Débauche

caractère amoral, l'impiété et la débauche de D.J. Caractère déjà suggéré par les interrogations de Gusman 1) Sganarelle présente son maître comme un libertin et un débauché . 2) les propos du personnage révèlent sa personnalité et son rôle dans la pièce. (Sg ; en dépeignant son maître se dépeint lui-même). 1. un portrait très négatif : un athée, un impie : un monstre (métaphores animales) : un épicurien (religion du plaisir) procédés marquant l'ampleur de cette débauche : (accumulations, parallélisme

reprise mais pour lui donner une connotation péjorative : « adieu, mère stérile, qui n’as plus de lait pour tes enfants ». Lorenzo garde aussi l’image de la femme mais oppose à la mère de Tebaldeo, la « catin » car Florence est devenue une ville de débauchés. D'après moi Florence a un rôle symbolique de mère (vision de Tebaldeo) Une mère bafouée et traitée de catin par Lorenzaccio Et sa place serait l'endroit du drame je ne sais pas si on peut dire centrale même si en fait les protagonistes se battent

personnage («la morne impassibilité du suicide » l.3, «sa physionomie exprimait une résignation » l.5, « une douleur inouïe » l.15, « une blessure profonde » l.15). Enfin, le narrateur pose une question pour interpeller le lecteur (« Etait-ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? » l.6 et l.7). Il se demande ce qui a provoqué la dégradation du protagoniste. Nous allons voir maintenant comment Balzac rend ce portrait

vite ses études supérieures pour se consacrer à la littérature à partir de 1828-1829.Il publie en 1829, à 19 ans, Contes d'Espagne et d'Italie, son premier recueil poétique qui révèle son talent brillant. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, sa première comédie La Nuit Vénitienne est un échec foudroyant qui le fait renoncer à la scène. Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes. Il publie une comédie, À quoi rêvent les jeunes filles 

............................ . La débauche et l'ivresse .................................................................. .. .... . Chapitre III : La Peau de chagrin: l'impossibilité de ne plus désirer ou le désir qui conduit à la mort ......................................................................................... . La salle de jeu ......... ............................................................................... . Le pacte et la débauche ..................................

d’entendre brailler en plein vent le bavardage humain ; il faut que le monde sache un peu qui je suis et qui il est. Dieu merci, c’est peut-être demain que je tue Alexandre ; dans deux jours j’aurai fini. " II. Lorenzaccio, ou l’apparence de l’antihéros débauché. a. La dualité du personnage, comment est-il passé de Lorenzo à Lorenzaccio ? « Je ne voulais pas soulever les masses, ni conquérir la gloire bavarde d’un paralytique comme Cicéron. Je voulais arriver à l’homme, me prendre corps à corps avec la

salle avant le service du midi, ranger le buffet, puis redresser toute les tables. Pour ensuite commencé le service du midi qui lui s’effectue à l’assiette, je procède a la prise de commandes, une fois le service fini je débarrasse les tables et je débauche, il est environ 15h. J’ai une pose de 4h car je rembauche pour 19h, début du service les client arrive donc je prend leur numéros de cottage puis les installe pour prendre leur commande de boissons car le service s’effectue au buffet donc la même

pour les "grands homme de Plutarque" Marie /I, 6). Meilleur esthète aussi comme le souligne le Duc. * ironie de L avec T : amertume d'avoir renoncé à sa vie vertueuse. II, 2 : "est-ce un paysage ou un portrait" Le baiser : il veut le débaucher pr ne pas être confronté à son double idéal. II) Fonction symbolique : 1) T : artiste Renaissance / Romantisme * incarne artiste de la Renaissance : _ modèles qu'il évoque (Raphaël, Michel-Ange) + lien art/relig° II, 2

pathétique, ou grotesque. Il se considère comme étranger, répugnant, repoussant. Nous avons une critique de la société de consommation, de l'individualisme, de tout ce qui est déshumanisé. « Une rumeur de cirque et de demi-débauche » v7. Il y a du bruit, des couleurs criardes, et de débauche (abondance excessive). C'est « le trop de tout », c'est une forte critique. Le poète ne trouve pas son équilibre dans ce monde. Le dernier vers est assez mystérieux « Pour la dernière fois j'étais un peu en marge »

études, vite abandonnées, de médecine, de droit et de peinture jusqu'en 1829, mais il s'intéresse surtout à la littérature. A 20 ans, sa notoriété littéraire naissante s'accompagne déjà d'une réputation sulfureuse alimentée par son côté dandy et ses débauches répétées dans la société des demi-mondaines parisiennes. A 23ansd , il part pour l'Italie, en compagnie de George Sand, dont il a fait la connaissance lors d'un dîner le 19 juin. (elle tombe malade dysenterie). Il entretient une correspondance