Cycle de Doha

non tarifaires et une réduction progressive des tarifs maximums consolidés sur les importations de produits agricoles et du soutien à l’agriculture jusqu'à la fin de l’année 2004. Il participe également aux négociations multilatérales en cours “ cycle du Doha ”, sous l’égide de l’OMC, en vue de libéraliser d’avantage le commerce mondial de produits et de services, y compris pour les produits agricoles qui sont les plus sensibles et qui étaient à l’origine de l’échec des négociations de “ Cancun ” en

négociations à la défaveur de l’Europe. 4. L’extension de la définition de commerce : D’après les constats du cycle d’Uruguay : la nature du commerce a changé depuis les années 80. => Cela impliquait de plus en plus de barrières non tarifaires et touchait désormais beaucoup de politiques internes sensibles. L’UE a fait de cette extension le fer de lance de sa position dans le Cycle de Doha. Il s’agit principalement des: * Conditions commerciales: * Pour l’UE qui est le plus grand

dernier cycle, le Cycle d’Uruguay, qui a duré de 1986 à 1994, a conduit à la création de l’OMC. Mais les négociations n’en sont pas restées là. Elles se sont poursuivies dans certains domaines après l’achèvement du Cycle d’Uruguay. En février 1997, un accord a été conclu sur les services de télécommunication, 69 gouvernements acceptant d’entreprendre des mesures de libéralisation très larges, dont la portée allait au-delà de celles qui avaient été convenues dans le cadre du Cycle d’Uruguay

Europe Davantage de libre-échange : le cycle de Doha fait du surplace Le cycle de négociations mondial concernant la libéralisation des échanges commerciaux internationaux, le cycle de Doha, est toujours dans l’impasse. Certes, les négociations techniques se poursuivent, mais aucune avancée politique n’est enregistrée. Ce sont surtout les Etats-Unis qui restent dans le vague. La priorité se concentre clairement sur le dossier local des soins de santé. Le cycle de négociations ne sera sans doute pas

peuvent se comparer à celles de la Chine alors que le nombre de cadres A rattachés à la Chancellerie est bien moindre. On remarque, néanmoins, le faible nombre de TD sur les sujets communautaires au moment des négociations commerciales du cycle de Doha et les rencontres entre l’ambassadeur et les représentants de la société civile. B – ANALYSE DES RESULTATS DES INDICATEURS RELATIFS A L’ACTIVITE DU POSTE Sont concernés les indicateurs suivants : taux de respect, dans les délais impartis

de croissance de 1,1%, a été inférieur de 2,7 points à l'année 2000. Contraction du commerce mondial de 14 points (de 13,8% en 2000 à -0,8% en 2001). Reprise mondiale en 2003 de 2,6% et 4% en 2004 = nouvelle dynamique des marchés (influence du cycle de l'investissement, favorisé par la baisse des taux d'intérêt). Léger fléchissement de la croissance -3,2% en 2005. En 2006, croissance du PIB mondial 3,9%, maintient du baril du pétrole à environ 75$ US. Forte expansion des PED → 2006 croissance

cœur de ce système, et en joue. Elle soutient ainsi les offensives lancées par les pays en développement (à Cancun par exemple), tout en s’efforçant de rassembler des coalitions servant ses intérêts et les objectifs qu’elle cherche à atteindre (cycle de Doha par exemple). C’est cette ambivalence qui explique aujourd’hui la méfiance éprouvée par les pays émergents à l’égard de la Chine, qui, pour poursuivre son développement économique, a besoin de disposer d’accès à des ressources naturelles dont

multilatéralisme. Cela repose le problème de la place des pays les plus pauvres dans ce type d'organisation : on ne peut pas dire que, pour le moment, ils puissent réellement faire entendre leur voix sauf peut-être pour empêcher des accords comme lors du cycle de Doha et l'échec de la Conférence de Cancùn. B- L'organisation du commerce international : du GATT à l'OMC 1- Le GATT et l'organisation multilatérale des échangesGeneral Agreement on Tariffs and Trade (1947) 124 pays (Chine et Russie exclus)

différends ce qui prouve sa légitimité. Mais elle a subit quelques échecs, comme celui de Seattle qui a été retentissant, ce fut un échec cuisant à la fin de l’année 1999. Le deuxième échec fut en novembre 2001, le nouveau cycle de négociation multilatérale de Doha. Elle devait aboutir au 1er janvier 2005. Il y a trop de contentieux et les problèmes sont toujours le mêmes : l’agriculture, l’ouverture des frontières aux pays en développement. B- le F.M.I et la C.N.U.D.E.D 1- Le F.M

* 1956: Genève. * 1960-1961: Genève - Dillon Round. * 1964-1967: Genève - Kennedy Round. * 1973-1979: Genève - Tokyo Round. * 1986-1994: Punta del Este (1986), Bruxelles (1990) et Marrakech (1994): Uruguay Round. * 2001- …: Doha + les objectifs de l'Uruguay Round * Importance: la plus vaste négociation commerciale.. * Durée: 8 ans de négociations. * Début: septembre 1986 à Punta del Este (Uruguay). * Fin: avril 1994 à Marrakech. * Négociations commerciales