De l'esprit des lois

Montesquieu, de son vrai nom Charles Louis de Secondat, (pas nécessaire) est un penseur politique et écrivain des lumière des XVII et XVIIe siècles. Il est l’auteurs de grandes œuvres telles que les De l’Esprit des lois écris en 1748. Cet œuvre est écrit dans un contexte où l’ensemble des pouvoirs est tenu par le souverain. La doctrine, dont les lumières, se montrait contre cet absolutisme. Ils exprimaient leurs arguments selon leur spécialisation :

On entend aujourd’hui par fanatisme une folie religieuse, sombre et cruelle. C’est une maladie de l’esprit qui se gagne comme la petite vérole. Les livres la communiquent beaucoup moins que les assemblées et les discours. On s’échauffe rarement en lisant: car alors on peut avoir le sens rassis. Mais quand un homme ardent et d’une imagination forte parle à des imaginations faibles, ses yeux sont en feu, et ce feu se communique; ses tons, ses gestes, ébranlent tous les nerfs des auditeurs. Il crie:

MONTESQUIEU, de l’esprit des lois INTRODUCTION : De l'esprit des lois est un traité de théorie politique publié par Montesquieu à Genève en 1748. Montesquieu est l’un des philosophes les plus influents du XVII ème siècle, c’est pourquoi ses ouvrages sont très exposés. Son ouvrage « esprit des lois » est considéré comme le meilleur exposé du libéralisme aristocratique, il y développe l’idée de distribution des pouvoirs, l’apologie des corps intermédiaires, ainsi qu’une typologie des différentes

expérimentaux et organise le monde en lui appliquant des constructions théoriques. Dès lors, le chercheur ne découvre la nature que parce qu’il bâtit lui-même ses conditions de recherche et découvre en quelques sortes ce qu’il veut découvrir. Les faits, les lois et les théories scientifique ne sont jamais totalement produites par le sujet lui-même, pour autant, les objets de la science ne sont pas que le résultat d’une simple lecture du réel. La science se laisse alors voir comme étant un mélange de passivité

monde en le transformant et le transforme en le connaissant." (Marx) | | |* "Une expérience scientifique est (...) une expérience qui contredit l'expérience commune." (Bachelard, La formation de l'esprit | | |scientifique) | | |* "Une théorie qui n'est réfutable par aucun évènement qui se puisse concevoir est

pour la géographie. Découvrir les lois de la Nature : telle fût l'ambition du siècle. Une date clé, 1749 : publication des 3 premiers volumes de l'Histoire naturelle de Buffon. Mise en place de la classification des êtres vivants. Des progrès notable également en astronomie. II- L'esprit philosophique au XVIII ème siècle Caracterisé par une entière confiance dans la raison humaine, chargée de résoudre tous les problèmes et par une foi dans le progrès, l'esprit philosophique est un nouvel humanisme

religion, il fallait vaincre ce peuple. 2) A) La religion chrétienne a séparé la religion de la politique « séparant le système théologique du système politique ». L’autorité est alors séparée en deux ce qui crée des conflits. Les intérêts des lois s’opposent à ceux de la religion. Les intérêts de l’une des autorités aura toujours l’avantage sur l’autre en entrainant dans un déséquilibre permanent dans la société. Les citoyens se trouvent face à deux autorités sans savoir à laquelle ils doivent

(Guyenne, à côté de Bordeaux), mort le 10 février 1755 à Paris, est un moraliste et surtout un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières. Jeune homme passionné par les sciences et à l'aise avec l'esprit de la Régence, Montesquieu publie anonymement Lettres persanes (1721), un roman épistolaire qui fait la satire amusée de la société française vue par des Persans exotiques. Il voyage ensuite en Europe et séjourne un an en Angleterre où il observe

la logique limitent-elles la liberté d’esprit? * règle : Proposition indiquant la manière de se conduite (prescription morale) ou la démarche à suivre pour obtenir un certain résultat (règles de l'art). * logique : a) Comme nom, science des lois de la pensée. b) Comme adjectif, se dit d'un discours dans lequel les arguments s'enchaînent de façon cohérente. * liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les motifs qui me sollicitent

d’être humains vivant en groupe organisé”. C’est aussi “le milieu dans lequel quelqu’un vit et qui est caractérisé par ses institutions, ses lois et ses règles”. Le logos quant à lui désigne en grec le discours. Ce terme dans son acception logique désigne un ensemble d’énoncés liés entre eux par une logique spécifique et consistante, faite de règles et de lois et qui apportent des informations sur des objets ou des idées. Ainsi la contraction de ces deux termes nous amènerait à dire que la sociologie