Debat Antigone Créon

une force extérieure qui nous pousse à agir contre notre volonté ; une obligation nous pousse à agir en vertu d’une nécessité intérieure, subjective, qui nous fait reconnaître un devoir d’agir de cette manière là. Par exemple, Antigone est « contrainte » par son oncle Créon à ne pas enterrer son frère Polynice mais elle est « obligée » d’aller l’enterrer du fait de ce qu’elle considère une loi divine. La contrainte est physique, l’obligation est morale. Pb : la loi nous contraint-elle ou nous oblige-t-elle 

soubrettes font preuve de bon sens et d’esprit d’à-propos. Toinette ne déroge pas à cette règle et tient tête à son maître. Mais plutôt que d’attaquer frontalement Argan, elle choisit une stratégie rhétorique originale. Elle s’en prend à la forme du débat, mais pas immédiatement au fond. Ainsi, elle emploie des termes qui renvoient à la manière de parler et au ton de la dispute, tels que « Est-ce que nous ne pouvons pas raisonner ensemble sans nous emporter ». En vérité, le rôle de Toinette consiste

religieuse et les règles de droit. ex: la religion catholique considère que le mariage te un sacrement indissoluble OR le divorce et admis par la règle de droit. le principe de laïcité n’est pas facile à comprendre ou a mettre en oeuvre, notamment avec les débat autours du voile islamique. en réalité se principe signifie que le droit doit être en rapport de neutralité avec la religion en en privilégient aucune religion (c’est se qu’on appel la neutralité négative) et doit traiter toute religion de la même

caricaturistes politiques les plus impertinents. Mais l’on doit aussi à la sagesse grecque l’idée d’un ordre du droit auquel le souverain lui-même ne peut que se soumettre à peine de devenir un tyran illégitime. Cette idée fondatrice qu’exprime Antigone opposant à Créon la loi immuable des dieux a fécondé un ordre juridique universel instituant la personne humaine comme source et comme finalité du droit. Les déclarations américaine et française, universelle et européenne, des droits de l’homme sont filles

prés du tribu, s'il estim que l'affaire est en état à être jugée, décide le renv à l'audience. A l'inverse, il peut renvoy à une audienc ultéri et peut demand une nouvelle communi des pièces. Une fois que la date d'audienc est fixée, il y a les débats et les plaidories et le tribun délibère. Il se retir dans le secret, rerentre dans la salle d'audience et prononce le verdict. TITRE II: LE DROIT OBJECTIF: LA REGLE DE DROIT Le droit subjectif, c'est le droit personnel qui découle du droit objectif

touchent au bonheur collectif ? Dans la plupart des mythologies, le bonheur individuel est considéré comme moins important que le bonheur collectif. Pourquoi, à votre avis ? De nos jours, est-ce toujours le cas ? Pourquoi ? L’histoire d’Antigone Antigone est la fille d’Œdipe et de Jocaste. Elle a deux frères jumeaux, Eteocle et Polynice, et une sœur, Ismène. Or, Eteocle et Polynice, frères jumeaux, avaient tous les deux le droit de régner sur Thèbes. Ils se livrèrent, malgré les efforts d’Antigone

à l’égard d’une personne physique ou morale qu’elles rémunèrent, ne s’appliquent pas aux clauses qui se bornent à prévoir un aménagement ou une limitation de la responsabilité du cocontractant. Le conseil d’État transcrit dans sa jurisprudence le débat qui s’est antérieurement déroulé devant la Cour de Cassation au sujet de la limitation de responsabilité et de garantie prévu notamment à l’article 1792 du Code Civil34. Une fois encore le droit du contrat administratif tire sa source dans le droit

différentes expériences des sociétés depuis l’Antiquité. La loi du 15 mars 2004 met en application le principe de laïcité, le port de signes manifestants une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées. Cette loi créée un véritable débat sur la religion et de son rapport au droit et de leur opposition, c'est une question d'actualité (port de la burqa dans les lieux publics). Les Grecs ont été des précurseurs de la séparation de la religion et du droit puisque la loi avait une place

du temps. L’idée était qu’un Etat ne peut posséder une zone, et dans le cas présent une zone maritime, que s’il est capable d’y imposer effectivement sa décision. [NOTE : du point de vue juridique, cette décision est intéressante et correspond à un débat important en matière de droit : le droit n’existe-t-il qu’à partir du moment où il peut être imposé dans les faits ?]. Ainsi, ce fut la portée du canon qui fut prise en compte et augmenta avec le temps: de 3 milles marins au début de la renaissance

dans l'Italie du Nord au singulier. Jean Bodin : emploie république au sens classique, souveraineté et majesté Cardinal Richelieu parle de l'Etat → parle de raison d'Etat. St-Thomas d'Aquin parle du Prince au lieu de Etat. II- l'Etat au cœur des débats modernes Apparition mot intéressante du point de vue conceptuel. Un peuple vivant sur un territoire est doté d'un Etat. Structure close (sécularisation) → montée en puissance des Etats avec émancipation à l'égard du pouvoir pontifical + effondrement