Cyberguerre

 « Chaque nouvel outil technologique connaît tôt ou tard un usage détourné à des fins malveillantes. » La notion de cyberguerre n'est pas récente, son arrivée étant annoncée dès 1993 dans un article intitulé « Cyberwar is coming ! »1. Mais l'attaque informatique de l'Estonie en 2007 par la Russie a confirmé la nécessité de prendre en compte une cyber menace jusqu'alors sous-estimée. De nombreux Etats ont ainsi investi afin de trouver des réponses face à des attaques

internationale. Le Monde diplomatique (en ligne), d’août 1999, Au coeur des conflits modernes, l’information: Penser la cyberguerre, par Francis Pisani Le Monde diplomatique complète la vision généraliste que l’article du Monde pouvait donner. Plus qu’un article, il s’agit d’une étude d’après les travaux de John Arquilla et David Ronfeldt spécialiste du concept de “cyberguerre”. La cyberguerre, concept abstrait prend alors tout son sens lorsque l’exemple du Kossovo l’illustre. L’importance de la notion

être, d'ici quelques années le successeur du net actuel, un réseau clarifié, ordonné et plus sécurisé. Cyberguerre, cyberattaques, virus… les combats de l’ère numérique 08 Janvier 2012 Alain Just Coly - agenceecofin.com   (Agence Ecofin) - Depuis de nombreuses années, le monde s’installe progressivement dans une forme, plus ou moins larvée pour l’instant, de guerre numérique − la cyberguerre − à laquelle les Etats et les grandes entreprises accordent de plus en plus d’importance et vont devoir

Par ailleurs, face aux nouvelles menaces (cyberguerre, terrorisme, piraterie maritime), il semble envisageable de confier les actions de parade et de riposte à des civils voire à des entreprises privées, comme c’est de plus en plus le cas dans le monde anglo-saxon, comme on a pu le voir en Irak et en Afghanistan. C'est la privatisation de la guerre, avec le recours à des forces de mercenaires et tous les risques de bavures qui en découlent. En France, la lutte contre le terrorisme est menée par la

la vulnérabilité des systèmes Les pirates informatiques et le cybervandalisme • Mystification (hameçonage) et le reniflage • Attaques par déni de service • Les délits informatiques • Le vol d’identité • La fraude au clic • Cyberterrorisme et cyberguerre • Les programmes malveillants: virus, vers, cheval de Troie et logiciels espions • Les pirates informatiques et le cybervandalisme • Les menaces internes: les employés • La vulnérabilité des logiciels © Équipe MET1300 - © Équipe MET1300

offensives et intègre désormais des scénarios de guerres informatiques dans ses exercices opérationnels. Il existe même un courant de pensée américain avec des stratèges tels que John Arquilla et David Ronfeld qui ont conceptualisé le principe de cyberguerre. Selon eux, la révolution de l’information que vient de connaître notre époque change radicalement la nature des conflits comme l’ère industrielle l’avait fait en fournissant aux armées des moyens de destruction de masse. Leurs théories, bien que

sont unilatérales (Irak 2003) B. Des guerres modernisées par les nouvelles technologies. -la RMA. -mais la RMA doit être revue face à l’enlisement des troupes Cf le tournant de la guerre en Irak à partir de 2008. (dire un mot de la « cyberguerre », mais le terme fait pb : la Chine est-elle en guerre contre les EU ? Ou alors, il faut une définition large de la « guerre » et le dire en intro). C. Des résultats mitigés. -des réussites partielles lorsque l’objectif est limité et la communauté

les logiciels qui font l’objet de modification régulière. Dans l’UE, mise en œuvre d’une certification par l’ENISA (Agence de cybersécurité européenne) pour qu’il y ait adoption de normes communes de sécurité de l’ensemble des acteurs. b) La cyberguerre, une guerre des ombres : Difficulté à identifier les auteurs des cybermenaces et des cyberattaques  cf Solarwinds imputé à la Russie ou à la Chine par les EU ! / Groupe de hackers comme Hafnium  corsaires opérant pour des entreprises ou un gouvernement

love you : un des plus célèbres virus informatique, apparu le 4 mai 2000. Une simple pièce jointe envoyée par mail qui, si on l’exécute, transmet le virus à tous les contacts du destinataire. Botnet : une des armes les plus utilisées dans la cyberguerre. C’est un réseau d’ordinateurs infectés par un virus, contrôlé à distance par un pirate qui peut ainsi mener des attaques. Adresse IP : Internet Protocol. C’est un peu la carte d’identité de l’ordinateur. Lors d’une cyberattaque, toute la difficulté

de l’ONU et de l’Otan 4 C. La politique de défense et les stratégies utilisées 4 1. La dissuasion nucléaire et la « non-guerre » 4 2. Les conséquences de la « non-guerre » 5 3. Le renseignement 5 D. La cyberguerre et les foyers de tension 5 1. La cyberguerre 5 2. Les zones de conflits 6 E. Les menaces, les cibles et les armes 6 1. Les menaces 6 2. Les cibles 6 3. Les armes 7 II. Professionnalisation de l'armée 7 A. Un substitut du service national 7