Dais

prière et celui de la célébration de la messe a, depuis le Moyen Age, une place fixe dans l’église, à s’avoir dans l’abside. Baldaquin Auvent de protection ou d’apparat, en tissu, tendu au-dessus de choses saintes ou de dignitaires. Plus tard, dais en bois ou en pierre soutenu par des colonnes au-dessus d’un autel, d’un trône ou d’une statue. Baptistère Edifices religieux séparés de l’église. Ils servent à administrer le baptême et sont souvent à plan centré, circulaires, carrés ou polygonaux

bureaux , toutes aussi luxueuse les unes que les autres , et enfin je suis arrivé à la salle du trône il y avait déjà du monde un gros bonhomme était assis sur le trône il avait l'air un peu bourré , juste au dessus du trône il y avait au plafond un dais de velours rouge , du velours rouge ! Un homme donna l'idée d'arracher le fauteuil , on approuva et on transporta le fauteuil de salle en salle de bras en bras , et tout à coup il passa par la fenêtre et tout le monde éclata de rire , plus personne

Je ne sais pas. Bonjour à tous! Comme vous l’avez remarqué, mes-poèmes.com fait peau neuve. J’espère que cette nouvelle version vous plaira! Nous attendons vos critiques positives ou négatives en commentaire. Bienvenue sur mes-poemes.com. Plus de 6000 poemes des plus grands écrivains de la littérature française en consultation libre et gratuite. Toute la poésie française à Bonjour à tous! Comme vous l’avez remarqué, mes-poèmes.com fait peau neuve. J’espère que cette nouvelle version vous plaira

conteurs bien disants » dais  Tenture fixée ou déployée au-dessus d'une estrade, d'un trône (synon. baldaquin), d'un lit (synon. ciel-de-lit), d'un autel, d'un catafalque (synon. poêle). Ex: « tendre un dais; Un lit de garçonnet, avec son petit dais en forme de tente militaire ; Le lourd croissant d'or, le don du Khalife couronnait le dais royal ; un dais seigneurial coiffé de plumes. »  symbole du pouvoir. Ex: « anathème sur toi, sur ton trône et ton dais! » (sous le dais = sur le trône, au faîte

reconnaissent implicitement l’autorité que la forme de son discours et l’élévation de sa pensée imposent. Ils se trouvent dans un lieu du pouvoir et de décision. Le décor est symbolique : « un grand fauteuil recouvert de drap d'or et surmonté d'un dais en drap d'or, aux armes d'Espagne, timbrées de la couronne royale », ce fauteuil qui reste vide, a les mêmes couleurs que le manteau de Ruy Blas, C’est donc Ruy Blas qui porte un symbole royal, qui se substitut au monarque absent. C’est l’homme du

voiture lui importait. Il escalada donc le marchepied et s’assit à la place du conducteur. Il eut l’air de s’y trouver fort bien. – Parfait, parfait, disait-il, on est à l’aise et moelleusement. Mais le dais, il y a un dais ? – Comment donc ! Jean et moi nous installâmes le dais, non sans mal. Mais il fallut tous les accessoires, les paniers, le porte-parapluies, les phares. – Et à deux, l’on n’est pas gêné ? Monte près de moi, Jean. À merveille, les coudées sont franches. Il examina

nuit fleurdelisé et bordé d’hermine (blanche). Le personnage est tourné de 3/4. La scène décrit un intérieur assez faste. On devine au premier plan une estrade ornée d’une teinture dorée à motifs. Le trône se trouve derrière le personnage. Un large dais rouge et or encadre le Roi Soleil par le haut du tableau, et vient se reposer sur une large colonne antique. b) Détail du personnage Le Roi se tient bien droit et semble simuler un pas de danse. Le lourd manteau ne semble pas l’ennuyer, il se tient

tachetés, et les enfants et les hommes sur leurs bêtes les plus étonnantes ; — vingt véhicules, bossés, pavoisés et fleuris comme des carrosses anciens ou de contes, pleins d'enfants attifés pour une pastorale suburbaine. — Même des cercueils sous leur dais de nuit dressant les panaches d'ébène, filant au trot des grandes juments bleues et noires. Pur moment de créativité, Ornières (dont on notera le pluriel) vient développer une vision fraîche et mystérieuse. C’est un détour dans un univers

d’abondance. Le luxe est très présent dans ce texte. En ce qui concerne Cléopâtre, elle veut tout d’abord être vue. Elle étale son luxe dès l’arrivée à Tarse : ligne 3 : « poupe d’or », « voiles pourpres déployées », « rame d’argent » et ligne 4 : « dais brodé d’or ». Les couleurs sont clinquantes. Ensuite, elle veut être entendue. Un champ lexical de la musique est présent aux lignes 3 et 4 : « au son de la flûte marié à celui des syrinx et des cithares ». Dans ce passage, on voit apparaitre des instruments

l’apparat des cérémonies : on dort dans un lit plus simple et on reçoit dans celui d’apparat. Les étoffes des dais et baldaquins drapées et brodées, établies au plafond depuis les coins des pièces, permettaient d’assurer chaleur et intimité. La condition sociale du résidant était désignée par la longueur du dais : les dais de la dimension du lit étaient réservés aux nobles alors que les dais de dimension moindre étaient destinés à la petite aristocratie. À l’autre extrémité de l’échelle sociale, les