Cycle de Doha

tarifaires entre tous les pays). De plus il est doté d’un organe de règlement des différends (ORD) qui peut imposer une sanction aux pays qui dérogent aux accords de libre échange négociés au cours de « rounds » successifs. En 2001 s’est ouvert le cycle de Doha, mais les négociations ont des difficultés à aboutir. Les PED n’acceptent plus d’ouvrir davantage leurs marchés, en particuliers aux services des pays du Nord alors que ceux-ci continuent de subventionner leur agriculture. D’autres sources d’affrontements

[pic] Rapport d’activité [pic] Préparé par : Baroudi Doha Barnoussi Maryam Belabbas Zineb Elaani Mouna Ibnoueddine Majdouline Idahmad Amine Table des matières : Introduction I. Présentation de l’entreprise ❖ Fiche technique ❖ Activités de l’entreprise : • Mission • Produits • Organigramme • Descriptif des services ❖ Stratégie de l’entreprise • Les 4P • Objectifs stratégiques

l’évolution mitigée des prix des phosphates et la succession de phases de repli de l’activité économique dans la zone euro. En effet, la concentration des exportations marocaines sur le marché européen les rend vulnérables aux effets de retournement du cycle conjoncturel dans la zone et son corolaire le repli de la demande adressée par cette zone à notre pays. Non moins important, le retour sur la période récente des échanges de textile-habillement au système général, avec l’expiration de l’AMF en 2005

responsable d'utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire par les pays qui le souhaitent. Les travaux doivent également se poursuivre sur des points particuliers, au nombre desquels figurent le soutien de l'UE à une approche multilatérale du cycle du combustible nucléaire, la lutte contre le financement de la prolifération, des mesures en matière de sécurité et sûreté biologiques et la limitation de la prolifération des vecteurs des ADM, notamment des missiles balistiques. Des négociations

régionales et bilatérales. La Mauritanie est un Membre originel de l'OMC et accorde au moins le traitement NPF à tous ses partenaires commerciaux. La Mauritanie n'est pas signataire, ni observatrice, des Accords plurilatéraux de l'OMC. À l'issue du Cycle d'Uruguay, la Mauritanie a consolidé 833 de ses 5 533 lignes tarifaires, soit environ 15 pour cent du total (l'agriculture incluse); 100 pour cent des lignes tarifaires concernant les produits agricoles ont été consolidés. Cependant, des confusions

profils d´entreprises et d’institutions. De quoi nourrir sans aucun doute de belles perspectives… Nouvelle, et du Master UTICEF de Pasteur Strasbourg, prépare actuellement une thèse sur l’utilisation du e-Learning en formation continue au Maroc. Doha BENJELLOUN Directrice Générale Proactech Maroc 2 I.  CONTEXTE ET OBJECTIFS DE L’ETUDE ......................................................... 4  II.  METHODOLOGIE ....................................................................

réunion entre ministres du commerce des pays (Europe représentée par un unique représentant, actuellement Peter Mendelson) 1999 : conférence de Seattle ( échec fracassant (émergence du mouvement alter-mondialiste) 2001 : début du cycle de Doha (Qatar) baptisé le « cycle du développement » 2003 : échec de la conférence de Cancun 2005 : accord à Hongkong pour poursuivre les négociations Septembre 2006 : à Rio de Janeiro, les Etats ont réaffirmé leur volonté de poursuivre les négociations Deux

2001-2005. La 1ère priorité est la révision du système juridique selon les engagements internationaux qui sont abordés dans le cadre des Accords commerciaux Vietnamo-Américains, l’AFTA et l’OMC. Le Vietnam souhaite intégrer l’OMC avant la fin du cycle DOHA, c’est-à-dire avant 2005. D’après le Ministère de la Justice, environ 148 Lois et régulations différentes doivent être amendées ; il faut souligner que l’Assemblée Nationale du Vietnam dans les dernières années a adopté environ seulement 10 lois

du ''traitement spécial et différencié'', dont l'objectif est d'assurer la protection d'industries ''dans l'enfance''. L'idée de protéger les industries naissantes et fragiles des pays en voie de développement (PVD) est ainsi au coeur du cycle de négociation de Doha. Certes, l'OMC a pour but de favoriser le libre-échange, mais pour les PVD un traitement spécial est nécessaire. C'est pourquoi l'OMC les autorise, dans une certaine mesure, à profiter des avantages du libre-échange sans qu'ils n'en endossent

leurs industries naissantes. Mais, plutôt que de la mondialisation en soi, il ne s’agit là que de modalités particulières de la mondialisation actuelle, qui peuvent être modifiées, et qui sont d’ailleurs pour certaines à l’agenda de l’OMC depuis Doha. En conclusion, il semble possible d’affirmer que la mondialisation est un facteur favorable au rattrapage des pays du Sud qui savent en tirer parti. Ceci suppose qu’ils disposent d’un Etat fort et légitime, qui maîtrise le processus d’ouverture