Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

INTRODUCTION La question des droits de l’homme semble remonter d’aussi loin que le temps. On la situe généralement dès la constitution des premières sociétés. Bien avant J.C., la question des droits et libertés avait longtemps été posée. Les philosophes Antiques l’entrevoient alors comme un droit naturel de l’homme (Aristote, Platon, stoïciens…). Mais ces droits restent ceux des bourgeois, des nobles et des philosophes, les esclaves étant considérés comme des sous Hommes, donc insusceptibles de

demander si, de nos jours, la femme est vraiment considérée comme égale à l’homme. Est-elle autonome ou tributaire de son père, de son mari ? Peut-elle faire des actes sans le consentement de son époux. Malgré ces évolutions et cette émancipation du statut de la femme, les inégalités entre hommes et femmes restent toujours présentes. La condition de la femme : Une évolution vers l’égalité ? Ainsi, dans un premier temps nous aborderons la place qu’occupe la femme dans la société, dans la politique

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livres de rente dont il jouissait déjà, sans compter ce qu’il attendait après la mort de son père. Elle allait être maîtresse de son cœur et de sa fortune, et, pour gage de ses bienfaits, il était prêt à lui donner un carrosse, un hôtel meublé, une femme de chambre, trois laquais et un cuisinier. LL4 Stendhal, Le Rouget et le Noir , Livre II, chapitre 45, 1830 510152025 Il passait la nuit seul dans sa chambre, auprès du corps de son ami, lorsqu'à sa

états généraux par Louis XVI le 1er mai 1789. Olympe de Gouges n’apparu publiquement qu’en 1791, quand elle rédigea sa Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne. La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 aout 1789 fut à l’ origine de sa déclaration. En effet elle exprime haut et fort son indignation et se battit pour faire avancer les droits de la femme, ce qui n’eu malheureusement pas lieu. Ses derniers jours Olympe de Gouges était âgé de 38 ans lorsque son procès a

du père.Dans notre pièce, idem, la famille reçoit à bras ouvert louis, surtout la mère, les frères les sœurs et lui reproche son absence.3. Sources antiques : antigone et phèdre :Antigone Sophocle13. Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne Olympe de Gouges« Hommes…femme » de la citoyenne »Ce passage est un discours : oratrice, Olympe de Gouges, dit « je » et s’adresse à un auditoire identifié dès le premier mot par l’adresse « homme »Notons l’usage du singulier à valeur collective, qui

des droits de la femme→ pas un texte seulement flatteur, mais argumenté - préambule qui justifie la nécessité de la DDFC = sert à donner les intentions d’un discours, justifie la nécessité juridique: convoque des lois etc - 17 articles: ressemble à une loi, élargit la DDHC aux femmes, convoquée comme argument d’autorité (cohérence): les femmes devraient être incluses alors qu’elles ne le sont pas, ils sont comme dans un écrin rhétorique - Postambul: incite les femmes à recommander leurs droits, les

vie politique à cause de plusieurs préjugés d’infériorité à leur égard. Même les Lumières ont surtout des avis négatifs sur la nature de la femme. Montesquieu ou Rousseau ne permettront jamais à la femme d’être autre chose que le complément de l’homme. Dans L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, l’article « FEMME » rédigée par un médecin démontre que la femme est futile et que son existence dépend entièrement de son mari. Pourtant Voltaire a un avis plus partagé sur cette question car il s’intéresse

peut-on dire que les droits de l’homme sont universels ? La question de l’homme et de ses droits vis-à-vis de lui-même, d’autrui ou de la société a toujours été un sujet de discussion, parfois de discordes, et même encore aujourd’hui. Chaque homme a besoin de savoir ce qu’il a le droit de faire ou de ne pas faire. Dès la civilisation antique, puis plus tard dans les pays arabes, en Angleterre et en France, les droits de l’homme ont existé. Mais la vision de ces droits diffère selon les cultures

par le droit communautaire sous la forme de la démocratie représentative,c’est-à-dire du droit des citoyens de participer à la gestion des affaires publiques par l’intermédiaire de leurs représentants élus.Pourtant ce système s’est trové d’être insuffisant pour réaliser tote lla principe de la dimocratie.C’est ce qui explique la recherche actuelle de nouvelle formes de légitimité par voie de la «gouvernance»,qui met l’accent sur la transparence,le contrôle et la participation des citoyens aux décisions