Dans Tout Amour N Aime T On Que Soi Même

Lettres de la Religieuse Portugaise   Anonyme de la fin du XVIIe siècle     [pic] LETTRE PREMIÈRE     Considère, mon amour, jusqu'à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah malheureux ! tu as été trahi, et tu m'as trahie par des espérances trompeuses. Une passion sur laquelle tu avais fait tant de projets de plaisirs, ne te cause présentement qu'un mortel désespoir, qui ne peut être comparé qu'à la cruauté de l'absence, qui le cause. Quoi

renforcé par "toutes" b - figure allégorique (incarnant les qualités intellectuelles : "sagesse", morales, "cœur" générosité/sensibilité) 3) La femme, ses dons, ses actions de bienfaisance Le poème fait l'inventaire de ses dons : a - don pour l'être aimé d'exister, de lui redonner confiance et "goût à la vie" b - yeux miroirs de l'âme opposition présent/passé "qui me reflète sinon toi"/"je n'ai pas pu percer" c - transcende la mort "ce cœur immortel" "grand soleil" à amour plus fort que

l’âme que la chaleur l’est au corps. (P. JANET). Qui voudrait voir sa vie morne et endormie se traîner sans aucune de ces impulsions énergiques ? (Idem). Sans les passions, il est impossible de faire de grandes choses. (Idem). Les passions sont toutes nécessaires. (DE COULEVAIN). Il ne dépend pas de nous d’avoir ou de n’avoir pas des passions, mais il dépend de nous de régner sur elles. (J.-J. ROUSSEAU). C’est aux passions fortes qu’on doit l’invention et les merveilles des arts. (HELVETIUS)

exemple Pyrrhus et Andromaque puisse se parler sans qu’il y est d’autres personnes qu’eux et leurs confidents. Les confidents savent tout sur leur maître et sont proches d’eux. Par exemple quand Hermione décide de se venger, elle en avertie Cléone même si elle n’est pas d’accord, celle-ci essai de la convaincre de ne pas le faire mais elle finit par l’aider quand même. A l’époque de Louis XIV, le théâtre doit respecter des règles assez strictes. Comme cité au pare avant un personnage d’homme ne

d’Agamemnon, amoureux d’Hermione prêt à tuer Pyrrhus pour son amour. Phoenix : gouverneur d’Achille puis de Pyrrhus, confident/conseiller de Pyrrhus. Pylade : Amis d’Oreste confident. Fils du roi de Phocide et de la sœur d’Agamemnon cousin d’Oreste. Cléone : Confidente d’Hermione. Céphise : confidente d’Andromaque. Acte 1 Scène 1 Pylade et Oreste : On voit Oreste se confier à Pylade. On apprend alors qu'Hermione aime Pyrrhus, que ce dernier aime (et hait) la veuve d'Hector : Andromaque. On sait aussi

Roderigo : C’est important… C’est au sujet de sa fille ! Le serviteur : Dans ce cas.. (le serviteur sort) Roderigo : Enfin ! Je vais pouvoir la voir, l’avoir, mon plus grand désir.. Le sénateur Brabantio est un honnête homme, il ne pourra renier mon amour pour Desdemona, et ne pourra donc refuser ma demande.. Le serviteur : Le sénateur vous attend monsieur Entre Roderigo, dans la salle où l’attendent Brabantio et sa fille Brabantio : Ah c’est vous mon petit Roderigo, que ce passe t’il ? Rien

quête du grand amour, des critères bien précis en tête pour déterminer ce à quoi il devra ressembler. Ces attentes sont-elles dues à notre vécu ou sont-elles issues d'un mécanisme inconscient ? C'est sur cette question que s'interroge Descartes dans sa lettre à Chanut du 6 juin 1947. En évoquant un souvenir d'enfance, il cherche à comprendre la part d'irrationnel qui, accompagnant la naissance d'une passion, lui donne toute sa force. Il y a donc un dualisme raison/ passion présent tout au long du texte

En quoi ce poème exprime-t-il la quête d’un amour idéal ?La quête d’un amour impossible (ID)Arg 1: car la femme aimée est inaccessible spatialement Procédé/ citation : le titre «  Amour lointain  »  éloignement- souligne la distance qui sépare la F du poète Répétitions ou occurrences de «  lointain  » x5 à la rime  transforme le désir de la rejoindre en obsession . le

SARAH RIANI «  CONFIDENCE » Couplet 1 : J'ai voulus laisser le temps au temps, mais il ne m'a pas laissé le choix, pour ne pas y penser j'ai fais semblant mais tout me ramène encore à toi, je tourne en rond face à ces questions sans réponses, qui voudraient me voir abandonner, sera tu là quand mes nuits seront longues, sera tu seulement m'aimer, REFRAIN : je voudrais y croire ; pourtant quelques part j'ai si peur de devoir commencer, une nouvelle histoire, un nouveau

humain capable de sublimer ses passions. L’extrait à étudier est celui de la scène 6 qui clôture l’acte I. Déshonoré par le comte, qui l’a souffleté, Don Diègue a sommé son fils Rodrigue de le venger. Or, le comte est le père de Chimène, que Rodrigue aime passionnément. L’idée d’affronter un tel adversaire le désespère. L’action se noue. Que choisir de la vengeance ou de l’amour ? Dans ces stances célèbres (le mot est issu du latin stare, qui veut dire « s’arrêter »), Rodrigue exprime une hésitation