Danaides

maintien sur place des populations, et l‟aménagement des quartiers à partir de la trame dessinée par la phase d‟auto-construction. Le développement social des « mangroves urbaines » de Fort-de-France et du Lamentin a longtemps figuré un tonneau des Danaïdes, jusqu‟à la mise en place des outils de la politique de la ville qui ont profondément impacté le profil de ces quartiers. Ce qui est en jeu aujourd‟hui c‟est une organisation sociale rénovée qui, par le biais des outils de la médiation sociale, devrait

viveurs, fils de la pourriture, A travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! LXXIII. – Le Tonneau de la haine La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes ; La Vengeance éperdue aux bras rouges et forts A beau précipiter dans ses ténèbres vides De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts, Le Démon fait des trous secrets à ces abîmes, Par où fuiraient mille ans de sueurs et d’efforts

est À la recherche du temps perdu. Au contraire ici nous avons un texte qui fuit (comme un récipient qui a des trous). Non seulement l’énoncé du « cadre » initial est une véritable écumoire, mais l’énonciation n’en finit plus, c’est un Tonneau des Danaïdes. La fin de L’Âge d’homme, bouclée (ou bâclée) par deux rêves, n’est pas une fin ; elle appellera ensuite : une préface ultérieure, des notes, et surtout une nouvelle autobiographie, en trois volumes, en attendant le quatrième, qui ne sera peut-être

qu’une pièce de cent sous est encore respectable ; on regarde à deux fois avant de l’entamer : c’est un morceau de résistance. La monnaie coule, elle s’échappe insensiblement d’entre les doigts. 42 Un ami de collège dans le malheur, tonneau des Danaïdes. 43 Défiez-vous constamment des inventions nouvelles, telles que : les huiles de Macassar, les poudres à rasoir, les pâtes de jeunesse, les fioles virginales, les scaphandres, les cafetières, les lignes qui se fourrent dans une canne, les

fils de la pourriture, À travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! – 104 – LXXIII. – Le tonneau de la haine La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes ; La Vengeance éperdue aux bras rouges et forts À beau précipiter dans ses ténèbres vides De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts, Le Démon fait des trous secrets à ces abîmes, Par où fuiraient mille ans de sueurs et d’efforts, Quand

festivals de théâtre en Afrique. Il l’est autant pour les décideurs politiques et les partenaires techniques et financiers car sa lecture leur fera changer de regard sur la culture et comprendre qu’investir dans l’art n’est pas remplir le tonneau des Danaïdes. Œuvre de vulgarisation et de recherche mais aussi œuvre militante, ce livre est par-là un hommage posthume au professeur Jean Pierre Guingané qui jamais n’a douté de la capacité du théâtre à participer au développement de l’Afrique. Et pendant

Philosophes viveurs, fils de la pourriture, A travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! LXXIII. – Le tonneau de la haine La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes ; La Vengeance éperdue aux bras rouges et forts A beau précipiter dans ses ténèbres vides De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts, Le Démon fait des trous secrets à ces abîmes, Par où fuiraient mille ans de sueurs et d’efforts, Quand

viveurs, fils de la pourriture, À travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s’il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! – 104 – LXXIII. – Le tonneau de la haine La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes ; La Vengeance éperdue aux bras rouges et forts À beau précipiter dans ses ténèbres vides De grands seaux pleins du sang et des larmes des morts, Le Démon fait des trous secrets à ces abîmes, Par où fuiraient mille ans de sueurs et d’efforts, Quand

tromper comme elle le peut sa solitude et son ennui, «dessine avec ardeur des solitaires», s'abandonne à la sensualité des tapis, du sable des plages, des choses à toucher, se fabrique une géographie mystérieuse («le lac des Fausses», «le tunnel des Danaïdes»), s'impose des rites, «de lentes processions rectangulaires», compose des comptines-sortilèges, se pare et s'admire, s'invente la confidente qu'elle n'a pas et qui n'est autre qu'elle-même dans le miroir : «Cette fois, ce sera Amimère, la toute

culture, par décision du wali, dans le cadre de Constantine, capitale arabe 2015. Le plus triste dans tout cela, c’est tout cet argent dépensé pour rien, et tout ce travail mal fait qui est, à chaque fois, recomF. H. mencé, comme le tonneau des Danaïdes ! El Watan - Samedi 31 août 2013 - 7 RÉGION OUEST AÏN TÉMOUCHENT NOUVELLES DE RELIZANE MASCARA L’utilisation de la craie est interdite dans les classes La lecture à l’heure de la fête ◗ Un homme retrouvé égorgé Tôt