Défense est-indienne

a condensé l'action, le temps (la controverse dure trois jours dans le livre) et le lieu (le monastère de Valladolid). La forme adoptée ici est celle du procès : le juge, représenté par le prélat du pape, pèse les arguments de l'avocat de la défense, Bartolomé de Las Casas (père dominicain officiant dans le Nouveau Monde), et du procureur, Ginès de Sépulvéda, traducteur d'Aristote et grand ami de Cortès. Les témoins sont d'une part un échantillon d'Indiens amenés d'Amérique (qui se voient devenir

VALLADOLID : CHAPITRE 7. LA SCÈNE THÉÂTRALE ENTRE LAS CASAS ET SÉPULVÉDA Le pape a envoyé un de ses cardinaux pour trancher le débat qui oppose Sépulvéda à Las Casas. Le dominicain soutient que les Indiens sont des Hommes comme les Européens. Sépulvéda au contraire affirme que les Indiens sont nés pour être esclaves. L'étude de ce passage en trois axes est pertinente. Nous étudierons en premier lieu les deux points de vue qui s'opposent, celui de Sépulvéda d'abord puis celui de Las Casas, pour

perception et d’analyse de la réalité est profondément remis en cause. Le temps, le rythme de vie et de travail sont différents. Il faut parfois savoir prendre son mal en patience, car le rapport au temps et à l’attente ne sont pas les mêmes pour un indien que pour un français « pressé ». Même si cela semble un stéréotype, cela se retrouve dans les expériences d’expatriés : à Delhi, il faut prendre son temps. Pierre des Indes, comme il se prénomme lui-même, nous raconte son expérience pour faire changer

votée en août 1942. Elle souligne l’inaptitude à gouverner l’Inde par l’Empire Britannique affaiblit par Seconde Guerre Mondiale (importantes pertes matérielles et humaines) et accuse celle-ci d’être responsable d’une Inde faible incapable de se défense. Par ailleurs, l’indépendance est favorisée par les Nations Unies qui ont pour but de « développer entre les Nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l'égalité des peuples et de leur droit à disposer d'eux mêmes... ». Cependant

choc culturel, en particulier à propos de la religion. En effet, les espagnols essayèrent à tout prix d’imposer la religion chrétienne à ces polythéistes, qu’ils considéraient comme « idolâtres » qu’il fallait convertir à « la sainte doctrine ». les indiens, habitués à la pratique de rites et sacrifices, se furent rapidement vu interdire ces pratiques considéré comme « honteuses ». pour ce faire, les nouveaux arrivants ont fait disparaitre toutes trace de la religion aztèques en bâtissant tous les habitants

et du fondement des valeurs morales, des valeurs suprêmes. Mais l'homme dont il s'agit n'est ni Indien ni Noir. Au Brésil plus qu'ailleurs, l'histoire des Amérindiens et des Noirs Africains est celle d'une longue agonie. Depuis l'arrivée des Européens, essentiellement des Portugais, la population indienne est passée de 5 - 7 millions d'individus à environ 230 000. De 1500 à 1900, 75 à 90% des Indiens ont été éliminés ; un tiers disparaît durant la première moitié du 20è siècle. C'est le manque apparent

En quoi le voile de la fiction peut-il se révéler efficace pour défendre les idées ? Le mot souligné indique qu’il s’agit d’examiner par quels moyens la fiction facilite cette défense. Esquisse de plan : Introduction : (les différentes étapes sont ici séparées. Veillez à reformuler la question sous forme d’interrogation indirecte comme ici) Pour exprimer leurs idées, bien des écrivains ont dû contourner l’obstacle de la censure. Le moyen le plus efficace est alors de les exposer indirectement

les persécutions ; tandis que le sud tropical accueille les planteurs esclavagistes. • Certaines mesures adoptées par le gouvernement anglais déplaisent aux colons : ils n'ont pas le droit de s'étendre sur les territoires de l'Ouest, réservés aux Indiens ; ils ne sont pas représentés au Parlement alors qu'ils paient des impôts ; ils s'opposent aux lourdes taxes imposées par Londres sur certains produits, ainsi qu'à l'instauration de monopoles (les Américains sont obligés d'acheter leur thé à la

embarque pour New York comme matelot. En ce temps-là, New York accueillait tous les « naufragés » de l’Europe. Là-bas, il apprend toutes sortes de langues, de métiers, retient tous les noms géographiques qu’il entend, mais c’est seulement chez les Indiens qu’il apprend l’existence d’un pays tout à l’ouest, la Californie. Il décide de traverser tout le continent pour se rendre à l’ouest avec quelques marchands. Arrivé à Vancouver, il embarque pour les îles Hawaï. Pendant ce long voyage, Suter a réfléchi

Travail soumis au professeur Mohammad-Ali Shirdel Projet de session portant sur: La loi sur les Indiens et les droits ancestraux Des peuples autochtones Fait par : Manouchka Otis # 6584332 Université d’Ottawa 2 décembre 2011 Table des matières Présentation du Projet 3 1- La Loi sur les Indiens 4 1.1 Avant La confédération 4-5 1.2 De 1867 à 1982 6-7 1.3 De 1982 jusqu’à nos jours 7-8 1.2 Dans les communautés