Cursus publicus

soldats romains, mais les troupes n'eurent rapidement plus l'exclusivité de leur usage. Les personnes qui utilisaient les voies romaines étaient : * Les commerçants et hommes d'affaires pour mener à bien leurs activités * Les messagers postaux du cursus publicus * Les curateurs gouvernementaux (magistrats) qui venaient vérifier les comptes d'une province * Les proconsuls qui recueillaient les taxes * Les légions en mission dans les provinces * Les malades empruntant les trajets menant à un lieu de pèlerinage

chevaux, de mulets etc... Ce service fonctionne comme ceci : le premier passe le relais au deuxième et ainsi de suite jusqu'à l'arrivé. Mais ce service sera abandonné à cause de son coût. Au Ier siècle a.v J-C, l'empereur Auguste crée le « cursus publicus » venant du latin et qui signifie relais. II Au Moyen-Age, la poste entre dans un long sommeil à cause des invasions barbares mais heureusement Louis XI le remettra à la fin du XVIème siècle. Cette époque est marquée par les messageries

conférence était donnée par Mr Francis Lopez et son assistante et femme, Mme Lopez. Mr lopez nous a donc tout d'abord exposer l'histoire de la lettre de son commencement jusqu'à la période concernée. Il a donc commencer sont son exposé par le cursus publicus ou « course publique » né a l'époque gallo-romaine sous l'empereur Auguste. Cette organisation permet alors à un cavalier de transporter des tablettes de granite qui servaient à l'époque à écrire un message. Les voies romaines furent alors jalonnées

imaginaire politique Plan I) SPQR A. Res privata et res publica B. Populus et plebs I) La citoyenneté romaine A. Civitas B. Fides et libertas Patres Senatus Populusque Romanus Concordia Sacrosancta potestas ou sacrosanctitas Cursus honorum En 449 a lieu la 2e sécession de la plèbe qui conduit à la célèbre Loi des XII Tables En 287, la 3e sécession de la plèbe conduit au vote de la loi Hortensia, très importante, car elle donne aux plébiscites force de loi pour le peuple entier

¤ Respecter d’un âge minimum : 30 ans. Avant cet âge, le citoyen romain fait son service militaire pour une durée de 3 ans à cheval ou de 6 ans à pieds ¤ Respect d’un ordre pour l'exercice des charges publiques. C'est la carrière des honneurs (cursus honorum en latin). ¤ L'éligibilité aux magistratures porte un nom : le ius honorum. Au IIe siècle, il faut avoir un niveau de fortune équivalent à 400 000 sesterces. L'organisation des magistratures ¤ L'annualité : on est élu en principe pour

------------------------------------------------- Les institutions romaines sous la République * La société romaine sous la République * Le Cursus honorum La société romaine sous la République L'organisation censitaire : La cité romaine, comme l'Italie toute entière, est un tout cohérent et fortement structuré : c'est une société qui tend à s'organiser en classes et ordres bien structurés et juridiquement reconnus. Mais c'est aussi une société profondément inégalitaire. Les centuries

à 10% de la population Revenu qui vient de la terre en premier lieur, la terre étant considéré comme le moyen le plus honorable pour gagner sa vie. Pour les reconnaitre : angusticlave ; anneau d’or ; cheval public attribué par la cité (equus publicus) Clivage entre chevalier et sénateur qui aboutit à la distinction juridique à l’époque impériale. B- Les valeurs aristocratiques Fides => foi, confiance que l’on accorde à l’individu, individu plein de fides => qui respecte ses promesses

sont spécialisées. On ne peut cumuler deux magistratures. L’itération est en principe interdite (il faut au moins 10 ans entre deux consulats), et un intervalle de deux années sépare normalement l’exercice de deux charges. Il existe un ordre fixe, le cursus honorum (établi en 180 par la lex Villia Annalis qui prescrit les étapes et les âges requis, puis précisé par Sylla) : questure, édilité, préture, consulat. Le tribunat de la plèbe et la dictature restent à part en tant que magistrature plébéienne

choisit - ou est candidat - au sacerdoce de flamen dialis (premier prêtre de Jupiter) suite au suicide de Lucius Cornelius Merula durant les proscriptions marianistes. Ce poste honorifique lui interdit toute activité guerrière, donc d'entreprendre le Cursus honorum. Sylla exige que César divorce de Cornelie Cinna et rompe ainsi ses derniers liens avec les marianistes. César refuse, et doit se cacher, jusqu’à ce que de puissants protecteurs, dont son oncle Aurelius Cotta, fassent fléchir Sylla et cesser

privés du butin d’Asie. B) L’affaiblissement du tribunat de la plèbe Un ensemble de mesures concerne également le tribunat de la plèbe. En effet, Sylla entreprend de réduire le pouvoir des tribuns d’abord en excluant le tribunat de la plèbe du cursus honorum. De plus, les tribuns peuvent plus proposer de lois sans avoir au préalable obtenu l’approbation du Sénat ce qui limite leur indépendance. Il faut également noter que l’intercession ne peut s’appliquer qu’au second tribun de la plèbe. Ces