Déesse hindoue

Les sociétés primitives vénéraient la femme en temps que symbole de la fécondité et de la procréation. Presque toutes les religions prennent leur point de départ dans une déesse Mère; qu'elle se nomme Isthar, Astarté, Géa, Rhéa ou Cybèle, peu importe. Certaines civilisations, on peut le supposer, ont été un véritable règne des femmes. Nous aurons plus loin l'occasion de revenir sur ces deux points, mais nous pouvons dès à présent examiner brièvement l'importance de la femme dans les oeuvres d'art

rois. Les interventions divines sont souvent réduites à des rivalités familiales ou claniques. Les enfants de Dôn[modifier] Dôn, fille de Mathonwy est une mère matriarcale. Son compagnon est Beli Mawr (Beli le Grand). Ses enfants sont : Arianrhod, déesse de la fécondité, elle est la mère du dieu suprême Llew Llaw Gyffes. Après le viol de Goewin, elle est pressentie pour assumer son rôle de « porte-pieds » du roi, mais lors de l’épreuve de virginité, elle donne naissance à des jumeaux. Gwydion,

crise économique qui ravagea les Etats-Unis a cette époque. D’ailleurs, Man est même comparée à la « déesse » mère, de par ses pouvoirs de « guérisseuse » et sa capacité de garder son « sang froid ». Si la mère Joad s’écroule, « toute la famille s’écroulerait ». Enfin, le dernier texte tire de « Un Roi sans divertissement » de Giono traite de Mme. Tim, une grand-mère « abondante » qui, comme la déesse mère, a des « grappes » d’enfants et de petits enfants. Lorsque ses petits enfants étaient réunis

à mis le doigt dessus, ainsi, les sociétés européennes primitives matristiques, c'est à dire des sociétés fondées sur la collaboration solidaire, plus exactement le partage et la coparticipation, visant à surmonter le manque, organisé autour d'une déesse mère, et ce n'est qu'à partir de -5000 avant JC, que des tribus proto indo-européenne, auraient imposé aux indigènes un système patriarcales, basé sur une hiérarchie guerrière. Ainsi, Françoise Héritier, célèbre anthropologue développe la thèse que

a symbolique du chiffre 3 dans l’ésotérisme Un peu d´Histoire:  Au balbutiement de l´humanité, les Hommes vouent un culte a la nature (-50.000 BC). Avec le développement du langage, on va passer au culte "dualiste" Deesse mere/Taureau, refletant la dualité de l´Homme (vers -12.000).  La trinité comme l´écriture est certainement né à Sumer, La trinité Anu (An=Ciel), Enlil (l'air), Enki/Ea (terre) se substitue à "la mère des dieux" ( Tiamat, Bêlit-ili, Anat ) mais conserve le taureau ( Marduk

dont le poème met en scène le Sacre par les forces élémentaires de la Nature que sont "l'étoile", "l'infini", et "la mer". La deuxième personne du singulier utilisée par le poème ("tes oreilles", "tes reins", etc.) suggère l'invocation adressée à une déesse. Cette incarnation de la féminité a un nom dans la mythologie : Vénus. L'image de Vénus s'impose au lecteur, bien que Rimbaud ait apparemment préféré laisser le poème sans titre et jouer la carte de l'énigme. À cela plusieurs raisons : la vogue du

La légende de Cupidon et de Psyché. Psyché était la plus jeune fille d’un roi. Elle était si extraordinairement belle que les humains négligeaient le culte de la déesse Vénus pour adorer la mortelle Psyché. Vénus, vexée et jalouse, demanda à son fils Cupidon de décocher à la demoiselle une flèche qui allait lui faire aimer un homme très très très très laid. Mais ……… Mais … Lorsque Cupidon vit Psyché il tomba éperdument amoureux d’elle et la fit transporter par Zéphyr jusqu’à un palais

retranscrites. Il faut attendre le XIIe siècle et la rédaction de l'Edda par Snorri Sturluson pour avoir une retranscription plus large de la mythologie nordique. A l'origine c'est une croyance en une Grande Déesse Mère[4]. Religion panthéiste accordant une large place à la femme (plusieurs déesses importantes, comme l'était d'ailleurs la place des femmes dans les sociétés germano-scandinaves), à la Nature (les anciennes célébrations se déroulaient près d'arbres ou de sites sacrés, c'est une croyance

silence peut être à la fois la matière et l'outil divin pour la création. C'est le Verbe divin en quelque sorte. Sans doute par respect et par crainte de ce silence, la plupart des autorités religieuses ont fait apparaître dans leur théogonie des déesses et des dieux du silence, toujours associés à des principes profonds de vie. Chez les germains, VIDHAR (celui qui règne au loin) représentait le Dieu du silence et de la revanche. Second dieu après THOR, il était fils d'ODIN et de la géante GRID

placées côte à côte, des trois déesses les plus aimées à Jahilia. Ils s'inclinent devant elles : Uzza au visage radieux, déesse de la Beauté et de l'Amour; la sombre et obscure Manat, le visage détourné pour de mystérieuses raisons, laissant couler du sable entre ses doigts - elle est responsable du destin - elle est le Destin; et enfin la plus grande des trois, la déesse mère, que les Grecs appelaient Lato. Ici, on l'appelle liât ou, plus fréquemment, Al-Lat.La déesse. Même son nom fait d'elle l'opposée