Culte protestant

1. L’Eglise en Europe Au cours de l’histoire par deux fois les Eglises européennes se sont déchirées : En 1456, un premier schisme a lieu : l’Eglise catholique se sépare de l’Eglise orthodoxe. Puis au 15ème siècle, Luther crée l’Eglise protestante qui se sépare de l’Eglise catholique, dont les conséquences seront les guerres de religion. A cette époque l’Europe est divisée et l’Eglise perd de son influence. 2. Une influence décrue de l’Eglise au quotidien Sur différents points

toutes ces lois morales, sont également des lois sociales. Selon Emile Durkheim, les valeurs de la religion donnent aux lois sociales de nombreuses contraintes et d’obligations qui vont faire en sorte que la vie en société soit organisée autour d’un culte qui puisse retenir l’homme, l’empêcher de couler dans ses désirs les plus sombres. Par conséquent sans la présence des lois religieuses et donc sociales, tous les hommes assouviraient leurs désir sans culpabilité. Par exemple l’homme qui commet un

que sous l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, des philosophes comme Voltaire dénonçaient le fait que la religion catholique était en France religion officielle et qu'il n'y avait pas d'autres religions autorisées. La Révolution a permis la liberté de culte, mais la religion est restée sous le contrôle de l’État, son enseignement était obligatoire dans les écoles, et les curés, les pasteurs et les rabbins étaient des fonctionnaires de l’État. Mais les partisans de la laïcité, au pouvoir au début du siècle

terminologie Pascalienne. Opposition entre l.é «faibles créatures» et l.3 «immensités» : antithèse. l.1-2 anaphore du «tout» qui ne fait qu’accentuer la puissance universelle de Dieu.l.4 «immuables...éternels»: hyperbole qui accentue le sentiment de culte vouer a Dieu. Crescendo du sentiment l.14 «te célébrer», l.15 «qu’il faut t’aimer», l.17 «t’adorer» . Emploie de l’impératif, avec la rhétorique de la supplication.Ton solennel emphatique avec une récurrence «fait que...» qui est répéter, on a une

marque la semaine, la vie personnelle. Toutes les manifestations religieuses se font dans l’espace publique. On remarque même un regain des pratiques religieuses (développement pèlerinage Lourdes, La Salette) confirmées par la reconnaissance du culte de l’immaculée conception par la papauté Le pouvoir du pape est confirmée avec le concile du Vatican de 1870 et l’infaillibilité papale. De plus le clergé sort grandi de la défaite, le peuple cherchant un appui dans la religion pendant les périodes

être interdits. Et cela sans se posé la question de la place du bien et du mal de cette décision. Pour illustré cela il y a l’exemple du procès du « singe » de 1925 aux États-Unis, qui vient de l’accusation d’un professeur des écoles par l’église protestante fondamentaliste parce que ce professeur avait enseigné la théorie de l’évolution de Darwin à ses élèves, or cette théorie, qui à été prouvée, va à l’encontre de paroles de la Bible. Cet exemple illustre bien le manque de raison présent dans la religion

Le droit français permet la liberté de culte quel qu’il soit car cette liberté rentre dans la liberté de conscience, pilier de la laïcité en France. Ainsi, est autorisé le mariage religieux, le droit à la sépulture dans un cimetière catholique, juif, musulman, peu importe. Les lieux de cultes sont aussi importants. Beaucoup d’églises, car les racines de la France sont catholiques. Mais aussi des synagogues, des mosquées, des temples bouddhistes ou protestants, etc… Il est bien dit dans la déclaration

cela signifie que toute démonstration de la religion à laquelle on appartient ne doit pas être vu et ne doit en aucuns cas troubler l'ordre public . L'état doit être neutre et traite de manière égale les différents cultes. L'État ne finance aucun culte directement. Les responsables religieux et les politiques interviennent dans le débat public dans la société pour émettre des avis sur les problèmes actuels tels que les questions d'éthiques , c'est à dire la remise en causes des valeurs et de la

que sous l'Ancien Régime, au XVIIIe siècle, des philosophes comme Voltaire dénonçaient le fait que la religion catholique était en France religion officielle et qu'il n'y avait pas d'autres religions autorisées. La Révolution a permis la liberté de culte, mais la religion est restée sous le contrôle de l’État, son enseignement était obligatoire dans les écoles, et les curés, les pasteurs et les rabbins étaient des fonctionnaires de l’État. Mais les partisans de la laïcité, au pouvoir au début du siècle

Romains anciens nous ont léguée. Comment étudier tranquillement si l’on avait désormais, dans la classe ou dans l’amphi, le "public" divisé en deux camps, comme au stade ? Les lieux de prière ou de culte n’ont pas non plus leur place sur les campus universitaires (pas davantage que les saunas gays pour le culte du dieu latin Priape, mais qui n’y sont pas encore, à ma connaissance ...). Dans cette affaire du voile, l’aspect "prosélytisme", pression sur les "tièdes", doit évidemment être pris en compte