Demanda

haubert était abimé. Désormais, le chevalier était blessé mais il trouva la force de continuer sa quête. Peu de temps après, il rencontra un marchand avec des immenses chevaux. Tristan le salua et lui demanda ce qu’il vendait. « Bonjour, marchand, je me nomme Tristan de Sauvigny, que vendez-vous ? Demanda Tristan. _ Je possède des armes de toutes sortes dont la lame vient de Constantinople, affirma le marchand. _Pourriez-vous me les monter ? Questionna-il. _Ces armes ne sont pas à vendre elles sont

dedans pour s'assurer de ne plus revenir. Un soir, alors qu'il se trouvait sur son balcon, la veilleuse s'alluma, le comte ressentant un rappel douloureux du malheur, éteignit la lueur et appela un serviteur. L'un d'eux se présenta, le comte lui demanda de congédier tous les autres. Celui qui restera fera semblant de rien, comme si rien ne s'était passé. Ils vivent ainsi pendant une année entière, le comte pensant toujours que sa femme est vivante. Un soir, alors que le comte finissait de lire une

Les paroles rapportées Style direct, indirect, indirect libre Les subordonnées du style indirect   Observons   La transposition des paroles ou des pensées rapportées implique diverses modifications. - elle se demanda : «viendra-t-il demain ? » (STYLE DIRECT) - elle se demanda s’’il viendrait le lendemain. (STYLE INDIRECT) - elle interrompit ses pensées et continua à marcher. Viendrait-il le lendemain ? (STYLE INDIRECT LIBRE) STYLE DIRECT  Les paroles d'un personnage sont fidèlement rapportées :

cheveux noirs coupés courts, des yeux marron, une peau pâle. Il portait une veste en cuir noire, un T-shirt blanc et un jean noir. Il avança entre les bureaux, un certain Marc lui adressa la parole : « -Alors Vince, ça va depuis que Daniel est mort ? Demanda-t-il. -Je t’ai déjà dit que je ne voulais pas en parler. Répondit Vince. -Et pourquoi ça ? S’enquit Marc. -Ça ne vous regarde pas. Dit-il d’un calme imperturbable. - Ca ne te coûte rien de le dire … Allez et puis, au pire, ce n’est pas de ta faute

Caitlin regarda longuement la jeune brune, qui en faisait tout autant : - Salut chaton, dit Jennifer à Cat toujours si sérieuse. - Salut Einstein... Qu'est-ce que tu fais ici ? - Implorer ton côté aimait, ce qui est une lourde tache. - Comment ça ? Demanda la garçonne. - Maman était ma seule responsable légale. - Oh nan... - Et c'est toi qui doit décider de mon avenir maintenant. Caitlin leva les yeux aux ciel puis prit un air plus décontracté. Elle revint sur Jennifer, qui attendait sagement sur

offre un diner à lui et ses amis. Coconnas, lui, demanda à La Hurière qu’il rembourse les 50 écus à La Mole à sa place mais ce dernier les laissa à La Hurière en échange d’une simple omelette. Chapitre 19: Le logis de Maître René, le parfumeur de la Reins mère On parle d’une maison mystérieuse qui se situe sur le pont Saint-Michel, c’est la boutique de René le parfumeur florentin. Coconnas et La Mole se rendirent chez lui. Coconnas lui demanda s’il guérirait et si il était réellement amoureux

quand ils cherchaient la maison de leur oncle, les trois jeune personne s’arrêtèrent devant un magasin qui se nommait « Au Bonheur des Dames. » Denise était absorbé par ce magasin. Ils oublièrent un instant L’oncle Baudu. Jean commença a s’ennuyer et demanda la rue Michodière, quand ils allèrent dans cette rue la vitrine continuait et les mannequins des vitrines attirèrent les yeux des trois personnes et restèrent de nouveau immobile. Un instant plus tard Denise se r’appelle de son oncle et se tourne

descendit de sa voiture et s’approcha de la maison de ses parents. Anxieux, il frappa à la porte les parents de jean vinrent lui ouvrirent. « Ouais, c’est pour quoi ? Dit le père de façon bourru -bonjour monsieur vous ne me reconnaissez pas ? demanda jean, stupéfait de la façon dont était habillé ses parents. - non qui êtes-vous. Dit le père agacé - Mais ! C’est notre fils jean nous l’avons vendu à une riche bourgeoise à la naissance souvient toi quand nous ne pouvions plus manger convenablement

fils d’Io, ne le croyait pas. Phaéton demanda alors à sa mère de lui dire si ce qu’elle lui disait depuis longtemps était vrai. Elle lui répondit :                                                                                                                                       »Si je mens, qu’il cesse de m’éclairer ! …. Mais va donc le trouver, Phébus, ton père. »                      Phaéton, heureux, alla voir le soleil. Celui-ci, en le voyant, lui demanda :                                  

‘Ou est-ce que nous allons? Demanda-t-il à Peters. – Nous sommes arrivés en République démocratique allemande. Ils ont organisé l'hébergement pour vous. – Je pensais que nous allions plus à l'Est. – Oui, mais nous allons passer un ou deux jours ici d’abord. On pensait que les Allemands devaient avoir une conversation avec vous. – Je vois. – Finalement, vous avez eu la plupart de votre travail du côté allemand. Je leur ai envoyé les détails de votre déposition. – Et ils voudraient me voir?