Définition par récurrence

Explications monétaires et financières des cycles • Repères bibliographiques • Délimitation du cadre d'analyse et définitions • Les principales théories • Les enjeux théoriques • Testez vos connaissances Repères bibliographiques • BOSSERELLE E. (1999) Les nouvelles approches de la croissance et du cycle, Collections Topos, Dunod : pour une vision globale et rapide de l'ensemble des explications monétaires et réelles des cycles courts : explications traditionnelles (ch. 2 p-38-64) puis

Naïmatoulaye Makagnon Delika Koné Leïla Diaby Nifa Atta Kouakou Soro Ali Le Merveilleux dans Soundjata ou l’épopée Manding 1) Présentation de l’œuvre a- D’où provient l’histoire de Soundjata b- L’auteur c- L’œuvre 2) Définition du merveilleux 3) Le merveilleux dans Soundjata ou l’épopée Manding 1)Présentation de l’œuvre a- D’où provient l’histoire de l’épopée L’histoire de Soundjata fils de Naré Maghann Konaté et de Sogolon Kondé est tirée d’une épopée malienne

du texte s'opère un tournant qui débouche sur une critique plus ambitieuse et bien plus polémique : cette façon de parler est l'expression d'un manque d'esprit (« une chose vous manque ») i.e, c'est le signe d'une certaine imbécillité (on note la récurrence de « esprit » qui le place en position centrale dans le discours). On aboutit donc à la conclusion suivante : Pour La Bruyère, simplicité du langage avoir de l'esprit, un lien indissociable les lie. Conséquence : la façon de communiquer est

5 points a. z0 = 0, z1 = λ×0+i = i, z2 = λi+i = (λ+1)i, z3 = λ[(λ+1)i]+i = λ2 i+λi+i = λ2 + λ + 1 i. b. Par récurrence : • Initialisation z0 = 0 = λ0 − 1 i. λ−1 • Hérédité : supposons que zn = λn − 1 · i. λ−1 λn − 1 λn+1 − λ + λ − 1 λn+1 − 1 On sait que zn+1 = λzn +i = λ ·i+i = ·i = ·i. λ−1 λ−1 λ−1 La formule est vraie au rang (n + 1). λn − 1 · i. On a démontré par récurrence que zn = λ−1 2. λ = i a. D’après 1. a., on a z3 = (−1 + i + 1)i = −1. Donc z4 = i × (−1) + i = 0. Ou plus rapide

Durée : 4 heures Corrigé du baccalauréat S Nouvelle–Calédonie novembre 2005 E XERCICE 1 Candidats ayant choisi l’enseignement de spécialité 5 points Partie I C× J× F × × D O E × H × B × × I × A 1. 2. Par définition zH = zE = zE + 3 + i zE + zB 3 2 ⇐⇒ 1 + i = ⇐⇒ 2 + 2i = zE + + i ⇐⇒ 2 2 2 1 + i. 2 − → Équation de la perpendiculaire à (AE) contenant C : le vecteur AE a pour co3 3 ordonnées − ; 1 ; l’équation est donc de la forme − x + y + c = 0 et cette 2

AXA Séminaire sous le thème : Conduite de l’Audit Opérationnel Animé Par Mohamed LOTFI 1 30/11/10 Le Contrôle Interne 1 Définition du contrôle interne * Définition * Objectifs du contrôle interne 2- les Cinq composantes du contrôle interne * Environnement du contrôle * Evaluation des risques * Activités de Contrôle * Information et communication * Pilotage 2 30/11/10 Introduction   Toute organisation repose sur l ’existence de procédures et de dispositifs qui visent à orienter

problématique de l’auteur Raoul Girardet constate que le monde politique contemporain est agité par une « extraordinaire effervescence mythologique ». Cependant le mythe politique n’a jamais été étudié en tant que tel. L’auteur tente alors d’élaborer une définition du mythe, de préciser son concept, d’affiner son acception. Cet onirisme se révèle être une valeur explicative du présent, c’est un intermédiaire entre la vérité historique et les phantasmes de sociétés en état de déréliction. A cet égard le mythe

droit des religions a constitué l’envers d’une interprétation singulière de la laïcité, parfois agressive à l’égard du fait et des sentiments religieux. CHAPITRE 1 : Les cadres sémantiques du droit de la laïcité. INTRODUCTION — Donner une définition juridique de la laïcité et de la religion est un exercice complexe en droit français dû : 1. Défaut d’homogénéité des textes : les textes n’ont pas tous la même orientation. 2. Manque de rigueur du législateur : par crainte ou par facilité le

Suites géométriques I) Définition Soit est un nombre entier naturel. Soit une suite. On dit qu’elle est géométrique si, partant du , pour passer d’un terme au suivant, on TERME INITIAL MULTIPLIE toujours par le même nombre appelé RAISON Exemple: Une voiture, achetée neuve coûtait 20 000 € (en 2008), perd chaque année 20% de sa valeur. • Au bout d’un an : la voiture coûtait 20% moins cher : 20 000 (1 ) = 20 000 0,8 = 16 000. En 2009 la voiture coûtera 16 000 €. )= • Au bout de deux ans la

s’intéresse dans un premier temps aux propriétés de la somme d’une série entière (domaine de convergence, continuité,…), on verra ensuite comment exprimer des fonctions usuelles comme somme des séries entières. I. Définition et domaine de convergence d’une série entière : 1. Définition : On appelle série entière réelle (resp. complexe) toute série de fonctions avec réel (resp. avec complexe) et une suite numérique réelle ou complexe. Exemples :