Deontologie Et Utilitarisme

Affaires et Responsabilité Sociale de l’Entreprise 1. Cours Morale : ensemble des obligations qui s’imposent aux êtres humaines. Nous devons agir moralement dans certaines situations sans pour autant répondre à un principe explicite (émotions morales) Déontologie : ensemble des principes, des règles et des pratiques que se donnent une profession : elle inclut souvent les règles d’organisation de cette profession. L’éthique des affaires académique : vise à expliquer la manière dont les considérations morales

plus précisément celle de Bentham. Je dois appliquer cette théorie à mon dilemme et ainsi que les deux s'accordent ensemble. Tout d'abord, je vous expliquerai mon dilemme personnel. Ensuite, je vous ferai une courte description de la théorie utilitarisme, c'est-à-dire celle de Bentham. Et pour finir, je vais vous démontrer comment appliquer cette même théorie à mon dilemme personnel, tout en proposant une piste de solution qui concorde avec la théorie, et en quoi tout cela s'accorde. Pour commencer

certain oui : la maximisation du bonheur et les autres non eudémonisme (le bonheur ne se limite pas au plaisir). L’ascétisme : s’exercer à la douleur pour ne pas la sentir, s’y habituer. II. Ambiguïté de l’éthique | Ethique =~ | Morale =~ | Déontologie=~ | =~axsologie | Langue | Ethos : coutume | Mos : mœurs/coutume | Jeremie BENTAAM invente ce mot= science des devoirsAu SL = moraleSS = morale pro qui repose sur les Ordres déontologique (si l’Ordre respecte certaines règles légales, leurs décisions

bien agir ») ne sera pas le même. En effet, la valeur morale d'une action (le fait qu'elle soit bonne ou mauvaise) peut être définie soit d'après ses conséquences (conséquentialisme, utilitarisme, pragmatisme), c'est-à-dire selon les effets engendrés par cette action, soit d'après sa conformité à des valeurs (déontologie, intuitionnisme), c'est-à-dire selon les intentions ou motivations qui la commandent (indépendamment des con

toujours moral) ? Rappel des quatre ordres d’André Comte Sponville Est-il possible de concilier les deux ordres ? Par quels ponts et quelle médiation ? 5 Introduction : Eléments de philosophie morale Ethique des conséquences a) Conséquentialisme/Utilitarisme : Chefs de file : J.S Mill, J.Bentham Principe moral central: central la valeur d’une action se mesure par ses conséquences (lesquelles priment sur l’intention). Le «calcul» doit être impartial. Étalon de mesure : maximisation du plaisir et réduction

------------------------------------------------- LES PRINCIPES DE L’ETHIQUE MEDICALE MORALE | ETHIQUE | Règles précises, code de conduiteEnsemble des prescriptions instituées par une société, un état déontologie fait partie de la morale (respect des normes)Figée non remise en cause, acceptation des lois et des règles | Réflexion critique de la morale visée d’une norme meilleureInterrogation sur l’ensemble des règles d’une situation donnée, des normes et règles d’une profession dilemmes d’éthiquesIdentification

et faire respecter la loi, l’ordre, la discipline et la moralité. De plus, il faut refaire l’image des soldats dans l ‘opinion publique. Un de vos collègues a été suspendu pour avoir fait des révélations. Rendez-vous sa défense publiquement ? Utilitarisme et Kant Partie 1 Au sein du contingent militaire, la solidarité entre les membres est fondamentale : il s’agit là de la preuve de loyauté envers les collègues de travail lors des missions, mais aussi en dehors du terrain. Il s’avère qu’aujourd’hui

bien agir ») ne sera pas le même. En effet, la valeur morale d'une action (le fait qu'elle soit bonne ou mauvaise) peut être définie soit d'après ses conséquences (conséquentialisme, utilitarisme, pragmatisme), c'est-à-dire selon les effets engendrés par cette action, soit d'après sa conformité à des valeurs (déontologie, intuitionnisme), c'est-à-dire selon les intentions ou motivations qui la commandent (indépendamment des conséquences).

bien agir ») ne sera pas le même. En effet, la valeur morale d'une action (le fait qu'elle soit bonne ou mauvaise) peut être définie soit d'après ses conséquences (conséquentialisme, utilitarisme, pragmatisme), c'est-à-dire selon les effets engendrés par cette action, soit d'après sa conformité à des valeurs (déontologie, intuitionnisme), c'est-à-dire selon les intentions ou motivations qui la commandent (indépendamment des conséquences).

5 3. Apple et la sous-traitance en Chine 7 3.1. Présentation de l’entreprise Apple 7 3.2. Présentation de l’entreprise Foxconnn 9 3.3. Le cas Apple-Foxconn 10 4. Le cas Apple-Foxconn et l’éthique 13 4.1. Utilitarisme 13 4.2. Ethique des vertus 14 4.3. Déontologie 15 4.4. CSR 16 5. Conclusion 17 6. Bibliographie 18 1. Introduction Dans le cadre du cours Éthique des Affaires à l’Université de Genève, nous avons fait une recherche sur Apple et les conditions de