Darwin Homme Animal

l'émergence d'une pensée eugénique sont, premièrement et sur le principe la théorie darwiniste faisant appel à la sélection naturelle. Le terme eugénisme est d'ailleurs utilisé pour la première fois en 1883 par Sir Francis Galton, un cousin de Charles Darwin. L'eugénisme serait donc une interprétation du darwinisme par Galton. Pour ce dernier, les systèmes d'aide sociale, hôpitaux,.. empêchent la sélection naturelle d'opérer et donc d'éliminer les inaptes. L'humanité se retrouverait alors de plus en

création : * Choix d’un sujet * Hypothèse * Observation directe * Rédaction : placer un personnage dans une situation et constater les résultats logiques La science au 19e siècle * 1859 – De l’Origine des espèces. Darwin homme = animal // angoisse ( on scrute l’animal en l’homme) * 1880 – Découverte du microbe Nouvelle angoisse = se méfier de l’invisible * Médecin > prêtre La science au service de la société. Deux mots du naturalisme Déterminisme : L’homme

sauvage » développé par J.J Rousseau → l'homme serait naturellement bon et doué mais que la société dans laquelle il vit le pervertie. Ce mythe va durer au XIX et XXè s. sous plusieurs formes et certains groupes sociaux seront à la recherche de cet homme naturel dégagé de tout conformisme social (beatniks, hippies). → suppression de tout ce qui est fonction sociale : pas de famille, salaire, groupes → on ne peut pas se scinder de la société, l'être humain est grégaire (gregs = troupeau) La

non, consciente ou non, dans la communication. De même que chez les animaux, l’homme émet constamment avec son corps de puissants signaux que les autres décodent et auxquels ils réagissent. La fonction du corps comme langage est à ce point primordiale que les hommes et les animaux peuvent souvent, malgré tout ce qui les séparent, se comprendre sur la base de ce seul dialogue. Toutefois, le langage du corps des hommes et des animaux ne participent pas à la même réalité. L’esprit, qui distingue l’homme

société moderne est démocratique et tend vers l’égalisation ; selon Marx, elle est capitaliste, ... Mais elle est avant tout industrielle. I – Le positivisme de Comtes 1798-1857 Comtes = personnage haut en couleur, à la vie fantaisiste. Grand homme de la sociologie, mais ce qu’il lui a apporté n’est pas tant ses idées propres, mais bien dans le nom et la méthode de la discipline. 1 - Comtes, biographie La révolution industrielle = rupture décisive dans l’histoire, car annonce le temps

faire tout le contraire de ce que promouvait son entourage et son milieu social. Il a réussi à transformer son destin social. Ex : Albert Camus est né à Alger, orphelin, sa mère ne savait ni lire ni écrire. Il a rencontré un instituteur, Le premier homme qui lui a fait découvrir la littérature. Ils ont conscience d’être des exceptions. Bourdieu a écrit un ouvrage : Les héritiers. Il théorise la reproduction sociale, un cercle vicieux lié non pas à des compétences innées mais à des compétences acquises

6H₂O + 6CO₂  C₆H₁₂0₆ + 6O₂ Les plantes ne se déplacent pas. Règne des Eumycètes =Si unicellulaires  Levure Si pluricellulaires  Champignons Se nourrissent de matières organiques Hétérotrophes= incapables d’effectuer la photosynthèse Règne des Animaux = pluricellulaires et hétérotrophe, capable de se déplacer. La classification de Linné est dite PHENETIQUE car il se base sur des caractères visibles. 5 classes suivant différents aspects : Mammifères : La peau porte des poils Femme possède

vois..... selon Darwin et sa théorie de l'Evolution, toute forme de Vie provient de la mer ou des océans. Pouvez-vous me dire ce que votre Coran dit à ce propos?  Abdellah : Bien sûr, mais d'abord pouvez-vous me dire pourquoi cette théorie conduit à une telle affirmation que la vie vient de la mer?  Michel : Et bien, une des raisons est que l'eau entre dans la composition de la plupart des êtres, humains et animaux. En fait, le pourcentage d'eau dans les corps (humains et animaux) varie entre

pour les êtres animés). Montrons maintenant que la fin ultime de l’homme (naturelle et surnaturelle) c’est l’union avec Dieu. Argumentons d’abord à la lumière de la raison naturelle : L’homme, animal rationnel, partage d’abord par définition des finalités communes avec les animaux : il se nourrit, croît afin de se maintenir dans l’être, et ultimement, vise à la génération. Mais sa nature double, matérielle et spirituelle fait qu’il comporte en plus en lui une aspiration qui dépasse absolument

préoccupations logiques visant à définir les critères formel d'un discours vrai. En effet, pour dire quelque chose de l'être, encore faut-il pouvoir lui attribuer des prédicats : le sujet, chez Aristote dans ses œuvres Physique ou encore Les Parties des Animaux, a donc une fonction logique et grammaticale. Or, précisément, le discours se veut non seulement formellement correct, mais matériellement vrai : la logique n'a de sens que si elle se rapporte à l'être, que si le sujet est aussi une substance dotée