Cynisme

génération bof » en France, est composée de personnes nées grosso modo entre 1965 et 1980, mais qui ont commencé à exercé une influence sur leur environnement culturel à partir de 1980. Beaucoup d’éléments caractérisent cette génération : le cynisme et l’apathie, le manque de confiance dans les valeurs traditionnelles et dans les institutions, la paresse, mais aussi un intérêt, un don, ou une ingénuité toute particulière pour tout ce qui a trait au high-tech. Les plus grosses compagnies

de ce texte) ; quand il se fixe un objectif, il veut l’atteindre par tous les moyens. Conclusion : Leçon d'un grand cynisme, à laquelle Rastignac saura résister...dans un premier temps. Lucien de Rubempré (personnage dont Vautrin tombera amoureux), lui, ne résistera pas. Il en mourra. Le discours de Vautrin traduit une grande lucidité vis-à-vis de son élève et un grand cynisme de la société. Il incarne l’esprit de cette société de la Restauration où l’argent et la corruption triomphent. Balzac

Troie n'aura pas lieu, pièce pessimiste (bien que non dénuée d'humour grinçant) ayant pour thème le cynisme des politiciens et la différence entre l'histoire telle que les dirigeants la montrent au peuple et telle qu'elle se passe réellement. Cette œuvre cherche à déchiffrer les motivations fratricides de la future Seconde Guerre mondiale, comme un avertissement. L'auteur y met en relief le cynisme des politiciens ainsi que leur manipulation des symboles et de la notion de droit. La pièce met en

par Rome, alors qu’il est lui-même en train de le manipuler. Néron ne s’en aperçoit pas, seul le spectateur comprend le cynisme du mauvais conseiller. Narcisse expose à Néron que la relation entre gouvernant et sujets repose sur des rapports de force : « affaiblit (v.1429) ; craigne (v. 1430) ; joug » (v.1431). L’autoritarisme défendu par Narcisse est encore une forme de cynisme : Narcisse non seulement incite Néron à mépriser ses sujets, mais encore il lui fait croire que le peuple aime la servitude

compare Radiguet à Rimbaud, et réfute par avance l’accusation d’immoralité et de cynisme du roman. Il utilise les toutes nouvelles actualités cinématographiques pour présenter le jeune prodige. Le 10 mars, sortie du roman et d’un article de Radiguet, intitulé " Mon premier roman Le Diable au corps", dans Les Nouvelles littéraires. L’auteur y défend son œuvre contre ses détracteurs, choqués par l’apparent cynisme du roman, et également par la grande campagne de publicité qui a fait parler de lui

jeune homme dans la fleur de l'âge. L'essence de Dorian s'immisce en Basil Hallward. Dorian devient alors son modèle, sa muse. Cette admiration s'imprègne dans ses tableaux. Un après-midi, un vieil ami de Basil, Lord Henry Wotton, aristocrate d'un cynisme extrême (attitude qui brave les principes moraux et les conventions sociales), lui rend visite dans son studio. Les mystères du peintre sur son nouveau modèle attisent sa curiosité à tel point qu'il souhaite le rencontrer. S'établit alors une complicité

éloigné de nous, apparenté à l’enfer (lieu humide et obscur). C’est un lieu inexistant si ce n’est dans l’imaginaire culturel chrétien qui est de plus dépeint avec cynisme : le Diable devient dépressif car la vie sur terre est « moins pire » que ce qu’il souhaiterait (début de texte). Une remarque du majordome illustre bien le cynisme et le pessimisme de l’auteur : « Tout est pour le pire dans le pire des mondes possibles ». Cette phrase représente l’antithèse de l’optimisme modéré de « Tout est

spectacle du démiurge tremblant devant l’avenir… Pommerat s’attaque ici au monde envahissant et fascinant de l’image, qui nous avale aujourd’hui. L’auteur et le metteur en scène recrache alors toute la violence que ce drôle de monde enferme. Avec un cynisme des plus aiguisés, le héros de la pièce orchestre le défilé de ceux qui viennent témoigner pour exorciser leur souffrance. Une fois mort, il lui sera plus facile de prendre du recul sur ce bas-monde. Alors, il notifie au spectateur sa mort imminente

cette fois encore, s’y livrer. P.78 Il multiplia les messages, usant tantôt d’humour, tantôt de menace. P.78 Il alla jusqu’à organiser un petit quiz et à promettre des prix aux éventuels gagnant. En désespoir de cause, il se réfugia dans le cynisme et la provocation. P.79 Il vendit à vil prix le plus onéreux des répondeurs automatiques, puis laissa son emploi. P.79 Le voir faire trois fois le tour de la grande table avant chaque repas, toucher rapidement le sol da sa main droite lorsque

années avant la parution du Noeud de vipères. Cette conversion ainsi que son statut de propriétaire terrien subvenant aux besoins d'une famille nombreuse expliquent en grande partie les enjeux du roman. Mauriac dresse ici le portrait tranchant de cynisme d'un homme trop lucide, victime du réalisme (et de la noirceur qui en découle) à travers lequel il perçoit son environnement et sa propre vie. De cette « malédiction » découle une impossibilité à conquérir le bonheur, un mal-être profond. Le choix