Déminage humanitaire

territoire soviétique et cet avion a été pris en chasse et abattu. Cet avion a violé l’espace soviétique et de plus cette zone était interdite pour des raisons de sécurité. L’URSS aurait du exercer le droit d’intercepter mais en respectant les droits humanitaires. En 1984, l’assemblée de l’OACI a adopté un amendement « les états contractants reconnaissent que chaque état doit s’abstenir à l’emploi des armes contre les aéronefs civils en vol et en cas d’interception. En cas d’interception la sécurité des

membres d’un groupe criminel organisé. Début 2013, après le naufrage qui a provoqué le décès 366 migrants au large de Lampedusa55, le gouvernement italien a lancé une opération militaire et humanitaire « Mare Nostrum » avec l’appui de l’Union européenne. Mais, derrière cet objectif soi-disant humanitaire, se révèle un intérêt lucratif. En effet, l’opération coûte dix millions d’euros par mois, ce qui scandalise les habitants de l’île italienne, sujets à des difficultés économiques. « Mare Nostrum »

péril ses intérêts vitaux. Il préfère donc violer le droit international plutôt que de mettre en péril ses intérêts essentiels. Ex : affaire du détroit de Corfou en 1949 : une flotte britannique passe ce détroit qui est miné par les allemands car déminage n’a pas été fait. Il y a des dommages causés aux navires donc les britanniques décident de déminer ce qui entraine une violation du droit international car ils se trouvent dans les eaux de l’Albanie (dilemme de sauver ses marins en violant le droit

retirer ses troupes de Belgique et devant la résistance de l'armée belge qui met fin aux craintes de voir le corps expéditionnaire britannique isolé face à une armée allemande en surnombre. Aux motifs stratégiques s'ajoutent bientôt des raisons humanitaires pour justifier l'intervention contre l'Allemagne. C'est que l'opinion publique, alertée par des réfugiés fuyant les combats67, accuse les Allemands de se livrer à des atrocités, d'exécuter des civils, de couper les mains des prisonniers pour qu'ils

organisation, les opérations humanitaires ou de maintien de la paix se sont multipliées ces dernières années. Rien qu’en 2005, l’Union européenne a du déclencher quatre nouvelles missions. La France s’est trouvée sollicitée pour participer à la FINUL élargie au Liban sur la base de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité des Nations Unies aux côtés de nombre de pays européens. Que ce soit pour des opérations de maintien de la paix, des missions d’interposition, des missions humanitaires ou pour des opérations

maritime, dans le domaine de la protection civile et enfin dans le domaine de la sécurité aérienne. Pour l’année 2006, nous pouvons noter la réunion des Chefs d’Etats Majors de la Marine à Toulon, l’exercice de lutte anti-pollution au Maroc, et un déminage humanitaire fin octobre. Les résultats obtenus pour le moment sont très encourageants car outre le fait de rapprocher Nord et Sud, les actions du « 5+5 » rapprochent les pays du Sud entre eux et relancent le dialogue comme par exemple entre les armées

l’on peut qualifié de publiques. Elles sont très nombreuses (environ trois mille), certaines jouent un rôle de premier plan sur la scène internationales comme le Comité international de la Croix-Rouge quant à l’application du droit international humanitaire. Elles entretiennent des liens avec les OIG, ce qui est formellement prévu par l’article 71 de la Charte de l’ONU. Dans le cadre du conseil de l’Europe, a été adopté le 24 avril 1986 une convention européenne sur la reconnaissance de la personnalité

retirer ses troupes de Belgique et devant la résistance de l'armée belge qui met fin aux craintes de voir le corps expéditionnaire britannique isolé face à une armée allemande en surnombre. Aux motifs stratégiques s'ajoutent bientôt des raisons humanitaires pour justifier l'intervention contre l'Allemagne. C'est que l'opinion publique, alertée par des réfugiés fuyant les combats65, accuse les Allemands de se livrer à des atrocités, d'exécuter des civils, de couper les mains des prisonniers pour qu'ils

retirer ses troupes de Belgique et devant la résistance de l'armée belge qui met fin aux craintes de voir le corps expéditionnaire britannique isolé face à une armée allemande en surnombre. Aux motifs stratégiques s'ajoutent bientôt des raisons humanitaires pour justifier l'intervention contre l'Allemagne. C'est que l'opinion publique, alertée par des réfugiés fuyant les combats[67], accuse les Allemands de se livrer à des atrocités, d'exécuter des civils, de couper les mains des prisonniers pour

en France125 où une vaste zone ravagée de 120 000 hectares prend le nom de « zone rouge ». Dans le nord et l'est de la France, onze départements seront classés en zone rouge. L’agriculture y sera en maints endroits interdite avant le désobusage et déminage qui vont prendre plusieurs années (pour n’être terminé que dans les années 2 600 au rythme actuel des découvertes et élimination d’obus et autres munitions actives dans l’ex-zone rouge), sans même envisager le traitement des munitions immergées par