Déception

il est plus facile pour le lecteur de s’identifier a lui, il se sent plus proche et peut se reconnaître en lui. On peut donc parler de Ferdinand dans Voyage au bout de la nuit, de Céline, le personnage a tout d’un antihéros, il avance de déceptions en déceptions. Son défaitisme peut amener le lecteur a devenir plus lucide prendre du recul sur les évènements de la vie. Les valeurs d'une société et les représentations culturelles qui découlent des personnages déterminent en partie les aspects

tant rechercher sur Terre. Ce sentiment de déception est décrit à l'époque comme le « Mal du siècle » et sera du à une société en pleine transformation. Étapes difficiles pour la société d'après 1789, jusqu'à l'arrivée de Napoléon, qui va faire naître l'espoir d'une démocratie. Cependant la Restauration va démolir cet espoir pour une restitution de l'ancien régime. Ce dernier évènement laissera un goût amer et ainsi, provoquera de nombreuses déceptions dont certaines personnes ( jeunes, romantiques

conseillant le gouvernement sur le smic, critiqué par les syndicats, sera "revu" pour permettre "un dialogue plus approfondi et plus direct avec les partenaires sociaux". Lire : Smic : pas de nouveau 'coup de pouce' ni d'indexation sur la croissance DÉCEPTION "Je ne comprends même pas qu'un gouvernement, quel qu'il soit, puisse annoncer et défendre une si faible augmentation, a affirmé Bernard Thibault, le leader de la CGT sur Europe 1. Cette augmentation, c'est de 2,5 centimes de plus par heure. Il

contingence, à l’absurde. En effet, la médiocrité révèle chez Céline l’absurdité de l’existence. Dans Voyage au bout de la nuit, Ferdinand Bardamu que rien ne prépare à devenir un héros, est précipité dans les bassesses humaines, et avance de déception en déception du fait du destin qu’il est amené à vivre. Sachant que son roman est en partie autobiographique, son ouvrage n’en est que plus pessimiste sur la nature humaine et sur notre monde. Son défaitisme peut alors nous amener à devenir plus lucide

l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve, mais de quoi? De vin, de poésie, de vertu, à votre guise mais enivrez-vous!I) Ivresse, exaltationII) Déception, désillusion, tristesse I) L'ivresse L'énonciationSituation d'énonciation, l'auteur intervient-il?1ère pers singulier : implication de l'auteurqui est ce "je"?"je" est le bateau, l'auteur, et Rimbaud"je" est souvent sujet de verbes d'action (v1:"descendais"

réserve hostile ». Le discours indirecte-libre joue un rôle important pour faire entendre les pensées du personnage, dans le passage commençant par la phrase : «  non, ce n’était pas la belle-fille rêvée ». La tournure n’négative met en évidence la déception de la mère Duroy, renforcée par les termes très dépréciatif de la description à travers son regard en particulier la proposition : « elle avait l’air d’une traînée ». Le jugement des parisiens est lui aussi contrasté. La relative « qui riait, indique

« Les yeux stériles » « La plage » : temps symbole de l’amitié/l’amour - Jeunesse + enfance : « Mains et fruits », « Le temps qu’il faisait le 14 mars » - Enfance + premiers amours : « Le mannequin », « C’est elle » B) Lié à la souffrance - Déception, déception avc femmes, solitude : « L’attente » (solitude), « Fil et aiguille », « Solitaire » (passé décevant), - Fuite du temps : dessin dans « L’attente » : mains vieilles + toile d’araignée (« toiles d’araignée » ds poème « Le château d’IF » : ici

autre femme) au cœur même du couple. Cette dynamique particulière explique des émotions communes telles : la jalousie, la frustration et le sentiment d'être rejeté. Sentiments provenant de la déception de ne pas être l’unique attraction dans un couple d’amoureux ou encore, cette fois chez l’enfant, la déception de ne pas prendre la place du parent absent et ainsi récolter toute l’affection et l’attention du parent. Aussi, parfois, toujours chez l’enfant; le sentiment de trahir son autre parent en ayant

de la mort de sa mère que lorsqu'il tue un homme. Il n'éprouve aucun regret même lors de son procès qui le mènera à la guillotine. Dans Voyage au bout de la nuit de Céline, on retrouve avec Bardamu un personnage désabusé et lâche qui va de déception en déception. Ainsi dans la littérature du XIX° et le début du XX° les auteurs naturalistes mettent en scène des actions quotidiennes loin du romantisme. Leur inspiration prend sa source des êtres qui les entourent et sont les miroirs de la société dans

des désirs est-il la marque de la misère humaine ? La réponse qui nous vient instinctivement est de dire que désir serait un exemple de cette misère. En effet, les désirs naissent dans le corps, qui est imparfait, frêle. Il sont donc source de déception, frustration. Néanmoins, une seconde réflexion permettrait de nuancer en se demandant ce que serait une vie sans désir. Ils créent chez beaucoup une grande motivation, un but à atteindre. On se confronte ainsi à la question suivante : Que nous