Déflateur du PIB

évaluer l’impact du resserrement des conditions du crédit sur l’activité, nous utilisons un modèle VAR comprenant les variables suivantes : le logarithme du PIB de la zone euro, le logarithme des prix (tels que mesurés par le déflateur du PIB), le taux d’intérêt des nouveaux prêts et le logarithme des prêts accordés aux SNF. Le logarithme du PIB américain a été ajouté à titre de variable exogène. Pour tenir compte des facteurs de l’offre et de la demande ayant un impact sur les prêts, nous avons

3. Circuit de la production. PIB (production intérieure)  Marché des B&S  consommation Importation  Marché des B&S  Investissement , dépense gouvernementale (demande intérieure) exportation (demande étrangère) En souligné = l’offre globale En italique = la demande globale a. Équilibre entre l’offre et la demande Offre globale = Demande globale  PIB + importations = consommation + investissement + dépense de l’état + exportations  PIB = consommation + investissement + dépenses

souligner le dynamisme des secteurs primaire et secondaire dont les contributions à la croissance progressent sensiblement depuis 2012. Graphique 3 : Contribution des secteurs d’activité à la croissance du PIB réel (en points de croissance) Secteur primaire Secteur secondaire secteur tertiaire PIB 7,0 5,9 5,6 5,0 4,6 3,0 2,8 2,6 1,3 1,2 1,0 1,0 0,8 0,6 2,6 1,6 -1,0 2012 …Consolidation 2013 2014 de la croissance dans le secteur primaire L’évolution des activités dans le secteur primaire

Économie Immobilière Glossaire [pic] Économie Immobilière Glossaire 1 A Équilibre budgétaire et dette publique 2 A.1 Déficit public / PIB 2 A.1.1 Le budget de l'État 2 Le déficit budgétaire 2 Le déficit public 2 Le déficit primaire 3 A.2 Dette publique / PIB 3 A.2.1 Dette Souveraine 3 Dette domestique 3 Créances sociales (salaire des fonctionnaires, par exemple) 3 Créances commerciales (fournisseurs de l'état, par exemple) 3

soutenue et de libéralisation financière qui a remis en cause les règles du jeu du système bancaire et financier. Le rebond économique date de 1984 mais la croissance s’accélère à la fin de la 7 décennie 1980, avec des taux de croissance du PIB de respectivement 6,8%, 5,3% et 5,2% en 1988, 1989 et 1990. La politique monétaire est tiraillée entre l’objectif de change (lors des accords du Plaza en 1985, le Japon a dû consentir une appréciation du yen de 260 à 150 pour un dollar) et contrer la

libéralisation du taux de change a entrainé une hausse de l’inflation à 33% en juillet 2017 et qui a néanmoins entamé sa décrue dès 2018 pour atteindre 3,1% en octobre 2019. Cette situation a permis de ramener le déficit courant à 2,4% du PIB en 2017/18 et 3,1% du PIB en 2019/20.2 L’inflation est un phénomène majeur du 20èm siècle, elle apparaît même comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. C’est véritablement à l’occasion de la Première Guerre mondiale que l’inflation s’installe

[masquer] 1 Étymologie 2 Définitions 2.1 L'Inflation 2.2 Termes connexes 3 Mesure de l'inflation 3.1 Mesure de la variation des prix à la consommation 3.2 Mesure d'une variation plus large des prix 3.3 Impact de l'inflation sur la mesure du PIB 4 Causes de l'inflation 4.1 Inflation induite par excès de masse monétaire 4.2 Inflation induite par la demande 4.3 L’inflation importée 4.4 Inflation induite par les coûts 4.5 Inflation induite par des éléments structurels 4.6 Rôle des facteurs

du PIB que l’on appelle aussi le déflateur du PIB serait préférable, puisque le PIB représente la valeur des biens et services issus de la production des unités résidentes et disponibles pour des emplois finals (consommation, investissement). Mais au Sénégal cet indice est annuel, disponible avec un an de retard et susceptible de révisions éventuellement importantes. L’indice des prix à la consommation a l’avantage d’être mensuel. De plus, la consommation des ménages représentant 92,3% du PIB aux

le monde Paragraphe 1 : Une récession prononcée aux États-Unis, dans l’UE et au Japon Aux États-Unis, où les conséquences de l’explosion de la bulle immobilière plombent la conjoncture depuis deux bonnes années, le produit intérieur brut (PIB) a enregistré au 4e trimestre 2008 son plus fort recul (–3,8%) depuis le 1er trimestre 1982. Comme on le craignait, la consommation privée a été gagnée par le mouvement baissier, elle qui constituait encore un puissant moteur de croissance ces dernières

appellera ici, l’ on effet «Schumpeter». Un affinement du modèle prendra en compte la conjoncture de l’ économie concernée (expansion ou recul de l’ activité économique) dans l’ analyse. Les données du live data base de la Banque mondiale sur le PIB et le déflateur du PIB, ont servi pour le calcul des variables indépendantes, taux de croissance et accélération de l’ économie. La période d’ analyse va de 1976 à 1996 et les données bancaires utilisées proviennent des Notes d’ Information et Statistiques de