Déclaration universelle des droits de l'animal

UNIVERSITE NANCY II Faculté de Droit, Sciences économiques et Gestion LE CLONAGE ET LE DROIT PENAL Mémoire présenté par : Jean-Baptiste THIERRY Sous la direction de : Monsieur Bruno PY, Maître de Conférences Pour l’obtention du DEA de Sciences criminelles Année 2000-2001 « La Faculté n’entend donner ni approbation ni improbation aux opinions émises dans le mémoire, celles-ci devant être considérées comme propres à leur auteur. » PRINCIPALES ABREVIATIONS

cause dans notre débat d'aujourd'hui, où il est manifestement question d'une croyance mystique essentiellement représentée par le déisme. Cette croyance mystique ne semble pas toucher l'ensemble des animaux, mais semble bien une caractéristique de l'animal humain. Or ce qui caractérise physiquement ce dernier animal, c'est le développement hypertrophique de son cerveau par rapport à celui des autres animaux. Teilhard de Chardin, éminent paléontologue, remarqua judicieuse-ment que toute spécialisation

anciennes égyptiennes et moyen-orientales, le respect accordé à un individu était uniquement en rapport avec son importance sociale ou religieuse d'où l'absence totale de respect pour les plus humbles et la pratique de l'esclavage assimilant l'homme à l'animal. Chez les Grecs, fondateurs de la démocratie, il n'était pas question de respect de la Dignité humaine et l'esclavage sévissait à Athènes au Vème siècle, tout comme chez les romains il n'était pas plus question de respect de la Dignité humaine

quelque coté vers lequel on se tourne, une objection surgit aussitôt : - la culture ? : ce sont les hommes qui l'écrivent, - la religion ? : elle a trop besoin des hommes pour survivre, - le droit : se sont les hommes qui légifèrent, - la société ? : pour qu'elle me dise avec qui coucher et qui j'ai le droit de tuer ? Emmanuel Levinas dit à ce propos : "l'impossibilité de tuer n'est pas réelle, elle est morale". - alors ne rien faire : le non-agir est encore un agir, et cet immobilisme les cautionne

exacte du dictionnaire Larousse une extrême véhémence, une grande agressivité, une grande brutalité dans les propos ou le comportement face à autrui généralement. Le terme «légitime» quant à lui désigne le caractère de ce qui est reconnu conforme aux droits, à l’équité, elle même définie par la raison et le bon sens. A premier abord on pourrait donc dire qu’une violence ne peut être légitime puisqu’elle est une entrave à l’Homme et au bon sens de l’existence. Pourtant certaines violences, connues de

sacrifiant son intérêt personnel au profit de l’ intérêt collectif. Rousseau développe cette idée dans le Contrat social (1762). Dans son Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes (1755), Rousseau distingue l’homme de l’animal par sa perfectibilité. L’homme est bon, c’est la société civile qui l’a corrompu ; il lui appartient donc de retrouver les lois naturelles. François-Marie Arouet dit Voltaire : né le 21 novembre 1694 à Paris, où il est mort le 30 mai 1778,

Indépendants dans le fait que contrairement à l'animal où ses comportements ne sont dus qu'à ses propres instincts, nous autres humains, sommes forcés d'apprendre à l'aide de notre conscience, faute d'instincts. J'entends par la conscience, sa beauté, l'essence même de l'humanité. La conscience humaine, qui correspond à notre puissance de choix, et qui fait notre rareté. Notre capacité d'inventer et d'être libres. Or, notre différence radicale entre l'animal, même le plus intelligent et cette particularité

d’habitation en tant que bailleur ; ― prêt à usage et autre convention de jouissance ou d’occupation précaire ; ― déclaration d’insaisissabilité des immeubles non profes-sionnels de l’entrepreneur individuel (art. 1526-1 du code de commerce) ; ― mainlevée d’une inscription d’hypothèque en contrepar-tie d’un paiement. I. ― Actes portant sur les immeubles : ― disposition des droits relatifs au logement de la personne protégée, par aliénation, résiliation ou conclusion d’un bail (art. 426, al. 3

donc des valeurs. Introduction à l’étude du sujet : (voir fiche) Le sujet - la conscience Qu’est ce que prendre conscience ? * « Tous les hommes naissent doué de conscience et de raison … », Art 1 de la Déclaration Universelle (1948). * Déclaration : professer un principe, une représentation véritable. La conscience qui est la faculté de choisir et la raison qui est la faculté de distinguer le vrai du faux, le juste de l’injuste, le bien du mal (juger, connaître, savoir)

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