Dénotation et connotation

davantage à gagner. LES PROCÉDÉS STYLISTIQUES : LES FIGURES DE STYLE Rappel : une figure de style est une image créée pour déployer une réalité abstraite, que ce soit un sentiment, une émotion ou un état, et ce, dans un contexte de connotation précis. Chacun de ces contextes, et parfois même chacune de ces figures, expose des exigences précises dans leur explication. A. LES FIGURES D’ANALOGIE Il faut déceler le rapport de ressemblance entre les éléments analogues : quel est

classer selon une échelle qui va du plus répugnant au plus enchanteur, de la “puanteur” au “parfum”. Entre ces deux extrêmes prennent place des termes plus ou moins connotés : “relents” (connoté péjorativement), “effluves” (qui se prête à des connotations à la fois péjorative et méliorative) ; “bouffée”, et vapeurs”, désignent, quant à eux, une ivresse sensuelle. On pourra conclure de ce relevé que le roman est marqué par une forte ambivalence des odeurs.

malheur d'un albatros : un point de départ narratif a) Le contraste entre les airs et la terre Contraste de sens entre les adjectifs : « vastes » (v. 2), « indolents » (v. 3), adjectifs à connotation positive pour qualifier les albatros dans les airs / « maladroits et honteux » (v. 6), adjectifs à connotation négative pour qualifier les albatros sur le pont du bateau, la terre. Oxymore entre le GN « ces rois de l'azur » (v. 6) et l'adverbe « piteusement » (v. 7) : les albatros sont majestueux dans

Du point de vue de l'auteur Philippe Dubois qui élabore une théorie sur l'image photographiée dans son mode constitutif, il n'est pas possible de penser l'image en dehors de l'acte qui la fait être. Selon lui, la photo n'est pas seulement une image mais bien un acte iconique (L’acte iconique est avant tout dans un rapport asymétrique à son objet ce qui implique une relation symétrique comme seul critère de définition de l'icône. C'est un fondement pragmatique qui déclenche la mise en relation sémiotique

//isme entre pronoms ind (l’un, l’autre) et dém (celui là, ceux ci) et adv de lieux (là, ici). A chaque x, riches évoqués en 2nd pour mettre leurs défauts en valeur et pour marquer leur infériorité foncière par rapport aux pauvres. -termes à connotation péjorative-> caractère capricieux, arrogant et inconséquent des riches. Métaphore de la sève maligne et corrompue sous l’écorce de la politesse = hypocrisie perverse des riches. -éléments privatifs et restrictifs syntaxe : riches = êtres privés

Par « [N]ous nous en allons / Et tôt serons étendus sous la lame » (v. 10 et 11), l’idée de la mort est atténuée, elle est représentée de façon moins choquante, moins crue, la rendant ainsi plus douce, le terme « étendus » (v. 11) ayant même une connotation de repos. Cependant, la rime entre « dame » (v. 9) et « lame » (v.11) vient retoucher cet euphémisme, Alors que par délicatesse on ne nomme pas la mort, dans la structure du texte, on l’associe directement à la dame, laissant ainsi prévoir l’avenir

Pierre de MARBEUF  (1596 - 1645) "Et la mer et l'amour..." (publié en 1628) Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer, Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour

sereine » représentent la mauvaise éducation alors que « aube », « nouvelle », sont associés à la nouvelle éducation. L'instituteur est transformé : « prêtre de la connaissance », vers 25 est une périphrase désignant le maître. Elle a aussi une connotation sacrée, ce qui place le maître à un des rang les plus élevés de la société. En effet, le prêtre est respecté par tout le monde. Des expressions comme « auguste » , « souverain » ou « aimable » vers 34, montrent la science comme une ami de l'homme

            - le second consiste à traduire que le poète délaisse le réel pour s'occuper de l'idéal (gramme d'Azur → métaphore du vers 4).             - le troisième (vers 7)  est une image qui associe le poème au vol léger de la libellule avec une connotation au monde de La Fontaine.             - le quatrième (v.9-10) élance une expression qui consisterait à mettre des mots, à inventer. « L’imaginaire » omniprésent.             - la cinquième (v.12) expression qui consiste à s’interroger sur la couleur

trempé dans la tasse de thé ; les petits morceaux de papier sont trempés dans un bol de porcelaine. Les indices qui témoignent de la corrélation entre ces deux éléments sont également nombreux. Notons, premièrement, la rime en /en/, de même que la connotation commune à madeleine, papier et porcelaine, lesquels évoquent une idée de blancheur. Mais davantage, la madeleine n’est-elle pas l’élément déclencheur du souvenir, souvenir que Proust va venir coucher sur le papier, lequel renvoie inexorablement