Dagombas

Mossi les Gourmad, les Manpoussis.Il seront variablement revenu de l’Est. Ces population en rapidement imposes leur dominations au autres. La ville de Gambaga selon la légende est la capitale du premier royaume Mossi appelé Fils Dagomba. Le premier roi connus fut Nedega son premier fils Ouedraogo fondateur de la ville de Tenkodogo les descendant fondèrent le Gourma ,le Ouagadougou ,le Yatenga .Le royaume Mossi du Ouagadougou occupent le centre du pays Mossi vies puissant

Royaume Mossi Aller à : Navigation, rechercher Le territoire du Burkina Faso actuel a été parcouru par de nombreuses migrations. À partir du xie ou au xiie siècle, les premiers royaumes Mossis se sont constitués : le Gourma, le Mamprousi, le Dagomba, le Yatenga, le Royaume de Boussouma et le royaume de Ouagadougou. Ce dernier devint rapidement le plus influent. Il était dirigé par le Mogho Naba, à la fois roi et magicien. Au xiiie et au xive siècles, ces royaumes s'opposèrent aux grands empires

l'autre pôle un fort courant malinké, qui enserre ou refoulent les précédents. Au Nord-Est, en même temps, l'expansion des peuples mandés aboutit également à la formation de plusieurs royaumes. Au XVIIe siècle, les Koulango, sous la dynastie des Dagomba, forment entre la Haute Comoé et la Haute Volta Noire (aujourd'hui Burkina Faso) le Royaume de Bouna, divisé en commandements militaires ayant chacun à sa tête un prince de la famille royale. Exploitant les gisements d'or de Gaoua, ils établissent

le trait de protectorat français.Fâce à ce refus, les officiers Voulet et Chanoine à la tête  d’une troupe militaire comprenant  des tirailleurs  séngalais  entrent dans la capitale.La ville  est mise  à  feu et à sang.Boukary Koutou s’enfuit au Dagomba où il tente une expédition mais son frère Koutou avait déjà ét proclamé Naaba Siguiri par Voulet et il avait signé le traité de protectorat.      d.EN PAYS  ASHANTI. Plusieurs  expéditions anglaises  tentent  d’occuper le royaume  ashanti mais 

mourir pour prendre mon pays est très bien tel qu’il est. »Devant le refus du roi de coopérer, les français décident d’utiliser la force. C’est ainsi que les officiers voulet et chanoine prennent Ouagadougou en septembre 1896. Le roi s’enfuit au Dagomba .il est remplacé par son frère le Moogho Naaba Sigri. II- La résistance en Afrique occidentale humide et côtière. 1-la résistance du roi Béhanzin. L’occupation de Cotonou par les français et leurs refus de payer les taxes de douanes entrainent

produit tous ses effets lorsque débouchent dans le même espace, les Dagomba, venant du royaume de même nom, situé dans le nord du Ghana actuel. Ils pénètrent quant à eux par le côté droit de la carte après avoir franchi la volta noire, et s’installent entre ce fleuve et le Comoé. Les Dagomba sont des guerriers, reconnus pour leur vaillance. En lutte pour l’hégémonie dans la région, contre le Gouja voisin, les premiers arrivants du Dagomba achèvent leur course dans la savane de Bouna. Ils y son attirés

officiers Voulet et Chanoine, à la tête d'une colonne composée surtout de tirailleurs sénégalais et bambara (car les hommes d'un pays conquis servaient pour conquérir le pays suivant), s'emparèrent de Ouagadougou (1896). Le roi s'enfuit vers le pays Dagomba, berceau de la dynastie. Il est remplacé presque aussitôt comme au Dahomey, comme au Sénégal, comme à Ségou, par un parent plus docile. II.LES RESISTANCES GABONAISES Mavurulu

Burkina. On les attribue aux Dogons) 3.Les populations installées à partir du XVs * Les conquérants moosé. Ils auraient migré depuis les environs du Lac Tchad pour s’installer au Nord du Ghana actuelle dans le royaume Dagomba. Ils seraient donc issus du groupe mampursi dagomba. Leur arrivée remonterait au X-XIs selon la tradition moosé et au XVs pour le chercheur français Michel Izard qui a mené d’importantes études sur les moosé. * Les migrations de l’Ouest et du Sud Ouest. Ce sont les gan

| | |Lodagaa, Lodagaas | |Dagombas | |dagbani |Ghana |ou Dagbamba, Dagbane, Dagbani, Dagomba, Dagombas, Ngwana | |Dakkakari ou Lela | | |Burkina Faso, Niger, Nigeria, Bénin |

comme ailleurs en Afrique noire50. Mais, selon Diop51, un trait encore plus singulier commun aux souverains traditionnels africains consiste en « la mise à mort rituelle du roi »52. Cette pratique serait attestée, notamment chez les Yorouba, Haoussa, Dagomba, Tchambas, Djoukons, Igara, Songhoy, Shillouks. Selon Diop, les Égyptiens auraient également pratiqué le régicide rituel, qui serait devenu progressivement symbolique, à travers la fête-Sed, un rite de revitalisation de la royauté53. Matriarcat