Cycle de l'oxygène

lettres (acides aminés). Croissance : c’est l’augmentation de la taille d’un être vivant (souvent régulée par des hormones de croissances). Caryotype : représentation ordonnée des chromosomes d’une cellule. Cytodiérèse : dernière étape du cycle cellulaire : obtention de deux cellules identiques ayant la même quantité de matériel génétique et d’ADN. Cytoplasme : c’est le contenu d’une cellule vivante. Il s’agit de la totalité du matériel cellulaire, délimité par la membrane plasmique et

qualifier de « voix de canard ». L'hélium est un gaz inerte, monoatomique, qui n'est pas inflammable et très abondant dans l'univers. Il est utilisé pour gonfler les ballons afin qu'ils volent et également en plongée sous-marine, mélangé avec de l'oxygène dans les bouteilles. Il est donc parfaitement inoffensif, à condition de respirer de l'air pur entre deux prises d'hélium afin d'éviter une asphyxie... Beaucoup de rumeurs prétendent que l'hélium produit cet effet parce qu'il gèlerait les cordes

Direction de l'Énergie Nucléaire «Le cycle du combustible nucléaire» Etienne VERNAZ Directeur de Recherches CEA-VALRHO ( Marcoule ) Sommaire • Généralités sur le cycle du combustible • La mine • L’enrichissement • La fabrication des assemblages combustibles • Le combustible en réacteur • Le traitement des combustibles usés • Le recyclage des matières • Le conditionnement des déchets • L’entreposage et le stockage définitif des déchets Cours Etienne Vernaz – Le cycle du combustible 2 La spécificité

une concentration trop élevée de sel. Afin de répondre au problème du sol vaseux et très pauvre en oxygène voir à anaérobie (sans oxygène), le palétuvier rouge possède des racines sur échasse (qui ressortent du sol) afin de permettre de capter de l’oxygène dans l’air. En plus de ce rôle, ces grandes racines permettent une bonne fixation dans le sol vaseux et donc instable. Afin de préserver l’eau douce rare dans son milieu, le palétuvier possède un mécanisme de conservation de son eau, qui permet de

environ 8% de la croûte terrestre. Il est extrait de la bauxite, un minerai dont les quantités sont tellement importantes qu'il y en aura encore dans 1000 ans. L’aluminium est le 3e élément en abondance (8,23 %) de la croûte terrestre (après l’oxygène – 64,1 % - et le silicium – 28,2 %), mais il ne se trouve jamais à l’état de métal dans la nature. Pour le fabriquer, on doit passer : De la bauxite : image1. Qui est constituée d’environ 75 % d’alumine hydratée (Al2O3 • 3H2O et Al2O3 • H2O)

celles-la étaient anaérobiques et ne résistaient pas à l’augmentation du taux d’oxygène. Les seuls survivants sont ceux qui résistent aux effets oxydants de l’oxygène, ou passent la plus grande partie ou la totalité de leur cycle de vie dans un environnement libre de sa présence. On parle ainsi de grande oxydation ou de catastrophe de l’oxygène. ii. La grande oxydation a débuté il y 2,45 milliards d’années, le taux d’oxygène dans l’atmosphère est d’abord resté relativement stable et bas, de l’ordre

radioactifs, surveillance des centrales) Ø 8 % des barrages hydroélectriques (la meilleure voie de production, quelques catastrophes majeures) Ø énergie solaire (discontinue, problème du stockage, usages à petite échelle) Le cycle du carbone II Traitement du pétrole brut Composition des pétroles Ø Hydrocarbures saturés linéaires (paraffines) Moyen-Orient, Pennsylvanie USA, Algérie Ø Cycloalcanes et cycloalcènes Caucase, Texas, Bornéo Ø

la présence d'oxygène et fait intervenir une suite de réactions complexes (cycle de Krebs - chaîne respiratoire de transport d'électrons) appelée phosphorylation oxydative. La glycolyse aérobie présente unrendement énergitique très élèvé: 38 molécules d'ATP Il existe trois voies de la régénération de l'ATP La voie anaérobie alactique: régénération de l'ATP grâce à des réaction chimique qui ne nécessitent pas de l'oxygène et qui ne produisent pas l'acide lactique, essentiellement par dégradation

naturel de l'eau, sauf en cas de forts débits, qu'il laisse alors passer. De grandes quantités d'eau s'accumulent et forment un lac de retenue. Lorsque l'eau est stockée (lac de retenue), il suffit d'ouvrir des vannes pour amorcer le cycle de production d'électricité. L'eau s'engouffre alors dans une conduite d’eau ou dans une galerie creusée dans la roche suivant l'installation, et se dirige vers la centrale hydraulique située en contrebas. A la sortie de la conduite

montagneuses et ce sans besoin d’usines complexes. Par ailleurs, la présence de dioxygène est observée dans les biocarburants ce qui favorise la combustion et diminue donc le nombre des particules dues aux hydrocarbures imbrûlés. On rejetterait donc de l’oxygène dans l’atmosphère et non du CO2, ce qui écologiquement parlant est très positif. Inconvénients : Un des premiers inconvénients sont les nombreuses pertes engendrées par la production d’huile de tournesol. En premier lieu une perte de temps