Décret Crémieux

une vingtaine de membres vont rejoindre le TE. Le TE considère qu’il est la nation et va le prouver, le 17 juin 1789 = le TE se proclame assemblée nationale et il fait une déclaration dans laquelle il se pose comme étant souverain, il ordonne et décrète comme le roi qu’il autorise le roi provisoirement à lever les impôts. Le 17 juin est un tournant qui s’est avancée puisque le TE s’identifia à la nation s’est posé comme souverain. Le 20 juin 1789 = Le serment du jeux de Paume : les membres du

13 novembre, elle n’a pas lieu puisque, contre son avis, Foch et Clemenceau ont accepté l’armistice demandé par les Allemands31[->268]. Après l'armistice signée le 11 novembre[->269], Pétain est élevé à la dignité de maréchal de France[->270] par décret[->271] du 21[->272] novembre[->273] 1918[->274] (publié auJournal officiel[->275] le 22)33[->276]. Il reçoit à Metz son bâton de maréchal[->277], le 8[->278] décembre[->279] 1918[->280]. Il est l'un des très rares acteurs militaires de premier plan

toute agitation et au fond sous régimes napoléoniens réapparaissent toutes les méthodes créées sous ancien régime : multiplication des procès politiques, création d'un cabinet noir dont mission était de lire les courriers des particuliers. Existence décret du 3 mars 1810 dans lequel on créait prisons d'Etat : renouement avec les lettres de cachet de l'AR. Cette création est reprochée à NB dans l'acte officiel du Sénat qui « démettra » NB. 2 polices différentes qui se superposent : une dépend du ministère

pistolet, provoquant parfois la mort d'un des deux duellistes. De brillants officiers juifs, atteints par une série d'articles de presse de La Libre Parole[13], accusés de « trahir par naissance  », défient leurs rédacteurs. Ainsi en est-il du capitaine Cremieu-Foa, Juif alsacien et polytechnicien qui se bat sans résultat. Mais le capitaine Mayer, autre officier juif, est tué par le marquis de Morès, ami de Drumont, dans un autre duel ; décès qui déclenche une émotion considérable, très au-delà des milieux

pistolet, provoquant parfois la mort d'un des deux duellistes. De brillants officiers juifs, atteints par une série d'articles de presse de La Libre Parole[11], accusés de « trahir par naissance », défient leurs rédacteurs. Ainsi en est-il du capitaine Crémieu-Foa, juif alsacien et polytechnicien qui se bat sans résultat contre Drumont[Note 4],[12], puis contre M. de Lamase, auteur des articles. Mais le capitaine Mayer, autre officier juif, est tué par le marquis de Morès, ami de Drumont, dans un autre

avec hostilité. Il était composé en majorité de représentants de la bourgeoisie. La petite bourgeoisie républicaine était représentée par Ledru-Rollin et Flocon ; la bourgeoisie républicaine par les gens du National 1, l'opposition dynastique par Crémieux, Dupont de l'Eure, etc. La classe ouvrière ne possédait que deux représentants, Louis Blanc et Albert. Lamartine, enfin, dans le Gouvernement provisoire n'était là, au premier abord, pour aucun intérêt réel, pour aucune classe déterminée ; c'était

Il est également à noter que les écoles de l'Alliance Israélite Universelle, présentes au Maroc et en Tunisie seulement, parvinrent, sur ce plan, à peu près au même résultat que l'Ecole Républicaine, laïque et obligatoire, à laquelle, par le décret Crémieux, furent assujettis les jeunes Juifs algériens. Un coup d'oeil en diachronie viendrait enfin confirmer, à ce niveau aussi, les disparités régionales précédemment notées à un niveau plus général : dès les années 20, des Juives algériennes prirent

l'information disponible en France"72. 68 CRÉMIEUX BRILHAC Jean-Louis, La révolution documentaire aux Etats-Unis, Paris, Rapport de mission, 1975, 70 pages; Nouveaux regards sur la situation de l'information documentaire aux EtatsUnis et au Canada, Paris, Rapport de mission, 1979, 120 pages; La France et la nouvelle étape de la révolution informatique et informative en Amérique, Paris, La Documentation française, 1981, 97 pages. 69 CRÉMIEUX BRILHAC Jean-Louis, La France et la nouvelle étape

édition provoquée essentiellement par l’introduction des majorats, le Code civil des Français promulgué sous ce titre le 30 ventôse an XII (21 mars 1804) fut rebaptisé officiellement Code Napoléon. Il s’agissait, selon Bigot de Préameneu qui présenta ce décret, d’un « hommage rendu par la vérité à celui à qui ce grand ouvrage doit sa naissance, à celui qui, dans le plan général comme dans ses principales dispositions, y a imprimé les traits impérissables de son génie prévoyant et créateur1 ». L’empereur

par le NKVD en mars 1944, ce qui reste à ce jour la plus rapide déportation de l’histoire99. Les biens des peuples déportés furent cédés à des colons russes. Leurs républiques autonomes souvent supprimées et leurs villes débaptisées, et en 1949, un décret du Soviet Suprême déclara que les peuples « punis » resteraient exilés à perpétuité. Ces mesures ne furent abrogées que sous Khrouchtchev puis sous Gorbatchev. À la reprise des Pays baltes, de l’Ukraine, de la Moldavie et de la Pologne orientale