Démantèlement nucléaire

deux noyaux plus légers. Cette réaction, qui porte le nom de fission nucléaire, se traduit par un dégagement d’énergie très important (de l’ordre de 200 MeV par événement, à comparer aux énergies des réactions chimiques, de l’ordre de l’eV). Cette fission s’accompagne de l’émission de plusieurs neutrons qui, dans certaines conditions, percutent d’autres noyaux et provoquent ainsi une réaction en chaîne. Dans un réacteur nucléaire, cette réaction en chaîne se déroule à vitesse lente et contrôlée.

disposée dans une tour. Celle-ci est rasée par l’explosion tandis que le sable alentour est vitrifié et qu’un champignon de 300 mètres de diamètre s’élève. Ce test marque l’aboutissement du projet Manhattan qui a permis de construire trois bombes nucléaires. Berlyn Brixner filme les premiers résultats « une monté incandescente c’était une immense boule de feux, entouré d’un brouillard bleu dû à la forte radioactivité » raconte-il. Après la première explosion du 16 juillet 1945, les américains

De puissants champs magnétiques maintiennent le plasma à distance des parois. Ces champs sont générés par des bobines supraconductrices installées autour de la chambre et par un courant électrique qui circule dans le plasma. Fusion nucléaire La fusion nucléaire permet à partir de deux atomes très légers (par exemple le deutérium et le tritium) de créer des atomes plus lourds. Cette transformation produit un défaut de masse qui se manifeste sous forme d'énergie (E=mc2 où E est l'énergie produite

reposent sur l’équilibre de la Terreur : toute attaque nucléaire décisive en première frappe est impossible et entraînerait une riposte en seconde frappe par trop meurtrière et destructrice ; la dissuasion condamne donc, sinon à l’entente, du moins à la détente. Tout affrontement direct serait donc suicidaire et il convient alors de l’éviter tout en maintenant un équilibre entre les deux blocs. Face à la course aux armements et à la catastrophe nucléaire évitée de peu lors de la crise de Cuba en 1962, la

SYNTHÈSE DU RAPPORT AVENIR DE LA FILIERE FRANÇAISE DU NUCLEAIRE CIVIL 16 juin 2010 Par François Roussely Vice-Président Europe de Credit Suisse Président d’Honneur du Groupe EDF LETTRE DE MISSION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE Page 2 sur 23 Page 3 sur 23 Page 4 sur 23 INTRODUCTION Les acteurs de la filière nucléaire française (EDF, AREVA, ASLTOM au premier chef) sont des leaders industriels incontestés en France où ils ont acquis leur expérience initiale : ils

Le recours au nucléaire comme source d’énergie est contesté par les spécialistes et scientifiques, autant que plusieurs le vantent et affirment que nous ne pouvons nous en passer. Le séisme au Japon et les répercussions que cela a entrainé ne peut être ignoré, particulièrement sur la question des risques liés au nucléaire. J’avance la thèse que, vue nos technologies actuelles encore trop embryonnaires sur le point de vue énergétique, l’énergie nucléaire est trop économique et efficace, bien qu'extrêmement

Internationale ESSAI FINAL La prolifération nucléaire peut-elle être contenue ? ""La prolifération nucléaire est une menace pour l’ensemble du monde." C'est en ces mots que François Hollande a défini le concept de prolifération nucléaire lors de la présentation des voeux au corps diplomatique. De façon plus théorique, on considère la prolifération nucléaire comme "la diffusion et propagation de la possession d'armes nucléaires à travers le monde". Engagés dans la Guerre Froide

effets peuvent être : Déterministes : ils apparaissent systématiquement à partir d’une certaine dose, variable selon l’organe ou le tissu touché ; ils sont d’autant plus sévères que la dose est élevée. Ce type d’effet s’observe lors des accidents nucléaires, comme par exemple aux abords de la centrale de Tchernobyl. Le délai d’apparition de ces effets après l’exposition varie de quelques heures à quelques mois.  Aléatoires (ou stochastiques) : ils sont plutôt liés à la transformation des cellules

électrique Nucléaire Hydraulique Thermique classique et énergies renouvelables autres que l’hydraulique Toutes sources de production Rhône-Alpes en 2004 (GWh) 93 481 25 184 2 784 121 449 Part en France 21,9 % 39,1 % 5,0 % 22,2 % Source : RTE 250 barrages produisent 39 % de l'énergie d'origine hydraulique en France. Les aménagements du Rhône représentent 45 % de cette production, et la Compagnie Nationale du Rhône est le 2ème producteur français d'électricité. Les 14 tranches nucléaires réparties

L’énergie nucléaire. Les centrales nucléaires La généralisation de la sous-traitance et la sécurité I- Introduction II- L’Atome, l’Uranium, L’Energie nucléaire III- Le Japon 3ième puissance économique mondiale IV- Centrale Nucléaire, Fukushima la sécurité en question (les gitans du nucléaire) V- La France, le parent pauvre du nucléaire VI-la sous-traitance (les nomades du nucléaire) VII-