Déclaration universelle des droits de l'animal

de la cellule pour donner l’embryon. A ce stade, deux possibilités sont offertes aux chercheurs. Clonage embryonnaire Transplantation de cet embryon dans l’utérus d’une mère porteuse. Après gestation, naissance de la copie conforme de l’animal de départ. Utilisation de cellules souches A un stade très précoce de l’embryon, quelques cellules souches sont prélevées (dites cellules souches embryonnaires).   Mise en culture de ces cellules et développement. Ici pas question de

faut-il extraire l'animal de la sphère des biens ? Les Droits des animaux sont la rédaction juridique des notions de protection animale ou libération animale. Ils sont fondés sur l'idée que les besoins et intérêts des autres espèces animales — se nourrir, se déplacer, se reproduire, éviter la souffrance par exemple — sont les mêmes que ceux des êtres humains1. Les défenseurs des droits des animaux jugent que ces derniers ne devraient plus être considérés comme des objets que l'on peut posséder

société. Elle assure la cohésion de la vie sociale ainsi que le respect des lois ou d'autrui. L 'éducation fait naître en chacun le respect des droits ainsi que des coutumes liés à notre culture. La culture est la marque de l'humanité. L'homme nie le donné naturel ainsi que sa propre nature, il est à la fois un homme naturel et culturel contrairement à l'animal qui n'est qu'un être de nature. L'homme nie son milieu naturel par son travail, il le transforme et laisse sa trace dans son environnement.

Le concept de personnalité juridique est ancien car on en retrouve des traces en droit romain car c'est à cette époque que le législateur a commencé à se pencher sur la personnalité juridique. Ils se sont penchés sur le corpus qui permet de matérialiser un bien. C'est autour de cette notion de corpus que vont s'établir les règles juridiques. Le corpus a un tel intérêt qu'il n'était pas envisageable d'accorder des droits à une chose ou un animal, à partir du moment qu'il avait une matérialisation matérielle

La nature a-t-elle des droits ? Dans Le Nouvel Ordre Ecologique, le philosophe Luc Ferry soulevait le problème de savoir si « l’homme est le seul sujet de droit, ou au contraire ce qu’on nomme aujourd’hui la "biosphère" ou l’"écosphère", et qu’on nommait autrefois le cosmos. » En somme, il est donc légitime de s’interroger, dans une certaine mesure, si l’on peut accorder des droits à la nature. Et si oui, lesquels et pourquoi. Avant de débuter, entendons nous bien sur le sens du mot nature

transformation. C'est la civilisation, c'est-à-dire les oeuvres de l'esprit et les coutumes. Dans ces conditions, la tradition scientifique et, par suite, philosophique estime qu'il n'y a de culture qu'humaine. L'homme serait un être de culture et l'animal un être de nature. En fait, les derniers travaux sur la questions bousculent et relativisent ce découpage très schématique. Certains groupes d'animaux acquièrent des techniques ou des comportements et, d'une manière générale, on observe qu'une même

La Déclaration des droits de l’homme de 1948 a suscité d’autres déclarations des droits de l’homme dans des cultures proches : quatre déclarations islamiques, une déclaration africaine, et récemment une déclaration orthodoxe. Il est intéressant de se pencher sur l’image de l’homme véhiculée par ces textes qui, s’ils s’inscrivent toujours dans une culture monothéiste, expriment des anthropologies distinctes. Par ailleurs on voit apparaître ici à la fois la similitude des fondements de la morale, et

Droit Civil Bibliographie : • Georges Cornu « Les personnes » et  « la famille » chez Montchrestien de 2007 • Terré et Fenouillet chez Dalloz de 2005 • Teyssier « Les personnes » chez Lintec de 2010 (droit des personnes) • Benabant chez Montchrestien de 2010 (droit de la famille) • Carbonnier chez Thémis • Malaurie et Fuchiron « La famille » chez Defrénois de 2009 • Malaurie et Aynès • Hauser Ghaster, Traité de droit civil, « la famille »

matière de santé. Mais ces expérimentations sont-elles vraiment nécessaires pour faire avancer la sciences ? D'une part, l'animal est un être vivant qui, comme l'être humain, a droit à la vie. Nous ne pouvons en aucun cas le maltraiter car il s'agit purement et simplement de torture. L'article premier de la déclaration universelle des animaux le dit : "Tous les animaux ont des droits égaux à l'existance dans le cadre des équilibres biologiques." Malheureusement, tous les expérimentateurs n'ont pas connaissance

aujourd’hui au sein de « Eurogroup for animal welfare », un intergroupe du Parlement européen réunissant les associations de protection des animaux, tout en s’investissant comme président fondateur d’une association essayant de limiter l’utilisation de l’animal de laboratoire, « Paexa ». Impliqué dans de nombreux syndicats ou associations professionnels et scientifiques ainsi que dans l’enseignement et la formation, auteurs de nombreuses publications vétérinaires, Pierre Desnoyers a su néanmoins consacrer