Culte marial

Introduction Surement inspirée de la médecine égyptienne, la médecine dans la Grèce antique initialement aux allures divines prend son essor qu'avec Hippocrate au Ve siècle avant J-C. I- Une pratique religieuse La pratique de la médecine est lié au culte du dieu de la médecine. Elle se pratique donc dans des sanctuaires entretenus à proximité de sources et de forets et font fonction d'hôpitaux. Les prêtres font office de guérisseur. La médecine à cependant des allures religieuses, les consultations

malades et prier pour les morts. Un chrétien peut se racheter de 5 façons : Confession et pénitence en fonction de la gravité des pêchés. Dons à l’Eglise : argent, service, nature. Pèlerinage à Rome, Jérusalem ou Saint Jacques de Compostelle. Culte des reliques : se rendre dans une église plus ou moins loin de chez soi et prier sur les reliques. Lettres d’Indulgence : remise partielle ou totale de la peine à effectuer pour des pêchés avoués, données par l’Eglise en échange de bonnes actions

cathares différente de l'Église catholique. Le catharisme, apparu au XIe siècle s'est rapidement répandu au XIIIe. Après avoir gagné les milieux populaires, il s'est rapidement étendu dans la noblesse. D'une part, les cathares n'avaient pas de lieu de culte (pour se réunir), peu de sacrements ( actes religieux imposés par l'Église, pour se rapprocher de Dieu) et niaient l'eucharistie (la communion rappelant le dernier repas du Christ et la transformation du pain en son corps et du vin en son sang), les

dévotement enfermés dans leurs « cathédrales » de « taies d’eaux mortes » pour reprendre ces mots du poète martiniquais Aimé Césaire dans l’un de ses célèbres poèmes Cahier d’un retour au pays natal. Engelbert Mveng a vécu à califourchon entre la messe (culte dogmatique, l’adoration) et la vie dans sa chair vive et mouvante, entre la contemplation et le combat, puisque la vie est combat. Il n’y avait pas pour lui cette déchirante alternative : l’oraison ou le combat mais l’oraison et le combat2. Lui seul

Résumé Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d’un valet et d’une servante aussi niais qu’elle. La jeune Agnès, qui a été élevée dans la plus grossière ignorance, se fatigue bientôt de l’isolement où on la retient. S’étant mise un jour à la fenêtre, elle aperçoit un beau jeune homme qui la salue ; elle, qui ignore jusqu’aux

toutes les décisions publiques doivent être prises dans un lieu inauguré (Curia, Comitium sont des templum). Le Locus Saeptus : Nous ne disposons que de peu de source très difficile à interpréter. Le Locus Saeptus représente à Rome le lieu de culte originel, (un templum ?). Cette notion de Locus Saeptus nous reporte à Romulus, qui l’aurait fondé au VIIIème siècle entre le Capitole et l’Arx. Cicéron parle du « Locus Saeptus » comme d’une aire sacrée proche de l’Asylum (asile ?) de Romulus. Cependant

 PHILOSOPHIE INTRODUCTION : Ce texte d'Alain , extrait de la Philosophie , porte sur la place de la religion comme remède au désespoir humain face à la mort .Le texte interroge donc sur la nécessité de la religion aux hommes . Cette question relève d'un problème philosophique . En effet la question est de savoir si la religion n'est là que pour nous aider à surmonter des épreuves et à ne pas sombrer face à notre existence qui aboutit à la mort , et qu'elle

saint référent comme c'est le cas pour le christianisme ou l'Islam, ou le Sikhisme, mais différents textes de référence considérés comme sacrés appelés : Vedas. La pratique religieuse du fidèle est très diversifiée laissant à l'hindoula la liberté de culte et le chemin à emprunter pour atteindre son but :la moksha. Les façons d’atteindre ce but sont variées : Prière et dévotion à la maison auprès d'un petit sanctuaire, Prière et dévotion dans un temple, auprès de la nature sacrée (montagne "Himalaya

religion est celle du commerce et du grand capital (capitalisme)   2) Une liturgie (c’est-à-dire un rituel, ici commercial et non religieux) divinité officielle : Octave Mouret signes extérieurs de ce rituel commercial : « ballons rouges », livres du culte (les catalogues, qu’on peut comparer à de nouvelles Bibles : on y trouve des articles à acheter, et non pas des histoires moralement édifiantes.) verbe « professer » = enseigner une nouvelle manière de voir le monde, une nouvelle « foi » (celle dans

l'actualité de cette question des lieux de culte, conditions de possibilité des pratiques religieuses, question qui fait aujourd'hui polémique par plusieurs points. La Laïcité est un Principe de séparation de la société civile et de la société religieuse, l'Etat n'exerçant aucun pouvoir religieux et les Eglises aucun pouvoir politique. (d'après Le nouveau Petit Robert, édition 1995) Elle se divise en trois grandes règles : respect de la liberté de conscience et de culte égalité des religions et des convictions