Damnation

réconstruire sa vie, on ne sait pas, s’il sera capable après la mort de Manon, mais il a une possibilité. Manon Manon est toujours la même, elle démontre l’amour vers Des Grieux, mais ses jeux, ses désirs sont toujours tombés comme une damnation, elle n’arrive jamais à avaoir ce qu’elle veut, sauf quant elle est loin de Des Grieux. On peut dire que Des Grieux était le grand problème de l’amour, mais comment arriver à cette conclusion. L’amour devrait être sacré, mais pour les deux, Des Grieux

roman social, Les Misérables, un œuvre qui critique la société. Jusqu’à aujourd’hui c’est un des œuvres le plus connu de Victor Hugo. Dans la préface de ce roman, il écrit de la misère : «Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers et compliquant d'une fatalité humaine, la destinée qui est divine… tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres comme celui-ci pourront ne pas être inutiles. »

défie une statue placée sur la tombe de ce dernier, l’invite à dîner, elle accepte d’un signe de tête ; • elle se rend au dîner et invite à son tour Don Juan ; • puis vient le chercher pour l’entraîner en enfer ; • Don Juan fait face à la damnation et meurt sans se repentir. • Il est toujours envisagé/présenté par ses auteurs de manière ambivalente, comme une sorte de monstre, en même temps qu’un personnage positif, d'où une certaine fascination. Les différents auteurs jouent sur la présence

un hérétique allongé à la poitrine écrasée par un livre. Enfin, un faux-monnayeur se fait couler de l'or dans la gorge. Au niveau inférieur, on voit un roi nu et un ivrogne pendu par les pieds. La diversité des personnages présentés montre que la damnation n'épargne aucun pécheur, quelle qu'ait été sa puissance sur la Terre. 2- REGISTRE INFERIEUR Au centre : le pesée des âmes Dans le registre intermédiaire, qui adopte une forme particulière (partie rose) on trouve, au centre, la représentation de

si on vous imposait la loi de ne manger ni boire depuis quatre heures du matin jusqu’à dix heures du soir, pendant le mois de juillet, lorsque le carême arriverait dans ce temps ; si on vous défendait de jouer à aucun jeu de hasard sous peine de damnation ; si le vin vous était interdit sous la même peine ; s’il vous fallait faire un pèlerinage dans des déserts brûlants ; s’il vous était enjoint de donner au moins deux et demi pour cent de votre revenu aux pauvres ; si, accoutumés à jouir de dix-huit

d’un point de vue religieux : « à tous les fidèles », « pour l’édification des fidèles », « à tous les vrais croyants ». • Interdiction est formulée en termes religieux également : « condamné », « proscrire » « anathématiser » ; « sous peine de damnation éternelle », «officialité » (tribunal religieux chargé de faire respecter l’édit). La Sublime Porte est une expression qui va désigner l’empire ottoman.Le terme renvoie à l’une des portes du palais de Topkapi à Istanbul, porte qui était réservée

en enfer qui marque une véritable révolte personnelle et identitaire. Rimbaud marque une véritable rupture avec un « avant » harmonieux marqué par l’innocence, la beauté et un certain conformisme poétique. Il y renie le paradis pour réclamer la damnation et se complait dans un monde de chaos. On s’éloigne alors du concept même de la poésie selon lequel celle-ci serait une représentation agréable de la Nature. Rimbaud annonce qu’il faut opérer un changement dans la langue poétique capable de rendre

bien-aimée pour partir en guerre contre les Turcs qui envahissent la Roumanie. Revenu victorieux du combat il apprend la mort de sa femme qui, ayant reçu une lettre perfide de la mort présumée de son époux, s’est suicidée. L’Eglise la condamne à la damnation. Dracula, fou de rage et de douleur, renie l’Eglise et ses croyances en faisant appel aux puissances des ténèbres et ingurgite du sang en guise d’immortalité afin de retrouver sa bien-aimée qui ère dans les enfers. Il se couche durant le jour et

lui enseigner l'art de gouverner 1) Le procès des mauvais rois ► Les trois premiers paragraphes détaillent les crimes des mauvais souverains avec une gradation, des plus évidents aux plus surprenants a) Les rois cruels Justification de la damnation, mise en valeur par la postposition du sujet qui, par accumulation, évoque les tares -paranoïa, avidité, orgueil, paresse, débauche- en les développant par expansion nominale : « ...voltigeaient encore les cruels Soupçons...la Faim insatiable des

masques ! / Il voudrait tenir à l’écart ce père adoptif qu’il respecte. / Ce que Lorenzo tente de faire comprendre, c’est que paradoxalement le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions ou plutôt que l’idéal voue celui qui s’y consacre à la damnation. Nous percevons toute la souffrance de Musset dans cette ambivalence des grands principes : l’évocation de Lucifer6, le plus beau des anges, nous dit assez que l’amour absolu de la Liberté peut tourner à la perversion. Lorenzo est incapable d’expliquer