Déferlante

Les déferlantes de Claudie Gallay première publication: 2008 narrateur, point(s) de vue Le narrateur est un narrateur personnage, l'héroïne du roman. Dès le troisième paragraphe on apprend que dans ce livre elle s'adresse à quelqu'un sans savoir qui cela est et on peut dire que l'on a donc dès la première page une intrigue qui se forme. On apprend au fil du roman que cette narratrice de 40 ans a été brisé par la vie, elle a donc quitté Avignon pour venir se réfugier aux alentours

La vague déferlante de suicides de paysans indiens Au sud de l’Inde, dans l’Etat d’Andhra Padesh, près de 5000 hommes ont attenté à leurs propres vies depuis 1997. A lui tout seul, cet Etat comptabilise près des trois quarts des suicides d’agriculteurs indiens. Les causes de telles réactions ? Une insolvabilité ne permettant pas de rembourser les emprunts contractés pour acheter plus de produits fertilisants ; une incapacité à faire face à des taux d’intérêt faramineux fixés par des « sociétés

lors du printemps des peuples. On assiste à une description détaillée de la prise du palais des Tuileries par le peuple de Paris. Cependant, la notion de symbole se retrouve également dans ce roman et le réalisme, la foule est comparée à une vague déferlante et le fauteuil de Louis-Philippe est « balloté sur une mer orageuse ». Cette notion de symbole qui tend vers l’abstraction, que l’on retrouvait déjà dans le romantisme y est cette fois plus diluée. Le réalisme s’inspire donc de faits réels qu’il

… Le style Le style de Yasmina Khadra est fait de poésie, de métaphore, de simplicité. Quelques jolis extraits : p. 18 – « Lorsque l’horreur frappe, c’est toujours le cœur qu’elle vise en premier. » p. 39 – Amine subit comme une vague déferlante l’effet de l’annonce de la terrible nouvelle : « La femme qui s’est fait exploser… la kamikaze… c’est votre femme… » p. 142 – La description de la ville de Jérusalem. p. 239 – « …je m’affaisse telle une tenture que l’on décroche. » ou encore

quantité d’énergie dégagée par le séisme. Q : Est ce que vous pouvez nous donner une idée sur le mode de formation des Tsunamis et leur vitesse de déplacement ? R : Je voudrais d’abord préciser que le terme de Tsunami, désigne une grande vague déferlante dans un port . Il vient des deux mots japonais tsu et nami, qui signifie respectivement port et vague. Plusieurs événements peuvent produire des Tsunamis : les éruptions volcaniques ou les glissements et avalanches sous marins, la chute de météorites

de navigation devenaient défavorables. D’après les propos recueillis auprès du seul rescapé, le patron Javel, la mer aurait été agitée et le vent aurait soufflé très fort, de force 8. Le bateau aurait été soudainement projeté par une violente déferlante à l’ouest, pour finir se briser sur les brise-lames de la jetée. Très choqué, il a pu nous dire quelques mots : « Nous n’avons pas vu venir cette vague, nous n’avons rien pu faire. Moi, j’ai réussi à m’accroché à une barre, j’ai appelé mes co-équipiers

construite l'oeuvre, les différents plans, les formes, les couleurs.... Point de vue exceptionnel : en pleine mer. Quatre plans successifs: au premier plan : amorce d'une vague en bas à droite au 2ème : une 2ème vague écumante au 3ème une vague déferlante au 4 ème le mont Fugi, écho de la vague du 1er plan : la plus haute montagne de Japon, lieu de pélerinage, élément important pour les japonais. L'ensemble de la composition est constituée d'une tissage de courbes La spirale de la grande vague

propagation d’une perturbation dans un milieu sans transport de matière. c)Le déferlement : La cambrure d'une vague c'est le rapport de sa hauteur sur sa longueur d'onde. Lorsque ce rapport atteint voire dépasse les 1/7, alors la vague est dite « déferlante ».Le déferlement d’une vague est donc en relation avec la cambrure (correspond à H/L). Une vague déferle lorsque la cambrure est supérieure à 14%, ce qui peut expliquer le fait que certaines vagues déferlent en pleine mer. On distinguera plusieurs

mouvement rapide d'un grand volume d'eau (océan, mer ou grand lac1) dont l'origine est le plus souvent l'effet d'un tremblement de terre ou d'une éruption volcanique. Il est associé à la naissance et au déploiement d'une immense vague qui devient déferlante et destructrice au contact des rivages terrestres. Bien que les tsunamis puissent atteindre une vitesse de 800 km/h quand le fond de l'océan est profond, ils sont imperceptibles au large, car leur amplitude y dépasse rarement le mètre pour une période

souligner la détresse de leur situation. Cette idée se trouve accentué par le contraste qu’il opère entre cette vulnérabilité exacerbée et la démesure des menaces qui pèsent sur le radeau. La mer agitée s’ouvre sur la gauche du tableau, une vague déferlante s’apprête à engloutir l’embarcation précaire sans que les personnages ne semblent y prendre garde. Ce péril frappe d’autant plus le spectateur que la vague est déjà en train de s’abattre sur le radeau. Il n’est donc permis d’héberger aucun espoir