Danse du lion

à propos d’un cheval venant d’Egypte et offert en cadeau : « Nul homme n’a jamais vu bête de cette sorte: / les flancs tachetés, la coupe fauve, /la queue violette comme celle d’un paon, par les soins de Nature, / la tête d’un bœuf, les yeux d’un lion, le corps d’un cheval » (Branche I, vers 430-432, p.99). Si l’Egypte fascine, elle n’a en revanche suscité la curiosité scientifique que tardivement. En effet, il faudra attendre l’expédition de Bonaparte en 1798 pour déclencher en Occident une vague

découverte de l’Amérique, nous n’aurions pas la syphilis et le phylloxéra. L’exalter quand même, surtout quand on n’y a pas été. Faire une tirade sur le self-government. A MIRAL Toujours brave. Ne jure que par « mille sabords! ». A NDROCLÈS Citer le lion d’Androclès à propos de dompteurs. A NGE Fait bien en amour et en littérature. A NGLAIS Tous riches. A NGLAISES S’étonner de ce qu’elles ont de jolis enfants. A NTÉCHRIST Voltaire, Renan… 5 ANTIQUITÉ ET TOUT CE QUI S’Y RAPPORTE A NTIQUITÉ ET

Vous irez dans la poêle, et vous avez beau dire, Dès ce soir on vous fera frire. » Un Tiens vaut, ce dit-on, mieux que deux Tu l’auras : L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. 12 Les oreilles du Lièvre Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de courroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute bête portant des cornes à son front. Chèvres, béliers, taureaux, aussitôt délogèrent ; Daims et cerfs de climat changèrent : Chacun à s’en aller fut prompt

pas d'autres filles que les entraîneuses dans les bars du Maquis. Mais, ajoute Sebhat, le sexe n'est pas la principale raison qui nous conduit, nous les mecs, dans le Maquis de Woubé. Si tel était le cas, il n'y aurait pas besoin de musique ni de danse. Une femme et un lit suffiraient. Comme sur l'avenue Churchill. Les consommations dans le Maquis coûtent deux fois plus cher et donc, si c'est boire qui nous intéressait, on irait ailleurs. Maître ès-dérive, observateur ému ou passant nyctalope, Sebhat

disgrâce, caresse, escapade, etc.), à la peinture (coloris, profil, miniature, etc.) et à l'architecture (belvédère, appartement, balcon, chapiteau, etc.). En réalité, tous les domaines ont été touchés: l'architecture, la peinture, la musique, la danse, les armes, la marine, la vie de cour, les institutions administratives, le système pénitencier, l'industrie financière (banques), le commerce, l'artisanat (poterie, pierres précieuses), les vêtements et les objets de toilette, le divertissement, la

charogne. B- L’horreur de la rue et de la ville exprimé par l’Art devient beauté : Le poète sublime les êtres dépréciés : prostituées (« A une mendiante rousse », «Chanson d’après-midi », « Je n’ai pas pour maîtresse une lionne illustre », « Le poison », « Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle » ), pauvres (« Le vin des chiffonniers » « La mort des pauvres »), des êtres marginaux (« Les petites vieilles », « Les aveugles»). Transition : l'alchimie souhaitée

quatre ans à Tostes, dut se résoudre, pour « la changer d'air », à déménager à Yonville-l'Abbaye, gros bourg où se tenaient des comices agricoles renommés. Il espérait que la vie à cet endroit distrairait sa femme alors enceinte. À l'auberge du ‘’Lion d'Or’’, la patronne, Madame Lefrançois préparait le dîner : on attendait les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien progressiste et athée, tout à fait pédantesque mais n’émettant que des idées reçues, était là, bavardant inlassablement. Entrèrent ensuite

quatre ans à Tostes, dut se résoudre, pour « la changer d'air », à déménager à Yonville-l'Abbaye, gros bourg où se tenaient des comices agricoles renommés. Il espérait que la vie à cet endroit distrairait sa femme alors enceinte. À l'auberge du ‘’Lion d'Or’’, la patronne, Madame Lefrançois préparait le dîner : on attendait les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien progressiste et athée, tout à fait pédantesque mais n’émettant que des idées reçues, était là, bavardant inlassablement. Entrèrent ensuite

(merci Dominique d’Intersport Besançon). C’est un vrai bonheur comparé aux coureurs qui dorment au dur et au froid. Le sac de couchage est limite mais avec caleçon et sweet, c’est bon. Mardi 3 juin : étape de 33.9 kilomètres entre La Gracieuse et Le Lion avec 402m de D+ -A 6 h 15 ; ma montre est sensée sonner ; en fait, 5 h 45, tout le monde est éveillé . On se lève donc et l’un après l’autre (1 réchaud pour 9 colocataires), on chauffe son brouet pour les uns et/ou son café ou thé pour les

intérêts politiques partisans » interview de Salifou Sana parti étudier à Cuba pendant la révolution Philippe Ouedraogo, ministre la première année de la révolution, parle des grands travaux sous la révolution Boukary Kabore dit « le Lion » “La mort de Thomas a été un suicide politique” Henriette Ekwé, militante de l’UPC (Union du peuple du Cameroun) « Sankara nous a aidés dans la clandestinité » « L’expérience des CDR fut hautement positive qu’il faudrait recommencer