Daniel Bouton

Le 29 avril 2009, Daniel Bouton invoquant des attaques incessantes sur sa personne démissionne du poste de président du conseil d'administration de la Société générale, selon lui pour protéger le groupe6,7 et tirer un trait sur les scandales qui sont nés sous sa direction (affaire Kerviel, plan de stock options pour les dirigeants, résultats de sa filiale de gestion d'actifs SGAM)8. « Troisième carrière » dans le conseil[modifier] En septembre 2009, Daniel Bouton crée sa propre société

d'administration a refusé la démission du PDG, Daniel Bouton. Celui-ci a conservé sa confiance à son numéro deux, Philippe Citerne, et au patron de la banque d'investissement, Jean-Pierre Mustier. Après l'augmentation de capital, les hommes de la Générale, en particulier Daniel Bouton, ont subi le contrecoup de ces semaines de fébrilité. Au point que le conseil a mis le poste du PDG en balance. Mi-avril, une évolution consensuelle a été décidée : Daniel Bouton, s'il conserve la présidence du conseil, a

message de Daniel Bouton sont les clients, les salariés, les actionnaires, les filiales de la société générale, les associations (ONG ) et les entrepreneurs. Daniel Bouton adresse ce messages aux parties prenantes de la société générale pour leur affirmer l'esprit d'équipe qui règne au sein de la société. Ce message montre également que chacune des parties prenantes de la société joue un rôle important et que tous sont concernés par la croissance de cette entreprise. Daniel Bouton rassure les

Cas d’entreprise : Les parties prenantes et la gouvernance d’une grande banque 1. Les parties prenantes concernées par le message de Daniel Bouton sont les clients, les actionnaires (salariés et anciens salariés), les entrepreneurs, les ONG comme « Les Amis de la Terre », les salariés, et les filiales de la Société Générale. Ce message vis-à-vis de chacune de ses parties prenantes permet à la Société Générale de montrer l’esprit d’équipe dans lequel elle évolue. Il insiste sur le fait que

suspended sentence and was fined 4,9 billion!! It was the trial of a man like if it was the guilty of the French crisis. But it is not guilty, it was a symbol of the economic’s slide. In the first place, come back on the 20th of January 2008, when Daniel Bouton (PDG) exposes the disaster: Mr Kerviel could have hided 50 4,9 billion Euros’s placement from the executive Director. It’s the beginning of big difficulties for “Société générale”. In fact, Mr Kerviel, a trader, had invested 4,9 4,9 billion in

respectée. 3.3 La communication financière de la Société Générale dans cette affaire. Il est intéressant d’analyser la communication de la Société Générale. Il est évident que Jérôme Kerviel était le parfait bouc émissaire. Le PDG de la banque, Daniel Bouton compare même le trader à un terroriste. En effet, de tout rejeter sur le même homme a permis de cacher les défaillances de la banque dans cette affaire. Au même moment de la révélation de cette fraude, la banque indiquait une perte de deux milliards

pervers et responsable de tout ». De l’autre côté de la Manche, The Guardian titre « Jérome Kerviel – Fall Guy » qui veut dire Bouc Emissaire. Au final, la condamnation est aussi spectaculaire que la fraude dévoilée 2 ans plutôt par Daniel Bouton (ancien PDG de la Société Générale, remplacé en avril 2008 par Frédéric Oudéa). Il me parait légitime de se questionner sur l’utilité de cette sanction, d’autant plus qu’elle est inapplicable et que de toute façon la Société Générale exclut de

sera dévoilé qu'en fin de journée puis confirmé par un cadre dirigeant de la banque. La direction des ressources humaines du groupe évoque alors « un être fragile », « sans génie particulier », traversant des « difficultés familiales ». Le PDG Daniel Bouton lors d'une interview sur France Info le 24 janvier 2008, confirme la responsabilité de Jérôme Kerviel dans cette affaire, en la qualifiant : « cet escroc, ce fraudeur, ce terroriste, je ne sais pas ». Christian Noyer, gouverneur de la Banque de

Cas d’entreprise p 91 Les parties prenantes et la gouvernance d’une grande banque 1. Les parties prenantes concernées par le message de Daniel Bouton sont les clients, les actionnaires (salariés et anciens salariés), les entrepreneurs, les ONG comme « Les Amis de la Terre », les salariés,   et les filiales de la Société Générale. Ce message vis-à-vis de chacune de ses parties prenantes permet à la Société Générale de montrer l’esprit d’équipe dans lequel elle évolue. Il insiste sur le fait

vous allez juger est un bouc émissaire qui se voit porter sur ses épaules tout le poids de l’incompétence de la Société Générale et de ses dirigeants. (4) (Silence) Le 24 Janvier 2008, mon client est mis en cause publiquement par Monsieur Daniel Bouton, alors président-directeur général de la banque Société Générale. Il est fait état d’une perte de 4,82 milliards d’euros, dont la responsabilité est imputée à mon seul client Jérôme Kerviel. Oui, Mesdames et Messieurs les jurés, un homme seul