Dans Quelle Mesure Penser C Est Dire Non

remonter le temps * on ne peut pas accélérer le temps On a inventé des conventions destinées à rendre maîtrisable le temps : montre, horloge, horloge solaire, emploi du temps, changement d’heure, calendrier, sablier, clepsydre… Mais est-ce que mesurer le temps nous permet-il de savoir ce qu’il est précisément ? Le temps n’est-il pas relatif à la manière dont on le vit ? => Une heure ne peut être vécu de la même manière selon ce qu’on y fait… Lient entre l’existence et le temps : je suis censé

Il est d'usage de penser que la vérité, de par sa conformité au réel, n'admet pas le doute dans la mesure où il nous est possible de légitimer son fondement à travers une démonstration. Mais il existe un grand nombre d'entités ne pouvant être soumises à une quelconque expérience du fait qu'elles ne soient pas tangibles, et qui pourtant prétendent détenir un degré de réalité indéniable. En effet, nous nous référons sans cesse dans notre vie quotidienne à des Idées telles que la morale, la justice

manière dont il agit. C’est à dire que le pire des bandits serait en mesure de devenir bon et moral, et que  par conséquent il y ai toujours une chance à donner même aux malfrats. Il est alors bien difficile d’imaginer donner une seconde chance aux Hommes ayant fait acte de grands crimes contre l’Humanité. Cette forme de pensée (Celle entre autre de Jean-Jacques Rousseau transcrites dans le discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes) tend à dire que l’Homme est bon par nature

Si on en est arrivé au point de penser un changement radical des mentalités, c’est que pour certains, la situation écologique, économique et sociale de la planète est devenue inacceptable et même irréversible. Les hommes qui pensent la décroissance ont constaté un danger imminent si la situation planétaire ne change pas du tout au tout dans les années à venir. Avant d’en arriver là, il convient de revenir sur ce qui à fait la planète jusqu’à nos jours, quels étaient ces rapports entre les hommes

Dissertation_CécileCécile Arioli / Novembre 2022 / Dissertation de Philosophie générale - Le sujet Faut-il se passer de la notion de sujet ? Spontanément, on a tendance à penser que la notion de sujet est indispensable : autant parce qu’elle est inhérente au ressenti d’existence d’un être humain, que parce que les systèmes sociaux et politiques qui nous structurent en tant qu’espèce se forment nécessairement autour d’un besoin de réunion et de rassemblement de ces sujets individuels. “Faut-il”

responsabilité, et donc la maturité, sont indispensables à la liberté. Dans une certaine mesure, nous pouvons dire que la liberté repose sur le choix et la légitimité de ce qui nous est imposé. Pour pouvoir affirmer cela, il nous est tout d’abord nécessaire de différencier certains concepts qui sont en apparence semblables. Il faut faire la différence entre contrainte et obligation: ces deux concepts sont liés dans la mesure où ils reposent tous deux sur une règle qui nous est imposée. Cependant, la règle

Comment peut-on concilier le devoir de tolérance avec le sentiment qu’il faut réagir face aux opinions racistes et ne pas les tolérer ? La tolérance est-elle réellement, comme on l’entend parfois dire, la valeur devant laquelle toutes les autres valeurs doivent s’incliner ou ne peut-on penser qu’au-dessus de la tolérance, il y a un devoir de responsabilité qui nous oblige à ne pas accepter ce qui met en péril ou bafoue les droits de l’homme ? I - S’il faut tolérer les opinions, c’est

rattacher au droit pénal. C’est bien une notion criminologique, et c'est dire qu’elle est née avec la criminologie, qu’elle prend source du côté de l’aliénisme et qu’elle a servi à définir une politique criminelle. Elle a mis quelque temps à être repérée, elle n’a pas été immédiatement dénommée « dangerosité » alors même que le contenu de la notion était là. Elle a pu ensuite connaître des éclipses au moins partielles, c'est-à-dire qu’à certaines périodes, elle ne fut plus totalement visible dans le

En effet, l'on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario, l'on peut être convaincu que la conscience, seule, ne permet pas une telle affirmation, voir même que ce choix est inenvisageable car finalement, peut -être ne choisissons nous pas qui nous sommes et qui nous devenons. On hésite donc, confronté à cette question, à prétendre : "oui j'ai choisis celui que je suis" ou a l'inverse " non je n'ai pas fait ce choix"

problématique de ce sujet (qui ne doit pas apparaître dans le devoir qu’intégrée à l’intro cf ci-dessous): D’un côté, nous savons bien que la liberté d’expression est un droit fondamental de l’être humain, qu’interdire à quelqu’un de s’exprimer, de dire son opinion, c’est en quelque sorte lui refuser le droit d’avoir un statut dans le monde, c’est quasiment lui refuser le droit d’être. Bref, nous savons qu’il est de notre devoir d’être tolérant. D’un autre côté pourtant, il y des opinions que nous