments de ce personnage. Nous commencerons alors notre étude par l'aveu fait par Phèdre. Puis nous parlerons de la culpabilité qu'a alors ce personnage au moment de son aveu. Enfin, nous verrons la violence à la fois verbale et physique. Seulement, le personnage de Phèdre peut-il être défini comme une personnage tragique ? Suite à la réplique d'Hippolyte, Phèdre

27 « Vous êtes bon, vos actions sont nobles et dévouées. » Ce refus de tendresse de la part d’Adolphe la fait souffrir, au point d’en périr de chagrin, l 20 « vous me ferez mourir à vos pieds.» l 31 « vous serez content, elle mourra ». I) Une culpabilité révélée par la mort d’Elléonore A) Une relation subie Adolphe subit cette relation, il ne veut pourtant pas rompre pour ne pas faire de peine à son amante, même si la relation qu’il vit avec elle est plutôt instable. Il essaye d’ailleurs de l’ignorer

pénal ainsi que de la procédure pénale en France, est défini comme le principe selon lequel toute personne poursuivie et soupçonnée d’avoir commis une infraction est considérée comme innocente des faits qui lui sont reprochés, jusqu’à ce que sa culpabilité soit prouvée par la juridiction compétente pour la juger. On trouve en premier lieu, comme référence textuelle faisant foi à ce principe dans notre droit, la déclaration de Louis XVI en date du 1er mai 1788, selon laquelle « le premier de tous les

la déportation en forteresse. Il est dégradé publiquement le 5 janvier, à l'École militaire, sous les cris d'une foule qui hurle : "Mort aux juifs!". Il embarque pour l'île du Diable, en Guyane, où il va rester quatre ans. L'opinion croit à sa culpabilité et approuve massivement la condamnation du "traître". Dès avant le procès, toute la presse s'est emparée de l'affaire. Pour les journaux nationalistes et antisémites comme La Libre Parole, éditée par Édouard Drumont, Dreyfus est forcément coupable

développer une expérience individuelle qui prend la valeur universelle, ensuite nous terminerons sur l’œuvre est une allégorie. Plan : I. Une confession à valeur argumentative a) L'énonciation b) Une confession dominée par la culpabilité c) Valeur argumentative II. Une expérience individuelle qui prend la valeur universelle a) Marque de généralisation du discours b) Discours philosophique sur la condition humaine c) Une condamnation du langage

référence aux magistrats portant ce titre à la cour d'appel. 2) Le déroulement du procès Le citoyen au cours de la session en cour d’assise  peut donc être tiré au sort et devenir alors juré. Son rôle consiste à émettre son point de vue sur la culpabilité ou non d’un accusé. Avant d’assumer son rôle il le commence premièrement en prêtant serment, ce qui consiste  à dire «  Je le jure » suite aux paroles prononcées par le président de la cour : « Vous jurez et promettez d’examiner avec l’attention

nous fait voir les côtés noirs des personnages, leur côté hypocrite, leur duplicité (=double) -> Thérèse à deux existences : visage : impassible et intérieur : elle les méprisent. RAPPORT GÉOLOGIQUE 101 !10 La peur et la culpabilité dans le roman Ouvrage extrement sordide Impossible de trouver de la compation Thérèse : passive, absence de prise de conscience. Camille : aucune pitié possible, il considère tout le monde comme un serviteur. Mme Raquin : étouffante, égoïste Laurent

etc.   - Le Rapport De Brodeck a été écrit et publié en 2007   - Cette oeuvre a eu un fier succès auprès de publics différents. D’après certaines critiques ce livre nous fait réfléchir sur notre humanité ( ou manque d’humanité) ainsi que sur la culpabilité. Les critiques sont très positives " un livre à lire absolument ". Le Rapport de Brodeck a reçu le prix Goncourt des lycéens 2007   -Ce livre à pour thème: les souvenirs de la Shoah ( "raconté" par un homme l’ayant vécue)     II- Structure et genre:

qu'il s'est soumis, nous l'appelons « sentiment conscient de culpabilité » ; et elle se manifeste sous forme de « besoin de punition ». La civilisation domine donc la dangereuse ardeur agressive de l'individu en affaiblissant celui-ci, en le désarmant, et en le faisant surveiller par l'entremise d'une instance en lui-même, telle une garnison placée dans une ville conquise. L'analyste se fait de la genèse du sentiment de culpabilité une opinion différente de celle qu'en ont, par ailleurs, les

les interroge pas surtout » * Elles insistent sur la violence des actes commis « souffrir » « boucher » « bourreau » « [emporter] partout la nuit sur ta tête » = obtenir la culpabilité d’E pour la fragiliser. * Expression + antithèse « c’est ta faiblesse qui fait leur force » = remords d’E qui nourrissent sa culpabilité * Didascalie, participe présent (valeur de simultanéité) « riant et criant » = elles prennent donc un infini plaisir à la faire souffrir d’autant que l’auteur utilise : exclamations