Cyberpunk

fréquemment durant les années 70 pour piratage téléphonique. Deux membres du Homebrew Computer Club californien inventent la "blue boxe" (boite bleue), dispositif célèbre utilisé pour le piratage téléphonique. Début des annnées 1980 Le célèbre écrivain CyberPunk William Gibson invente le terme de « Cyberespace » dans un roman de sciences fiction (Neuromancer). (Annexe 1) Première arrestation pour piratage informatique ? Le FBI arrete le groupe 414s de Milwaukee dont les membres sont accusés de 60 infiltrations

l'apogée du talent de Bullfrog et du célèbre Peter Molyneux. Ce titre inclassable, jouable entièrement à la souris dans une représentation en 3D isométrique, propose un savoureux mélange d'action et de stratégie en temps réel dans un univers cyberpunk. Il vous met aux commandes d'une organisation, l'Eurocorp, qui dépêche régulièrement sur le terrain des petits groupes d'agents cybernétisés pour accomplir ses sales besognes : assassiner un agent ennemi, enlever un scientifique, détruire un bâtiment

CM Internet et subjectivité Le monde numérique et ses usages Cyberespace et virtualité cyberespace ; remonte à la littérature cyberpunk, œuvre phare, Neuromancer (monde où la technologie a progressé et où il est possible de télécharger des choses dans le cerveau de personnes) A inspiré Matrix. Aussi Existenz Fin année 90, second life, monde persistant (genre les sims) Réalité virtuelle = la possibilité de recréer par ordinateur une scène (des objets et un fond) Virtuel, terme

de salon. La plupart des genres de jeux vidéo furent également conçus pendant cette période. En 1970 naît le jeu Darwin aux laboratoires Bell. Le principe : des bouts de code informatique auto-reproducteurs s'affrontent… Toute une littérature cyberpunk, à commencer par The shockwave rider de John Brunner (1974), naîtra de ce jeu pour programmeurs (en 1984, renommé Core War, il connaît un certain succès et est toujours joué 15 ans plus tard).[réf. nécessaire] En 1971, Nolan Bushnell et Ted Dabney

» - Adolf Hitler, cité dans l’ouvrage de L. Pauwels et J. Bergier, Le Matin des magiciens - Ed. Gallimard (1960). D’après une nouvelle de Harry Harrison, Make room, make room (1966). R ÊVER LA VILLE… Utopia par exemple le courant cyberpunk, au point que l’on peut se d emander s’il est encore possible de rêver à notre époque à un espace et une société où la vie serait plus facile, plus juste ou plus heureuse, une Cité du soleil ou une Cité radieuse, une île d’Utopia perdue au milieu

wave ) Nine Inch Nails (USA) (Metal alternatif/Metal industriel) Marilyn Manson (USA) (Metal alternatif, Metal industriel) Ministry (USA) (Metal industriel/Thrash metal/New wave) Oomph! (Allemagne) (Metal industriel) Punish Yourself (France) (Cyberpunk/Metal industriel) Rammstein (Allemagne) (Metal industriel) Static-X (USA) (Nu metal/Metal industriel) Strapping Young Lad (Canada) (Metal industriel) Sybreed (Suisse) (Death industriel) The Kovenant (Norvège) (Metal industriel) Metal progressif

style biomécanique incorpore des composants mécaniques, organiques et biologiques. Il peut être réalisé de manière à donner l'impression que le motif se trouve sous la peau ou la déchire. C'est un style de tatouage largement présent dans la communauté cyberpunk et s'inspire largement de l'univers de la science-fiction. Gothique : les motifs de style gothique sont d'inspiration gothique, macabre ou gore, ils sont très souvent réalisés en noir et dégradés de gris. On y retrouve beaucoup de représentations

production de série Z, émergent, ce qui créera un genre à part entière22. On peut citer notamment Alice in acidland117, Hallucination Generation118, LSD I hate you119 ou The Weird World of LSD120. D'autres contre-cultures se sont aussi liées au LSD. Le cyberpunk dénonce l'illégalité du LSD qui est un obstacle à leur souhait de libre information121,122 et s'intéresse parallèlement à la capacité de générer une sorte de réalité virtuelle. De la même manière, le taux de prévalence du LSD123 est plus élevé dans

aujourd’hui une fiction. Les machines décrites par les auteurs de science fiction sont imaginaires. 
Dans les années 1970, avec l’apparition du micro-ordinateur personnel et de la micro-informatique, un nouveau genre littéraire de science fiction naît: le cyberpunk. C’est une science fiction faisant intervenir, un aspect mécanique. Les robots sont désormais décrits comme d’immenses machines en fer remplies de puces et de circuits électroniques qui ressortent. Ce genre littéraire met également en relation, la

réseaux informatiques. Chaque serveur, chaque routeur, le moindre hub se transforment en synapse pour relier l'information et faire apparaître une conscience planétaire. Ma culture CyberPunk.Ces lectures me prédisposèrent à apprécier la littérature cyberpunk. Cette littérature est essentiellement axée sur l'utilisation intensive des réseaux informatiques, des intelligences artificielles et de la dé-corporation de l'homme qui vient à vivre une seconde vie dans les puces de silicium et les fibres optiques