Dans La Maison Natale

restent de son passé. Dounia tente de se reconstruire une identité. «Émigrer, s’en aller, laisser derrière soi ce que l’on va se mettre à appeler mon soleil, mon eau, mes fruits, mes plantes, mes arbres, mon village. Quand on est dans son village natal, on ne dit pas mon soleil, on dit le soleil et c’est à peine si on en parle puisqu’il est là, il a toujours été là, on ne dit pas mon village puisqu’on l’habite...»[1] Par le procédé le l’énumération, la femme témoigne ici de la difficulté à quitter

une dame aimée. Puis il ordonne à Ruy Blas de séduire la reine et de devenir son amant. Acte II : Dans un salon proche de la chambre de la reine. Celle-ci est seule et délaissée par son mari, le roi Charles II. La reine s’ennuie loin de son pays natal l’Allemagne. Elle aime un inconnu qui chaque nuit lui dépose un bouquet de fleurs et une lettre d’amour. Ruy Blas, transformé en écuyer, qui lui apporte un billet laconique dicté par le roi. Avec émotion, la reine reconnaît en lui l’auteur de la lettre

camp de Saint-Cyprien dans le sud de la France (Pyrénées). Ce tableau dénonce les conditions de vies imposées aux prisonniers tout en décrivant les camps d’internement. La plupart de ses tableaux sont maintenant conservés dans un musée dans sa ville natale, Osnabrück, accomplissant ainsi sa volonté : « Si je meurs, ne laissez pas mes peintures me suivre, mais montrez-les aux hommes » Description de l’œuvre1er PlanAu 1er plan, on voit en gros le personnage principal, il prend presque toute la place.

sont terrifiés et fascinés par leur voisin Arthur (Boo) Radley qui vit reclus chez lui. Les enfants imaginent l'apparence et les raisons qui poussent Boo à rester chez lui et essayent de le faire sortir de sa maison. Scout et Jem trouvent des petits cadeaux dans l'arbre situé devant la maison des Radley. Atticus est commis d'office pour la défense d'un noir nommé Tom Robinson accusé d'avoir violé une blanche, Mayella Ewell, qui témoigne contre lui au tribunal, ainsi que son père Bob Ewell. Après

Les Expulsés de Ernest Pignon Ernest Ernest Pignon-Ernest est un artiste engagé, né en 1942 à Nice. Il fait ses études dans sa ville natale et travaille d’abord pour l’architecture. Très jeune, il expose déjà régulièrement ses oeuvres dans des expositions personnelles. Très vite, l’artiste s’intéresse à la ville et réalise, au cours du temps, de nombreuses interventions urbaines. Il est un des initiateurs de l’Art Urbain ou Street Art en France. Ses sérigraphies qui s’affichent sur les murs des

au régiment. Trouvant cela injuste ils vont chez le roi afin de lui expliquer qu'ils ont les même droits. Ainsi, ils échangent leur place. L'éloignement les rendit dépressifs. C'est pourquoi le capitaine demanda un congés pour aller dans sa ville natale mais au lieu de cela, celui-ci se déguisa en paysan et partit rejoindre son ami. Ils ne peuvent donc pas se serrer dans leur bras a cause de leurs grades. Les officiers ne comprennent pas pourquoi ils ne se voient jamais et restent enfermés. Ne

ou comme ici une rue peu fréquentée. C’est une huile sur toile peinte en 1928. D’une dimension de 71x60 cm, elle est conservée au musée Thyssen-Bornemisza. On peut remarquer deux plans : au premier on peut voir des escaliers, le côté de quelques maisons ainsi qu’une personne, surement une vieille femme. Au second, on voit les dernières marches, un groupe de personnes ainsi qu’une église. On peut penser que le pointe de fuite se situe au niveau de l’horloge sur l’église. Sur cette toile la lumière

en 1920, qu'il créa sa propre entreprise de bonbons qu'il appela HARIBO. Cette appellation est tout simplement dû aux premières syllabes de son nom et de sa ville natale : « HA » pour Hans, « RI » pour Riegel et « BO » pour la ville de Bonn. Le succès de ce dernier commence par la création de bonbons dans une simple buanderie de maison, avec comme outils principaux : du sucre, un rouleau, un four et un chaudron .Il bénéficie également de l'aide de sa femme ainsi que la ferme intention de réussir

en trois parties verticales bien distinctes : à gauche le Mexique, au centre Frida Kahlo et à droite les Etats-Unis. Par cette symétrie de la composition, l’artiste utilise les liens plastiques en opposants les divers objets culturels de sa terre natale aux constructions métalliques et industrielles de Détroit. Ainsi, les racines au premier plan se cognent au fils électriques enterrés du côté des Etats-Unis ; les plantes au premier plan dédoublé gauche s’opposent aux appareils électriques au même

de Manhattan et des vêtements pour offrir un service de blanchisserie, 12 heures par jour, six jours par semaine, pour 200 $ par semaine, payés en espèces tous les mercredis. Il a été huit fois ce qu'elle gagnait dans une usine de chaussettes à la maison. Alors que de nombreux sans-papiers s'accrocher au monde de clandestins, Ana cultivées amis américains. Sur une prestation de blanchisserie, Ana a rencontré Christina, un professeur qui lui a offert un travail de nettoyage de son appartement et son